Les cinq groupes parlementaires représentant la majorité des députés ont réitéré, avant-hier à Alger, le maintien de leur revendication de démission du président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhadja, refusant toute médiation en ce sens. Les cinq groupes parlementaires représentant la majorité des députés ont réitéré, avant-hier à Alger, le maintien de leur revendication de démission du président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhadja, refusant toute médiation en ce sens. Dans une déclaration à la presse à l'issue d'une réunion des présidentsdes cinq groupes parlementaires, leprésident du groupe parlementaire duFLN, MouaadBouchareb, a réitéré l'attachementde ces groupes à la revendicationde démission du président de la Chambre basse, Said Bouhadja, ajoutant "Nous sommes déterminés à travailler de concert,jusqu'à l'aboutissement de notreobjectif, àsavoir la démission, dans les jours à venir,du président de l'Assemblée". Le représentant des groupes parlementairesdes partis de la majorité a démentiles informations faisant état d'un voltefacede certains députés, affirmant que"Tous les députés restent engagés par lesdécisions des groupes et aucun n'est allé àcontre-courant".Par ailleurs, M. Mouad a exprimé, au nondes groupes parlementaires de la majorité,"Le rejet de toute médiation" avec le présidentde l'APN, qualifiant de "mortnées",les initiatives émanant de certainspartis. Le président de l'ANR, Belkacem Sahli, avait en effet, proposé dimanche,de servir de médiateur entre les deux partiespour, expliquait-il, trouver une solutionhonorable à la crise parlementaire. Pour rappel, les présidents des groupesparlementaires des partis du Front deLibération nationale (FLN), du Rassemblement national démocratique(RND), de Tajamoue Amel El Djazair (TAJ), du Mouvement populaire algérien(MPA) et des Indépendants, avaient remisauprésident de l'APN il y a 10 jours, unemotion de retrait de confiance exigeant sa démission avant le gel de toutes les activitésdes structures de l'APN, jusqu'à la satisfaction de leurs revendications. Les députés avaient dénoncé des"dépassementset violations", enregistrés au sein de l'Institution législative, à savoir "lamarginalisation éhontée, l'ajournement prémédité de l'adoption du Règlement intérieur de l'APN, la marginalisation desmembres de la Commission des affaires juridiques, la mauvaise gestion, les fraisexagérés déboursés illicitement, la non répartition des missions à l'étranger sur la base de la représentationproportionnelle et le recrutement aléatoire et douteux". Pour rappel, la crise qui secoue la chambre basse du Parlement entre aujourd'hui dans sa deuxième semaine, sans qu'une perspective de dénouement ne se dessine à l'horizon, tant les positions restent figées. Dans une déclaration à la presse à l'issue d'une réunion des présidentsdes cinq groupes parlementaires, leprésident du groupe parlementaire duFLN, MouaadBouchareb, a réitéré l'attachementde ces groupes à la revendicationde démission du président de la Chambre basse, Said Bouhadja, ajoutant "Nous sommes déterminés à travailler de concert,jusqu'à l'aboutissement de notreobjectif, àsavoir la démission, dans les jours à venir,du président de l'Assemblée". Le représentant des groupes parlementairesdes partis de la majorité a démentiles informations faisant état d'un voltefacede certains députés, affirmant que"Tous les députés restent engagés par lesdécisions des groupes et aucun n'est allé àcontre-courant".Par ailleurs, M. Mouad a exprimé, au nondes groupes parlementaires de la majorité,"Le rejet de toute médiation" avec le présidentde l'APN, qualifiant de "mortnées",les initiatives émanant de certainspartis. Le président de l'ANR, Belkacem Sahli, avait en effet, proposé dimanche,de servir de médiateur entre les deux partiespour, expliquait-il, trouver une solutionhonorable à la crise parlementaire. Pour rappel, les présidents des groupesparlementaires des partis du Front deLibération nationale (FLN), du Rassemblement national démocratique(RND), de Tajamoue Amel El Djazair (TAJ), du Mouvement populaire algérien(MPA) et des Indépendants, avaient remisauprésident de l'APN il y a 10 jours, unemotion de retrait de confiance exigeant sa démission avant le gel de toutes les activitésdes structures de l'APN, jusqu'à la satisfaction de leurs revendications. Les députés avaient dénoncé des"dépassementset violations", enregistrés au sein de l'Institution législative, à savoir "lamarginalisation éhontée, l'ajournement prémédité de l'adoption du Règlement intérieur de l'APN, la marginalisation desmembres de la Commission des affaires juridiques, la mauvaise gestion, les fraisexagérés déboursés illicitement, la non répartition des missions à l'étranger sur la base de la représentationproportionnelle et le recrutement aléatoire et douteux". Pour rappel, la crise qui secoue la chambre basse du Parlement entre aujourd'hui dans sa deuxième semaine, sans qu'une perspective de dénouement ne se dessine à l'horizon, tant les positions restent figées.