Les avis des syndicats autonomes de l'Education convergentsur le report de la date dubac 2018. Le Snapest fustigecette polémique et estime àson tour qu'il "ne fallait pasimpliquer les élèves dans laconsultation". Les avis des syndicats autonomes de l'Education convergentsur le report de la date dubac 2018. Le Snapest fustigecette polémique et estime àson tour qu'il "ne fallait pasimpliquer les élèves dans laconsultation". C'est ce qu'a indiqué MezianeMeriane le président de cesyndicat, ajoutant que ces derniersont besoin d'être "mieux encadrés et surtout orientés vers l'enseignement", au lieude les mêler dans ce genre dequestion qui ne les concernentpas. En cela, il rejette "enbloc cette mesure"."L'élève est un adolescent ilfaut lui assurer les meilleuresconditions de réussite, c'esttout. Fixer la date du Bacn'est pas l'affaire des élèves.Je pense qu'il faut plutôtdemander l'avis de leurs parents, de leurs enseignants, ou mieux, la commission pédagogique. Et non pas auxélèves", argue-t-il. M. Meriane a indiqué enoutre que le ministère de l'Education doit tracer un seul objectif et mettre le paquet pour réussir à rattraper le cours. Une tâche qu'il juge"impossible. Si on utiliseles moyens classiques, il estimpossible de rattraper en dix jours le temps perdu, notammentdans les trois wilayas qui ont accusé le plus de retard", a-t-il précisé.Le ministère ayant à charged'apaiser la tension, doit éviteraussi la polémique sur la question du Bac et tout ce qui est en rapport avec son déroulement. Par ailleurs, le président du Snapest souligne l'importance de sensibiliser les élèves pour mettre un terme à "latriche" aux examens pendant le cursus scolaire. "En dehorsdes mesures de sanctions prises par la tutelle, on doit mettre en place tout un système de sensibilisation pour lutter contre toutes formes et tentatives de fraude. "La trichea des conséquences dramatiquespour toute la société", a-t-il soutenu. C'est ce qu'a indiqué MezianeMeriane le président de cesyndicat, ajoutant que ces derniersont besoin d'être "mieux encadrés et surtout orientés vers l'enseignement", au lieude les mêler dans ce genre dequestion qui ne les concernentpas. En cela, il rejette "enbloc cette mesure"."L'élève est un adolescent ilfaut lui assurer les meilleuresconditions de réussite, c'esttout. Fixer la date du Bacn'est pas l'affaire des élèves.Je pense qu'il faut plutôtdemander l'avis de leurs parents, de leurs enseignants, ou mieux, la commission pédagogique. Et non pas auxélèves", argue-t-il. M. Meriane a indiqué enoutre que le ministère de l'Education doit tracer un seul objectif et mettre le paquet pour réussir à rattraper le cours. Une tâche qu'il juge"impossible. Si on utiliseles moyens classiques, il estimpossible de rattraper en dix jours le temps perdu, notammentdans les trois wilayas qui ont accusé le plus de retard", a-t-il précisé.Le ministère ayant à charged'apaiser la tension, doit éviteraussi la polémique sur la question du Bac et tout ce qui est en rapport avec son déroulement. Par ailleurs, le président du Snapest souligne l'importance de sensibiliser les élèves pour mettre un terme à "latriche" aux examens pendant le cursus scolaire. "En dehorsdes mesures de sanctions prises par la tutelle, on doit mettre en place tout un système de sensibilisation pour lutter contre toutes formes et tentatives de fraude. "La trichea des conséquences dramatiquespour toute la société", a-t-il soutenu.