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Dans "1 à 2 semaines" selon Ouyahia
Le plfc 2018 devant le conseil des ministres
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 05 - 2018

Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a révélé hier que le projet de loi de finances complémentaire (LFC-2018) sera examiné par le Conseil des ministres "dans une à deux semaines".
Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a révélé hier que le projet de loi de finances complémentaire (LFC-2018) sera examiné par le Conseil des ministres "dans une à deux semaines".
En marge de sa visite à la Foire internationale d'Alger, le Premier ministrea insisté sur la nécessité d'uneLFC-2018. "Il faut une loi de financescomplémentaire pour deux choses :
D'abord la situation financière du pays esttoujours difficile ; nous travaillons actuellementavec des emprunts", expliqueAhmed Ouyahia."Malgré cela, vous verrez, quand la loi definances sortira. Nous ne léverons pas decrédits supplémentaires, parce que nousdevons veiller à la rigueur du budget",argue le Premier ministre.Cependant, Ahmed Ouyahia affirme quel'Exécutif mettra "des autorisations de programmes". C'est, selon lui, pour permettreau gouvernement de "faire avancerquelques projets".
Le Premier ministre conclut en affirmantque l'avant-projet de la LFC-2018 passera dans "une à deux semaines devant leConseil des ministres et sera validé par leprésident de la République, AbdelazizBouteflika". le Premier ministre n'a fourni aucun détail sur les raisons de cereport. hier matin, une source gouvernementaleavait confié à TSA que ce reportest lié au souhait du président Bouteflikade faire une deuxième lecture du texte. Le"président de la République va faire unedeuxième lecture du projet du Premierministre", a précisé cette source.Bouteflika va-t-il revoir la copie d'Ouyahia ? Notre source reste prudente : "Nul n'est en mesure de répondre à cette question.
Ce qui est confirmé, par contre, c'est le souhait du Président de relire la loi avant son passage en Conseil des ministres". Bouteflika serait contre les taxes ? Selon des sources citées par plusieurs sites d'informations, le Président aurait désapprouvé cette pression fiscale sur les citoyens et les entreprises alors que la situation économique est moins tendue et que les perspectives paraissent moins sombres qu'annoncées par des experts.
Le Premier ministre aurait été instruit de rester dans le cadre strict d'une LFC destinée à apporter des correctifs pour les secteurs qui en ont exprimé le besoin. La divulgation des informations sur les hausses des taxes, "une fuite" venant du gouvernement selon cette même source citée par le huffpostmaghreb, a déplu au niveau de la Présidence, d'où la décisiond'annuler purement et simplement la tenue du Conseil des ministres prévu le mercredi 9 mai 2018. Des augmentations significatives des droits et taxes relatives à la délivrance dupermis de conduire et de la carte grise ont été en effet annoncées dans certains journaux et elles risquaient de porter un nouveau coup au moral des Algériens, déjà fortement impactés par les hausse des prix.
Les entreprises également étaient soumises, selon les informations publiées, à de nouvelles taxes parfois très significatives. Les droits d'examen pour l'obtention du permis de conduire, le droit de timbre pour la délivrance du permis de conduire et de la carte grise, passaient du simple au triple dans certaines catégories. Le projet prévoyait, selon des sourcesmédias un droit additionnel provisoire (DABS) sur les marchandises importées pour la consommation, fixé entre 60 et 200 %. Par ailleurs, il était question également d'imposer des augmentations substantielles des taxes sur l'importation des pièces détachées allant de 200 à 500 %.
En marge de sa visite à la Foire internationale d'Alger, le Premier ministrea insisté sur la nécessité d'uneLFC-2018. "Il faut une loi de financescomplémentaire pour deux choses :
D'abord la situation financière du pays esttoujours difficile ; nous travaillons actuellementavec des emprunts", expliqueAhmed Ouyahia."Malgré cela, vous verrez, quand la loi definances sortira. Nous ne léverons pas decrédits supplémentaires, parce que nousdevons veiller à la rigueur du budget",argue le Premier ministre.Cependant, Ahmed Ouyahia affirme quel'Exécutif mettra "des autorisations de programmes". C'est, selon lui, pour permettreau gouvernement de "faire avancerquelques projets".
Le Premier ministre conclut en affirmantque l'avant-projet de la LFC-2018 passera dans "une à deux semaines devant leConseil des ministres et sera validé par leprésident de la République, AbdelazizBouteflika". le Premier ministre n'a fourni aucun détail sur les raisons de cereport. hier matin, une source gouvernementaleavait confié à TSA que ce reportest lié au souhait du président Bouteflikade faire une deuxième lecture du texte. Le"président de la République va faire unedeuxième lecture du projet du Premierministre", a précisé cette source.Bouteflika va-t-il revoir la copie d'Ouyahia ? Notre source reste prudente : "Nul n'est en mesure de répondre à cette question.
Ce qui est confirmé, par contre, c'est le souhait du Président de relire la loi avant son passage en Conseil des ministres". Bouteflika serait contre les taxes ? Selon des sources citées par plusieurs sites d'informations, le Président aurait désapprouvé cette pression fiscale sur les citoyens et les entreprises alors que la situation économique est moins tendue et que les perspectives paraissent moins sombres qu'annoncées par des experts.
Le Premier ministre aurait été instruit de rester dans le cadre strict d'une LFC destinée à apporter des correctifs pour les secteurs qui en ont exprimé le besoin. La divulgation des informations sur les hausses des taxes, "une fuite" venant du gouvernement selon cette même source citée par le huffpostmaghreb, a déplu au niveau de la Présidence, d'où la décisiond'annuler purement et simplement la tenue du Conseil des ministres prévu le mercredi 9 mai 2018. Des augmentations significatives des droits et taxes relatives à la délivrance dupermis de conduire et de la carte grise ont été en effet annoncées dans certains journaux et elles risquaient de porter un nouveau coup au moral des Algériens, déjà fortement impactés par les hausse des prix.
Les entreprises également étaient soumises, selon les informations publiées, à de nouvelles taxes parfois très significatives. Les droits d'examen pour l'obtention du permis de conduire, le droit de timbre pour la délivrance du permis de conduire et de la carte grise, passaient du simple au triple dans certaines catégories. Le projet prévoyait, selon des sourcesmédias un droit additionnel provisoire (DABS) sur les marchandises importées pour la consommation, fixé entre 60 et 200 %. Par ailleurs, il était question également d'imposer des augmentations substantielles des taxes sur l'importation des pièces détachées allant de 200 à 500 %.


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