En ouverture de la 4ème session du Conseil national ordinaire du RND, Ahmed Ouyahia a comme de juste, parlé de la situation économique du pays en défendant son logiciel anti crise. En ouverture de la 4ème session du Conseil national ordinaire du RND, Ahmed Ouyahia a comme de juste, parlé de la situation économique du pays en défendant son logiciel anti crise. « Notre pays vient de boucler l'année 2017 avec de nombreux succès, malgré les contraintes qui lui sont imposées de l'extérieur, que ce soit le faible prix du baril de pétrole ou que ce soient les conflits et tensions dans le voisinage », a-t-il souligné dans son allocution. « Au plan économique, notre pays poursuit son avancée, malgré les contraintes financières internes et externes » a soutenu le patron du RND, expliquant que « Les emprunts du Trésor auprès de la Banque d'Algérie ont permis à l'Etat de et d'élaborer un budget pour 2018 orienté vers la relance économique et la justice sociale » Tout en se félicitant « des rembourser ses créanciers, de lever le gel sur un grand nombre de projets socio-culturels,importantes ressources allouées au développement des communes, ainsi qu'au développement des wilayas des hauts plateaux et du sud du pays », Ouyahia a salué également « le rétablissement de l'intégralité du programme présidentiel d'aide à l'agriculture, y compris le retour de lasubvention publique au prix de l'alimentation du bétail » extérieur et malgré les réserves exprimées, notamment par les opérateurs économiques, S'agissant du commercel'intervenant a exprimé sa satisfaction sur « les mesures courageuses prises par le Gouvernement pour limiter les importations au profit de la production locale, et pour orienter les marchés publics vers les sociétés algériennes » Pour parler du social, Ouyahia a utilisé une anaphore en répétant à plusieurs reprises l'expression « il suffit » pour mettre en relief les efforts de l'Etat dans la scolarisation de « 11 millions de personnes », la distribution en 2017 de 3.00.000 logements, l'absence d'impôts nouveau dans la loi de finance 2018, en dépit d'un déficit budgétaire abyssal l'importance des transferts sociaux qui représentent 20% du budget de l'Etat. Sur le registre politique, Ahmed Ouyahia a totalement fait l'impasse sur la dernière instruction du Président à propos des privatisations, ignorant aussi les rumeurs de sa « démission » En revanche, il a estimé que « les élections législatives et les élections locales qui se sont déroulées dans le calme, ont à chaque fois dégagé de fortes majorités politiques réunies au service du programme de M. le Président de la République. » Au plan international, à noter cette saillie d'Ouyahia contre le voisin de l'Ouest qui , sans être cité est accusé « de noyer notre pays sous un énorme flux de hachisch et de cocaïne. C'est là une véritable agression contre notre peuple à travers une tentative d'empoisonner notre jeunesse et de ralentir notre développement. C'est là aussi une insulte grave envers l'avenir commun des peuples maghrébins. » « Notre pays vient de boucler l'année 2017 avec de nombreux succès, malgré les contraintes qui lui sont imposées de l'extérieur, que ce soit le faible prix du baril de pétrole ou que ce soient les conflits et tensions dans le voisinage », a-t-il souligné dans son allocution. « Au plan économique, notre pays poursuit son avancée, malgré les contraintes financières internes et externes » a soutenu le patron du RND, expliquant que « Les emprunts du Trésor auprès de la Banque d'Algérie ont permis à l'Etat de et d'élaborer un budget pour 2018 orienté vers la relance économique et la justice sociale » Tout en se félicitant « des rembourser ses créanciers, de lever le gel sur un grand nombre de projets socio-culturels,importantes ressources allouées au développement des communes, ainsi qu'au développement des wilayas des hauts plateaux et du sud du pays », Ouyahia a salué également « le rétablissement de l'intégralité du programme présidentiel d'aide à l'agriculture, y compris le retour de lasubvention publique au prix de l'alimentation du bétail » extérieur et malgré les réserves exprimées, notamment par les opérateurs économiques, S'agissant du commercel'intervenant a exprimé sa satisfaction sur « les mesures courageuses prises par le Gouvernement pour limiter les importations au profit de la production locale, et pour orienter les marchés publics vers les sociétés algériennes » Pour parler du social, Ouyahia a utilisé une anaphore en répétant à plusieurs reprises l'expression « il suffit » pour mettre en relief les efforts de l'Etat dans la scolarisation de « 11 millions de personnes », la distribution en 2017 de 3.00.000 logements, l'absence d'impôts nouveau dans la loi de finance 2018, en dépit d'un déficit budgétaire abyssal l'importance des transferts sociaux qui représentent 20% du budget de l'Etat. Sur le registre politique, Ahmed Ouyahia a totalement fait l'impasse sur la dernière instruction du Président à propos des privatisations, ignorant aussi les rumeurs de sa « démission » En revanche, il a estimé que « les élections législatives et les élections locales qui se sont déroulées dans le calme, ont à chaque fois dégagé de fortes majorités politiques réunies au service du programme de M. le Président de la République. » Au plan international, à noter cette saillie d'Ouyahia contre le voisin de l'Ouest qui , sans être cité est accusé « de noyer notre pays sous un énorme flux de hachisch et de cocaïne. C'est là une véritable agression contre notre peuple à travers une tentative d'empoisonner notre jeunesse et de ralentir notre développement. C'est là aussi une insulte grave envers l'avenir commun des peuples maghrébins. »