La ministre de l'Education, Nouria Benghabrit, a procédé hier samedi à l'installation officielle du Conseil national des programmes scolaires, dans le cadre de "l'approfondissement de la réforme du système éducatif". Le conseil est présidé par Cherifa Ghettas, docteur d'Etat en sciences des langues, professeure à l'université et membre de la Commission nationale des programmes. La ministre de l'Education, Nouria Benghabrit, a procédé hier samedi à l'installation officielle du Conseil national des programmes scolaires, dans le cadre de "l'approfondissement de la réforme du système éducatif". Le conseil est présidé par Cherifa Ghettas, docteur d'Etat en sciences des langues, professeure à l'université et membre de la Commission nationale des programmes. Il est composé d'experts du Haut-Conseil islamique, du Haut-Conseil de la langue arabe et du Haut-Conseil à l'amazighité ainsi que d'un membre du Centre national d'étude et de recherche sur le Mouvement national et la Révolution du 1er Novembre 1954. Y siègeront, aussi, des inspecteurs, des universitaires et des enseignants. Selon sa présidente, le "conseil veillera à la cohésion des programmes scolaires et aura un oeil sur les expériences réussies des autres pays dans le domaine de la pédagogie. Comme il organisera des séminaires nationaux et internationaux pour être au diapason de ce qui se fait du mieux dans les autres contrées". Pour la ministre, il s'agit de "relever le défi de la scolarisation de 9 millions d'élèves et leur donner les moyens intellectuels et les compétences requises pour être les futurs acteurs de la construction du pays." Le conseil a pour mission de définir "la référence générale des programmes, de mettre en place un guidepratique des programmes, ainsi que ladéfinition d'un cadre conceptuel global. "Le conseil constitue un espace deréflexion et une force de propositionpour la mise à jour des programmes etle travail de ces membres va permettred'éclairer le travail des ateliers.La finalité de la réforme des programmes, explique la ministre, est "de permettre à l'enfant Algérien d'être un citoyen du monde ancré dans sesvaleurs identitaires et ouvert sur le monde." En marge de la cérémonie, la ministre de l'Education a animé un point de presse. Elle a évoqué brièvement lagrève des intendants, soulignant queson département n'a pas encore reçuune notification de la part du syndicat. Elle a fait savoir que le ministère recourra, "après autorisation de la Fonction publique, aux listes d'attentepour les besoins du recrutement dupersonnel administratif".Sur l'échec scolaire, Nouria Benghabrit a expliqué le phénomène par la non prise en charge de l'intelligence de l'élève. Elle dira que le problèmese pose, partculièrement auniveau des classes de passage (primaireau CEM, du CEM au secondaire)avec un taux entre 10 et 20 %. Il est composé d'experts du Haut-Conseil islamique, du Haut-Conseil de la langue arabe et du Haut-Conseil à l'amazighité ainsi que d'un membre du Centre national d'étude et de recherche sur le Mouvement national et la Révolution du 1er Novembre 1954. Y siègeront, aussi, des inspecteurs, des universitaires et des enseignants. Selon sa présidente, le "conseil veillera à la cohésion des programmes scolaires et aura un oeil sur les expériences réussies des autres pays dans le domaine de la pédagogie. Comme il organisera des séminaires nationaux et internationaux pour être au diapason de ce qui se fait du mieux dans les autres contrées". Pour la ministre, il s'agit de "relever le défi de la scolarisation de 9 millions d'élèves et leur donner les moyens intellectuels et les compétences requises pour être les futurs acteurs de la construction du pays." Le conseil a pour mission de définir "la référence générale des programmes, de mettre en place un guidepratique des programmes, ainsi que ladéfinition d'un cadre conceptuel global. "Le conseil constitue un espace deréflexion et une force de propositionpour la mise à jour des programmes etle travail de ces membres va permettred'éclairer le travail des ateliers.La finalité de la réforme des programmes, explique la ministre, est "de permettre à l'enfant Algérien d'être un citoyen du monde ancré dans sesvaleurs identitaires et ouvert sur le monde." En marge de la cérémonie, la ministre de l'Education a animé un point de presse. Elle a évoqué brièvement lagrève des intendants, soulignant queson département n'a pas encore reçuune notification de la part du syndicat. Elle a fait savoir que le ministère recourra, "après autorisation de la Fonction publique, aux listes d'attentepour les besoins du recrutement dupersonnel administratif".Sur l'échec scolaire, Nouria Benghabrit a expliqué le phénomène par la non prise en charge de l'intelligence de l'élève. Elle dira que le problèmese pose, partculièrement auniveau des classes de passage (primaireau CEM, du CEM au secondaire)avec un taux entre 10 et 20 %.