Décidément c'est une guerre de tranchées entre Ahmed uyahia et Louisa Hanoune. Sur fond de divergences autour= de la situation politique et économique, les deux partis s'affrontent à coups de... mots ! Décidément c'est une guerre de tranchées entre Ahmed uyahia et Louisa Hanoune. Sur fond de divergences autour= de la situation politique et économique, les deux partis s'affrontent à coups de... mots ! La SG du PT, Louisa Hanoune, n'a pas été tendre depuis le début de la campagne électorale à l'endroit du gouvernement. Avant-hier à Chlef, elle a tiré à boulets rouges sur le patron du RND Ahmed Ouyahia lui collant la "responsabilité de la politique de l'austérité et la dégradation de la situation socioéconomique". Elle a fustigé dans son discours "les partis au pouvoir sur cette situation" en pointant du doigt sans les nommer le FLN et le RND. Et c'est surtout envers Ouyahia qu'elle décoche ses flèches depuis ces derniers jours. Elle a riposté surtout sur la dernière déclaration du chef du RND qui considérait lors d'un entretien avec un journal que "l'ère du socialisme est révolue" en défendant les réformes qu'il prescrit actuellement. Pour Louisa Hanoune, c'est le contraire, a-t-elle soutenu "le socialisme s'adapte bien à un pays comme l'Algérie" non sans vanter la politique sociale du défunt président Houari Boumediène. Marketing électoral oblige, les deux chefs de partis choisissent souvent l'arène pour régler leurs comptes. Le patron du RND n'en est pas à sa première puisque dans ses déclarations, il reste contre "le gaspillage des deniers publics pour des projets trop coûteux". Dans sa campagne, Ouyahia meten avant à ses sympathisants et militants la "recette" pour la sortie de crise. Selon lui, ilfaut certes garder les aides sociales aux pauvres, mais encore faut-il "rationaliser ces dépenses".S'ensuit alors des altercations verbalesentre eux. Avec un ton acerbe et direct, Louisa Hanoune indique que son "parti faitde la résistance à la politique du gouvernement"en ajoutant que "les militantsdu parti viennent volontairement aux meetingscontrairement aux partis du pouvoirqui réquisitionnent les fonctionnaires poury assister". Une phrase lourde de sens quine fait qu'accentuer les divergences entreles deux formations politiques. C'estdésormais une guerre de tranchées qui renseignesur ces attaques en règle. Il faudra s'attendre probablement à une réplique dela part du SG du RND dans les prochains jours, sachant que le déballage médiatiqueautour de sujets comme l'intrusion de l'argentdans la campagne et l'achat des voix,sont considérés par l'ensemble de la classe politique comme une "atteinte grave à l'éthique politique". La SG du PT, Louisa Hanoune, n'a pas été tendre depuis le début de la campagne électorale à l'endroit du gouvernement. Avant-hier à Chlef, elle a tiré à boulets rouges sur le patron du RND Ahmed Ouyahia lui collant la "responsabilité de la politique de l'austérité et la dégradation de la situation socioéconomique". Elle a fustigé dans son discours "les partis au pouvoir sur cette situation" en pointant du doigt sans les nommer le FLN et le RND. Et c'est surtout envers Ouyahia qu'elle décoche ses flèches depuis ces derniers jours. Elle a riposté surtout sur la dernière déclaration du chef du RND qui considérait lors d'un entretien avec un journal que "l'ère du socialisme est révolue" en défendant les réformes qu'il prescrit actuellement. Pour Louisa Hanoune, c'est le contraire, a-t-elle soutenu "le socialisme s'adapte bien à un pays comme l'Algérie" non sans vanter la politique sociale du défunt président Houari Boumediène. Marketing électoral oblige, les deux chefs de partis choisissent souvent l'arène pour régler leurs comptes. Le patron du RND n'en est pas à sa première puisque dans ses déclarations, il reste contre "le gaspillage des deniers publics pour des projets trop coûteux". Dans sa campagne, Ouyahia meten avant à ses sympathisants et militants la "recette" pour la sortie de crise. Selon lui, ilfaut certes garder les aides sociales aux pauvres, mais encore faut-il "rationaliser ces dépenses".S'ensuit alors des altercations verbalesentre eux. Avec un ton acerbe et direct, Louisa Hanoune indique que son "parti faitde la résistance à la politique du gouvernement"en ajoutant que "les militantsdu parti viennent volontairement aux meetingscontrairement aux partis du pouvoirqui réquisitionnent les fonctionnaires poury assister". Une phrase lourde de sens quine fait qu'accentuer les divergences entreles deux formations politiques. C'estdésormais une guerre de tranchées qui renseignesur ces attaques en règle. Il faudra s'attendre probablement à une réplique dela part du SG du RND dans les prochains jours, sachant que le déballage médiatiqueautour de sujets comme l'intrusion de l'argentdans la campagne et l'achat des voix,sont considérés par l'ensemble de la classe politique comme une "atteinte grave à l'éthique politique".