Depuis la confirmation de cas de choléra dans la wilaya de Blida, nombreux sont les citoyens à se ruer sur l'eau minérale par peur d'être contaminées par cette grave épidémie,et ce en dépit des assurances desresponsables quant à la "salubrité de l'eaudu robinet". Depuis la confirmation de cas de choléra dans la wilaya de Blida, nombreux sont les citoyens à se ruer sur l'eau minérale par peur d'être contaminées par cette grave épidémie,et ce en dépit des assurances desresponsables quant à la "salubrité de l'eaudu robinet". Les commerces et les grandes surfacessont ainsi pris d'assaut, a-t-on remarqué,bien que les autorités concernées ontconfirmé que "l'eau du robinet est potableet n'est pas à l'origine de l'épidémie ducholéra".Sur les réseaux sociaux, des appels ont étérelayés pour baisser le prix de la bouteilled'eau minérale d'un litre et demi à dix dinars afin de permettre aux plus démunisde pouvoir se la procurer. Mais ces appelsrestent sans écho. En effet une hausse desprix de l'eau a même été observée." Au lieu de 30 DA la bouteille de 1,5 litre,elle est vendue à 35 DA", regretteMustapha Zebdi, Le président del'Association de protection et d'orientationdu consommateur et son environnement(Apoce).En parallèle, et contrairement à l'accoutumée, le babeurre (lben), préparé dans lescommerces et tant apprécié par les Blidéens, notamment le vendredi, a étéboycotté par les citoyens par peur de transmission de cette maladie.Au niveau des hôpitaux de lawilaya, un état d'alerte est observé depuis jeudi. Plusieurs médecins ont été mobilisés pourprendre en charge les cas suspects de choléra. Les visites des familles ont été interdites, notamment après la propagation de l'épidémie. C'est lemême phénomène observée à Alger aussi. Une forte consommation des eauxminérales a été constatée. Dans ce contexte, les commerçants mettent les eaux minérales en évidence. "Depuis l'annonce ducholéra, c'est ce qui se vend le plus", assure un commerçants qui dit avoirfait une importante commandeà son fournisseur. Les commerces et les grandes surfacessont ainsi pris d'assaut, a-t-on remarqué,bien que les autorités concernées ontconfirmé que "l'eau du robinet est potableet n'est pas à l'origine de l'épidémie ducholéra".Sur les réseaux sociaux, des appels ont étérelayés pour baisser le prix de la bouteilled'eau minérale d'un litre et demi à dix dinars afin de permettre aux plus démunisde pouvoir se la procurer. Mais ces appelsrestent sans écho. En effet une hausse desprix de l'eau a même été observée." Au lieu de 30 DA la bouteille de 1,5 litre,elle est vendue à 35 DA", regretteMustapha Zebdi, Le président del'Association de protection et d'orientationdu consommateur et son environnement(Apoce).En parallèle, et contrairement à l'accoutumée, le babeurre (lben), préparé dans lescommerces et tant apprécié par les Blidéens, notamment le vendredi, a étéboycotté par les citoyens par peur de transmission de cette maladie.Au niveau des hôpitaux de lawilaya, un état d'alerte est observé depuis jeudi. Plusieurs médecins ont été mobilisés pourprendre en charge les cas suspects de choléra. Les visites des familles ont été interdites, notamment après la propagation de l'épidémie. C'est lemême phénomène observée à Alger aussi. Une forte consommation des eauxminérales a été constatée. Dans ce contexte, les commerçants mettent les eaux minérales en évidence. "Depuis l'annonce ducholéra, c'est ce qui se vend le plus", assure un commerçants qui dit avoirfait une importante commandeà son fournisseur.