Le ministère de l'Education nationale engage une refonte progressive de l'école algérienne, dans le cadre d'une réflexion globale pour une mise en oeuvre d'une nouvelle formule de l'examen du BEM. Le ministère de l'Education nationale engage une refonte progressive de l'école algérienne, dans le cadre d'une réflexion globale pour une mise en oeuvre d'une nouvelle formule de l'examen du BEM. C'est en substance la question abordée,hier, par le sousdirecteurdes programmesd'enseignement au ministère de l'Education nationale,Mustapha Hamdi, lors de sonpassage, à l'émission l'Invitéde la rédaction de la chaîne 3de la Radio algérienne.Le "ministère va devoir s'attaquerà ce dossier sensible dela suppression du BEM, toujoursen cours d'étude", a expliqué M. Hamdi . Il signale, à cet effet, qu'"unenouvelle commission est entrain de finaliser ce projet enchantier, pour trancher laquestion". Ce responsable,n'a pas donné plus de détailssur le délai de l'application dece projet.S'exprimant, par ailleurs, surune possible annulation del'examen de fin de cycle primaire,M. Hamdi relève que"les avis restent encore partagés",ajoutant cependant, que "cet aspect n'est pas à l'ordre du jour". Près de 600.000 élèves passent l'examen aujourd'hui Près de 600.000 élèves sont appelés à passer l'examen du brevet d'enseignement moyen (BEM) à partir d'aujourd'hui. Les sujets desépreuves à distribuer aux 599.846 candidats sont déjà parvenus à toutes les wilayas apprend-on de Mustapha Hamdi, sous-directeur des programmes au ministère de l'Education nationale. Sur les ondes de la chaîne 3 de la Radio nationale, le responsable a assuré que toute la logistique indispensable à cet examen est déjà en place. "Toutes les dispositions ont été prises afin que les examensdu BEM débutant,lundi, se déroulent dans les meilleures conditions possible", a assuré le sous-directeur des programmes d'enseignementau ministère de l'Education nationale. Il rappelle que pour être admis en1re année secondaire, les examinateurs vont prendre en compte la moyenne annuelle et celle de l'examen du BEM,divisée par deux. Concernantl'important taux d'échec dépassant les 43 % à ce palier, le responsable a indiqué que des "efforts sont faits pour le diminuer indiquant que les élèves ayant échoués ,au cycle moyen sont, de plus en plus, orientés vers ces cycles de formation professionnelle". Quant à l'éventualité de suppression de cet examen, Mustapha Hamdi, précise qu'une "commission est en train de finaliser un projet consacré à cette question". C'est en substance la question abordée,hier, par le sousdirecteurdes programmesd'enseignement au ministère de l'Education nationale,Mustapha Hamdi, lors de sonpassage, à l'émission l'Invitéde la rédaction de la chaîne 3de la Radio algérienne.Le "ministère va devoir s'attaquerà ce dossier sensible dela suppression du BEM, toujoursen cours d'étude", a expliqué M. Hamdi . Il signale, à cet effet, qu'"unenouvelle commission est entrain de finaliser ce projet enchantier, pour trancher laquestion". Ce responsable,n'a pas donné plus de détailssur le délai de l'application dece projet.S'exprimant, par ailleurs, surune possible annulation del'examen de fin de cycle primaire,M. Hamdi relève que"les avis restent encore partagés",ajoutant cependant, que "cet aspect n'est pas à l'ordre du jour". Près de 600.000 élèves passent l'examen aujourd'hui Près de 600.000 élèves sont appelés à passer l'examen du brevet d'enseignement moyen (BEM) à partir d'aujourd'hui. Les sujets desépreuves à distribuer aux 599.846 candidats sont déjà parvenus à toutes les wilayas apprend-on de Mustapha Hamdi, sous-directeur des programmes au ministère de l'Education nationale. Sur les ondes de la chaîne 3 de la Radio nationale, le responsable a assuré que toute la logistique indispensable à cet examen est déjà en place. "Toutes les dispositions ont été prises afin que les examensdu BEM débutant,lundi, se déroulent dans les meilleures conditions possible", a assuré le sous-directeur des programmes d'enseignementau ministère de l'Education nationale. Il rappelle que pour être admis en1re année secondaire, les examinateurs vont prendre en compte la moyenne annuelle et celle de l'examen du BEM,divisée par deux. Concernantl'important taux d'échec dépassant les 43 % à ce palier, le responsable a indiqué que des "efforts sont faits pour le diminuer indiquant que les élèves ayant échoués ,au cycle moyen sont, de plus en plus, orientés vers ces cycles de formation professionnelle". Quant à l'éventualité de suppression de cet examen, Mustapha Hamdi, précise qu'une "commission est en train de finaliser un projet consacré à cette question".