Le secrétaire général du parti du FLN, Djamel Ould Abbès,tente de faire accroîre, que cequi s'est passé à l'APN cesderniers jours, notamment leconstat de la vacance de la présidence de l'Assemblée, n'est en rien en porte-à-aux,avec les lois de laRépubliqueet les dispositions de laConstitution. Le secrétaire général du parti du FLN, Djamel Ould Abbès,tente de faire accroîre, que cequi s'est passé à l'APN cesderniers jours, notamment leconstat de la vacance de la présidence de l'Assemblée, n'est en rien en porte-à-aux,avec les lois de laRépubliqueet les dispositions de laConstitution. En effet, le chef de file du FLN a totalement fait l'impasse sur cetaspect, se contentant juste de soutenirque les députés ont sauvé l'Institutionparlementaire. Mieux encore, Djamal ould Abbes, qui s'exprimaithier au siège de son parti lorsd'une conférence de presse, a plutôtestimé que le constat de vacance de laprésidence de l'Assemblée est "légal". Pour rappel, le bureau de l'Assemblée, et devant le refus catégorique duprésident de l'APN, Said Bouhadja, de démissionner, s'estréuni pour déclarer la vacance de laprésidence. Une décision qui a étéensuiteentérinée par la commissiondes affaires juridiques, administratives et des libertés. Par conséquent, dans quelques jours, il y'aura l'élection d'unnouveau président de l'Assemblée. Selon Djamal Ould Abes, les "deputés ont pris leurs responsabilités, en sauvant une Institutionconstitutionnelle névralgique de l'Etat et ce, à la veille d'importanteséchéances". Le conférencier fait certainement référence aux procaïnesélections présidentielles, dont la date n'a pas encore été arrêtée, mais qui auront probablement lieu aumois d'avril 2019. Car, Ould Abbes adémenti certaines informations, selon lesquelles cette échéance électoralepourrait ne pas avoir lieu à l'échéanceprévue. Comme il a aussi démentil'éventualité de la dissolution de l'Assemblée. "L'APN ne sera pas dissoute"a, en effet, martelé Ould Abbes,alors que nombre d'observateurs et analystes prédisent cette éventualitéqui reste, conformément aux dispositions de la Constitution, du ressort du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Une spécialise du Droitconstitutionnel a indiqué, que la dissolutionde l'Assemblée reste la meilleuresolution pour régler ce problèmepolitique, car tout ce qui a été entrepris par les députés de la majorité parlementairecontre Said Bouhadja, estillégal et inconstitutionnel. Loin deces considérations juridiques, Ould Abbesa indiqué, que ce qui se passe à"est une affaire interne àl'Assemblée, et elle estsur la voie d'être réglée dans les jours à venir". Ilest donc très probable, que la majorité parlementaire, qui s'est appuyée surl'article 10 du règlement intérieur del'Assemblée, pour faire le constat dela vacance de la présidence, élise unnouveau président dans le courant de la semaine. Selon certainesinformationscolportées par la presse nationale,il est probable que ce soit le mercrediprochain. D'ailleurs, des noms sont avancés ça et là. Dans ce cadre,trois noms, tous issus du FLN, sont cités comme probables successeurs deSaid Bouhadja . Il s'agit en effet, de Mohamed Djellab, ancien ministre des Finances élu député de Biskra, MouadBouchareb, président dugroupe parlementaire du FLN et député de Sétif, et Laib député de Batna. En effet, le chef de file du FLN a totalement fait l'impasse sur cetaspect, se contentant juste de soutenirque les députés ont sauvé l'Institutionparlementaire. Mieux encore, Djamal ould Abbes, qui s'exprimaithier au siège de son parti lorsd'une conférence de presse, a plutôtestimé que le constat de vacance de laprésidence de l'Assemblée est "légal". Pour rappel, le bureau de l'Assemblée, et devant le refus catégorique duprésident de l'APN, Said Bouhadja, de démissionner, s'estréuni pour déclarer la vacance de laprésidence. Une décision qui a étéensuiteentérinée par la commissiondes affaires juridiques, administratives et des libertés. Par conséquent, dans quelques jours, il y'aura l'élection d'unnouveau président de l'Assemblée. Selon Djamal Ould Abes, les "deputés ont pris leurs responsabilités, en sauvant une Institutionconstitutionnelle névralgique de l'Etat et ce, à la veille d'importanteséchéances". Le conférencier fait certainement référence aux procaïnesélections présidentielles, dont la date n'a pas encore été arrêtée, mais qui auront probablement lieu aumois d'avril 2019. Car, Ould Abbes adémenti certaines informations, selon lesquelles cette échéance électoralepourrait ne pas avoir lieu à l'échéanceprévue. Comme il a aussi démentil'éventualité de la dissolution de l'Assemblée. "L'APN ne sera pas dissoute"a, en effet, martelé Ould Abbes,alors que nombre d'observateurs et analystes prédisent cette éventualitéqui reste, conformément aux dispositions de la Constitution, du ressort du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Une spécialise du Droitconstitutionnel a indiqué, que la dissolutionde l'Assemblée reste la meilleuresolution pour régler ce problèmepolitique, car tout ce qui a été entrepris par les députés de la majorité parlementairecontre Said Bouhadja, estillégal et inconstitutionnel. Loin deces considérations juridiques, Ould Abbesa indiqué, que ce qui se passe à"est une affaire interne àl'Assemblée, et elle estsur la voie d'être réglée dans les jours à venir". Ilest donc très probable, que la majorité parlementaire, qui s'est appuyée surl'article 10 du règlement intérieur del'Assemblée, pour faire le constat dela vacance de la présidence, élise unnouveau président dans le courant de la semaine. Selon certainesinformationscolportées par la presse nationale,il est probable que ce soit le mercrediprochain. D'ailleurs, des noms sont avancés ça et là. Dans ce cadre,trois noms, tous issus du FLN, sont cités comme probables successeurs deSaid Bouhadja . Il s'agit en effet, de Mohamed Djellab, ancien ministre des Finances élu député de Biskra, MouadBouchareb, président dugroupe parlementaire du FLN et député de Sétif, et Laib député de Batna.