Mokhtar Hasbellaoui a répondu, hier, aux préoccupations exprimées par les membres du Conseil de la Nation autour du projet de loi sur la santé en reprenant les mêmes élémentsfournis aux élus de l'Assemblée nationale populaire notamment sur la question du service Mokhtar Hasbellaoui a répondu, hier, aux préoccupations exprimées par les membres du Conseil de la Nation autour du projet de loi sur la santé en reprenant les mêmes élémentsfournis aux élus de l'Assemblée nationale populaire notamment sur la question du service civil."Ce projet de loi comporte les éléments permettantd'éliminer les problèmes liés à l'organisationet à la gestion (dans le secteur). Ilvise à garantir une protection sanitaire ducitoyen et de façon juste", a affirmé le ministre de la Santé.Dans son intervention, Mokhtar Hasbellaoui a insisté sur la gratuité des soins. "La gratuitédes soins constitue un acquis qui ne sera pasremis en cause", a-t-il dit. Le ministre de la Santé a commenté certains articles qui ont suscité des critiques. "En ce qui concerne l'article portant sur l'éventualité de la participationdu patient dans le paiement des soins, ils'agit d'un article qui existe dans la loi(actuelle) de 85. On ne peut pas parler derégression. En fait, il s'agit de la participation de certains patients à certains types de soins et cela sera précisé dans le cadre destextes réglementaires", a-t-il expliqué.Selon lui, le système contractuel n'est pas encontradiction avec le principe de la gratuitédes soins. "L'adoption du système contractuelavec les parties (institutions) de financementn'est pas en contradiction avec la gratuitédes soins. Cela constitue seulement unenouvelle manière de financer sur une base contractuelle entre les établissements desanté et les institutions de financement dontla caisse sociale et les assurances économiques",a développé Mokhtar Hasbellaoui. Un service civil obligatoire Dans sa réponse, le ministre de la Santé est également revenu sur la question relative au service civil. "Parmi les premiers objectifs du projet, c'est diminuer les disparités entre les régions en matière de services et à partir de là nous restons engagés à laisser le service civil obligatoire. Et nous allons travailler pour réunir toutes les conditions matérielles et humaines pour rendre ce service (civil) plus attractif", a-t-il assuré. Interpellé par la presse à l'issue de la séance plénière, Mokhtar Hezbellaoui a affirmé qu'il s'exprimera mercredi 30 mai après la séance consacrée au vote du projet de loi sur la santé.Questionné hier dimanche sur la dernière propositionfaite par les médecins résidents en grève depuis six mois, le ministre de la Santé a eu une curieuse réponse : "Je ne suis au courant de rien. Je suis coupé du monde", a-t-il lâché. civil."Ce projet de loi comporte les éléments permettantd'éliminer les problèmes liés à l'organisationet à la gestion (dans le secteur). Ilvise à garantir une protection sanitaire ducitoyen et de façon juste", a affirmé le ministre de la Santé.Dans son intervention, Mokhtar Hasbellaoui a insisté sur la gratuité des soins. "La gratuitédes soins constitue un acquis qui ne sera pasremis en cause", a-t-il dit. Le ministre de la Santé a commenté certains articles qui ont suscité des critiques. "En ce qui concerne l'article portant sur l'éventualité de la participationdu patient dans le paiement des soins, ils'agit d'un article qui existe dans la loi(actuelle) de 85. On ne peut pas parler derégression. En fait, il s'agit de la participation de certains patients à certains types de soins et cela sera précisé dans le cadre destextes réglementaires", a-t-il expliqué.Selon lui, le système contractuel n'est pas encontradiction avec le principe de la gratuitédes soins. "L'adoption du système contractuelavec les parties (institutions) de financementn'est pas en contradiction avec la gratuitédes soins. Cela constitue seulement unenouvelle manière de financer sur une base contractuelle entre les établissements desanté et les institutions de financement dontla caisse sociale et les assurances économiques",a développé Mokhtar Hasbellaoui. Un service civil obligatoire Dans sa réponse, le ministre de la Santé est également revenu sur la question relative au service civil. "Parmi les premiers objectifs du projet, c'est diminuer les disparités entre les régions en matière de services et à partir de là nous restons engagés à laisser le service civil obligatoire. Et nous allons travailler pour réunir toutes les conditions matérielles et humaines pour rendre ce service (civil) plus attractif", a-t-il assuré. Interpellé par la presse à l'issue de la séance plénière, Mokhtar Hezbellaoui a affirmé qu'il s'exprimera mercredi 30 mai après la séance consacrée au vote du projet de loi sur la santé.Questionné hier dimanche sur la dernière propositionfaite par les médecins résidents en grève depuis six mois, le ministre de la Santé a eu une curieuse réponse : "Je ne suis au courant de rien. Je suis coupé du monde", a-t-il lâché.