La société britannique Petrofac a annoncé ce mercredi avoir reçu unelettre d'attribution provisoire pour uncontrat d'ingénierie, d'approvisionnementet de construction d'une valeurde 600 millions de dollars La société britannique Petrofac a annoncé ce mercredi avoir reçu unelettre d'attribution provisoire pour uncontrat d'ingénierie, d'approvisionnementet de construction d'une valeurde 600 millions de dollars US avec lacompagnie pétrolière Sonatrach.Le contrat concerne le projet de développementdu champ de Tinhert, etprévoit la réalisation d'un Centre de Séparation Entrée et Compression àOhanet (In-Amenas). D'unedurée de 36 mois, le contrat inclut un réseau depipelines d'environ 400 kilomètresvisant à relier 36 puits, ainsi que lamise en service, le démarrage et lestests de performance des installations. "Ce contrat vient s'ajouter au bilansignificatif de Petrofac en Algérie oùnous travaillons depuis plus de deux décennies pour soutenir la productionpétrolière et gazière du pays", adéclaré E. S. Sathyanarayanan, directeurau sein de la compagnie britannique. "Nous avons continué à accroîtrenotre présence dans le pays à traversun certain nombre de contrats avec Sonatrach, y compris les projets, d'Alrar et Reggane", a précisé le même responsable. Petrofacétait notamment en concurrencepourl'obtention ce contrat avec le groupement italien Tecnimont & Bonatti ou encore l'américain KBR,ancienne filiale de Haliburton.Petrofac fait l'objet, depuis mai 2017au Royaume-Uni, d'une enquête duSerious Fraud Office, l'office national de lutte contre la fraudeet la corruption,rappelait la compagnie dans uncommuniqué publié au mois de marsdernier."L'enquête concerne les activités dePetrofac, de ses filiales et de leurs dirigeants, employés et agents pourdes soupçons de pots de vin, de corruption et/ou de blanchiment d'argent", indiquait Petrofac. Selon TheTelegraph, l'enquête concerneraitnotamment des contrats lucratifs obtenus entre 2002 et 2009 par la compagnie britannique au Kazakhstan, d'unevaleur de deux milliards dedollars. US avec lacompagnie pétrolière Sonatrach.Le contrat concerne le projet de développementdu champ de Tinhert, etprévoit la réalisation d'un Centre de Séparation Entrée et Compression àOhanet (In-Amenas). D'unedurée de 36 mois, le contrat inclut un réseau depipelines d'environ 400 kilomètresvisant à relier 36 puits, ainsi que lamise en service, le démarrage et lestests de performance des installations. "Ce contrat vient s'ajouter au bilansignificatif de Petrofac en Algérie oùnous travaillons depuis plus de deux décennies pour soutenir la productionpétrolière et gazière du pays", adéclaré E. S. Sathyanarayanan, directeurau sein de la compagnie britannique. "Nous avons continué à accroîtrenotre présence dans le pays à traversun certain nombre de contrats avec Sonatrach, y compris les projets, d'Alrar et Reggane", a précisé le même responsable. Petrofacétait notamment en concurrencepourl'obtention ce contrat avec le groupement italien Tecnimont & Bonatti ou encore l'américain KBR,ancienne filiale de Haliburton.Petrofac fait l'objet, depuis mai 2017au Royaume-Uni, d'une enquête duSerious Fraud Office, l'office national de lutte contre la fraudeet la corruption,rappelait la compagnie dans uncommuniqué publié au mois de marsdernier."L'enquête concerne les activités dePetrofac, de ses filiales et de leurs dirigeants, employés et agents pourdes soupçons de pots de vin, de corruption et/ou de blanchiment d'argent", indiquait Petrofac. Selon TheTelegraph, l'enquête concerneraitnotamment des contrats lucratifs obtenus entre 2002 et 2009 par la compagnie britannique au Kazakhstan, d'unevaleur de deux milliards dedollars.