Moins cher que l'essence et le gasoil et beaucoup moins taxé, le Sirghaz s'érige comme une bonne solution aux problèmes de pollution mais aussi de portefeuille. Moins cher que l'essence et le gasoil et beaucoup moins taxé, le Sirghaz s'érige comme une bonne solution aux problèmes de pollution mais aussi de portefeuille. Le GPL gagne du terrain et entre ainsi en compétition sur le marché du carburant. Avec 9 DA le litre, ce carburant est, en effet, le moins cher dans le pays. Une aubaine pour les petites bourses qui se voient obligées de débourser jusqu'à 10 fois plus cher un plein d'essence sans plomb ou 5 fois le plein du gasoil. Et surtout un marché florissant pour l'Etat à plus d'un titre. Outre le côté environnement, l'Algérie qui dispose d'importantes réserves de GPL est le premier producteur africain et deuxième exportateur mondial. Ainsi, l'Algérie peut éviter l'importation du carburant (essence) en particulier. Malheureusement, une partie infime du GPL est consommée par rapport aux autres carburants que sont le diesel et l'essence. La consommation locale dépasse à peine 0,5 million de tonnes pour une production,totale vingt fois plus importante. D'un autre côté, la place des carburants gazeux, notamment le GPL, qui reste le craburant le plus propre, le plus économique et le plus largement disponible en Algérie, revient avec acuité dans le choix que prennent nos gouvernants au moment où la tendance mondiale va vers les carburants alternatifs. Des tendances qui obéissent au souci d'une indépendance vis-à-vis du pétrole qui reste cher et se raréfie, mais aussi pour préserver l'environnement. Al'heure actuelle, on comptabilise pas moins de 260.000 utilisateurs de réservoirsde Kit GPL (Sirghaz ), selon les chiffres avancés par les services concernés. Devant cette forte demande, un créneau juteux de nombreux installateurs de kits GPL sur véhicules a vu le jour. Outre, les ‘'taxieurs'' qui ont opté dès le début pourl'installation des réservoirs au GPL, enraison des longues distances qu'ils doiventparcourir, maintenant c'est une autre clientèle, en l'occurrence les chauffeurs particuliers qui s'y intéresse, et c'est généralement ceux qui roulent beaucoup et quiprennent en compte l'aspect du coût ducarburant. En plus des voitures à carburateurqui étaient les seules à être converties,un large éventail de véhicules, y comprisceux des particuliers, sont devenus convertiblesgrâce à l'introduction depuis une dizaine d'années du système à injection. Pour encourager cette pratique, qui en plusde son bas prix, elle est très écologique,les autorités encouragent les automobil esà installer des réservoirs GPL. Il est vraique les prix de l'installation de ces kitsSirghaz sont relativement élevés, et enplus, les entreprises qui font ces installationsne se trouvent pas partout dans lepays. De son côté, Naftal est en train deredoubler d'efforts pour faire porter le tauxd'utilisation de ce carburant propre à 30% d'ici 2030. Le GPL gagne du terrain et entre ainsi en compétition sur le marché du carburant. Avec 9 DA le litre, ce carburant est, en effet, le moins cher dans le pays. Une aubaine pour les petites bourses qui se voient obligées de débourser jusqu'à 10 fois plus cher un plein d'essence sans plomb ou 5 fois le plein du gasoil. Et surtout un marché florissant pour l'Etat à plus d'un titre. Outre le côté environnement, l'Algérie qui dispose d'importantes réserves de GPL est le premier producteur africain et deuxième exportateur mondial. Ainsi, l'Algérie peut éviter l'importation du carburant (essence) en particulier. Malheureusement, une partie infime du GPL est consommée par rapport aux autres carburants que sont le diesel et l'essence. La consommation locale dépasse à peine 0,5 million de tonnes pour une production,totale vingt fois plus importante. D'un autre côté, la place des carburants gazeux, notamment le GPL, qui reste le craburant le plus propre, le plus économique et le plus largement disponible en Algérie, revient avec acuité dans le choix que prennent nos gouvernants au moment où la tendance mondiale va vers les carburants alternatifs. Des tendances qui obéissent au souci d'une indépendance vis-à-vis du pétrole qui reste cher et se raréfie, mais aussi pour préserver l'environnement. Al'heure actuelle, on comptabilise pas moins de 260.000 utilisateurs de réservoirsde Kit GPL (Sirghaz ), selon les chiffres avancés par les services concernés. Devant cette forte demande, un créneau juteux de nombreux installateurs de kits GPL sur véhicules a vu le jour. Outre, les ‘'taxieurs'' qui ont opté dès le début pourl'installation des réservoirs au GPL, enraison des longues distances qu'ils doiventparcourir, maintenant c'est une autre clientèle, en l'occurrence les chauffeurs particuliers qui s'y intéresse, et c'est généralement ceux qui roulent beaucoup et quiprennent en compte l'aspect du coût ducarburant. En plus des voitures à carburateurqui étaient les seules à être converties,un large éventail de véhicules, y comprisceux des particuliers, sont devenus convertiblesgrâce à l'introduction depuis une dizaine d'années du système à injection. Pour encourager cette pratique, qui en plusde son bas prix, elle est très écologique,les autorités encouragent les automobil esà installer des réservoirs GPL. Il est vraique les prix de l'installation de ces kitsSirghaz sont relativement élevés, et enplus, les entreprises qui font ces installationsne se trouvent pas partout dans lepays. De son côté, Naftal est en train deredoubler d'efforts pour faire porter le tauxd'utilisation de ce carburant propre à 30% d'ici 2030.