Le groupe britannique Ultra Electronics est visé par uneenquête du Serious FraudOffice (SFO), chargé de luttercontre la délinquance financière au Royaume-Uni, pour "corruption présumée dans laconduite de ses affaires" enAlgérie. Le groupe britannique Ultra Electronics est visé par uneenquête du Serious FraudOffice (SFO), chargé de luttercontre la délinquance financière au Royaume-Uni, pour "corruption présumée dans laconduite de ses affaires" enAlgérie. Avant-hier, son représentanten Algérie, Adel Khalef, achargé la Société de gestiondes services et des infrastructuresaéroportuaires (SGSIA), qui gère l'aéroport d'Alger.L'affaire a éclaté après que legroupe britannique ait perdu un contrat avec la SGSIA.Contactée par TSA, unesource proche de cette sociétéa réagi en affirmant que "l'enquête lancée en Grande-Bretagne sur les activitésd'Ultra Electronics en Algériene peut pas concerner laSGSIA pour la simple raisonqu'aucun marché n'a été signéentre les deux parties". "La SGSIA n'est concernée nide près ni de loin dans cette affaire", assure notre source.Les accusations de tentatived'extorsion sont le fait d'unintermédiaire "qui chercherait àrégler ses comptes" pourn'avoir pas pu obtenir des marchés par des moyens détournés, réplique notre source. Le groupe chinois CESCEC, en charge de la réalisation clés en main de la nouvelle aérogare d'Alger, s'occupe de "toute la sous-traitance" du projet, ajoute notre source, expliquant que l'entreprise chinoise propose quelques prestataires à la SGSIA qui tranche pour la meilleure offre technique. L'aspect financier est donc du seul ressort des Chinois, selon notre source. "Si j'ai bien compris, Ultra Electronics est visé par une enquête pour corruption en Algérie", explique notre source. Elle ajoute que UltraElectronics n'est pas leadermondial dans l'installation des logiciels aéroportuaires et n'est pas spécialisée dans le domaine, tandis que celle qui a été choisie (la société SITA) pour la fourniture du logiciel de la nouvelle aérogare d'Alger équipe les plus grands aéroports d'Europe. Avant-hier, son représentanten Algérie, Adel Khalef, achargé la Société de gestiondes services et des infrastructuresaéroportuaires (SGSIA), qui gère l'aéroport d'Alger.L'affaire a éclaté après que legroupe britannique ait perdu un contrat avec la SGSIA.Contactée par TSA, unesource proche de cette sociétéa réagi en affirmant que "l'enquête lancée en Grande-Bretagne sur les activitésd'Ultra Electronics en Algériene peut pas concerner laSGSIA pour la simple raisonqu'aucun marché n'a été signéentre les deux parties". "La SGSIA n'est concernée nide près ni de loin dans cette affaire", assure notre source.Les accusations de tentatived'extorsion sont le fait d'unintermédiaire "qui chercherait àrégler ses comptes" pourn'avoir pas pu obtenir des marchés par des moyens détournés, réplique notre source. Le groupe chinois CESCEC, en charge de la réalisation clés en main de la nouvelle aérogare d'Alger, s'occupe de "toute la sous-traitance" du projet, ajoute notre source, expliquant que l'entreprise chinoise propose quelques prestataires à la SGSIA qui tranche pour la meilleure offre technique. L'aspect financier est donc du seul ressort des Chinois, selon notre source. "Si j'ai bien compris, Ultra Electronics est visé par une enquête pour corruption en Algérie", explique notre source. Elle ajoute que UltraElectronics n'est pas leadermondial dans l'installation des logiciels aéroportuaires et n'est pas spécialisée dans le domaine, tandis que celle qui a été choisie (la société SITA) pour la fourniture du logiciel de la nouvelle aérogare d'Alger équipe les plus grands aéroports d'Europe.