Longtemps freiné par un problème foncier, le projet demontage de Peugeot n'a plusdésormais, aucun obstacle dece genre Longtemps freiné par un problème foncier, le projet demontage de Peugeot n'a plusdésormais, aucun obstacle dece genre En effet, le gouvernement vient de lui affecter une parcelle de terre agricolequ'il a, au préalable déclassifié,comme l'exige la réglementation. Ledécret exécutif, signé de la main duPremierministre Ahmed Ouyahia, a étépublié auJournal officiel n° 59 du 8octobredernier. Portant le n°18-236, ce décretexécutif a trait au déclassement d'une parcellede terre agricole, destinée àlaréalisation d'un projet industriel au niveau de lawilaya d'Oran. Cette parcelle de terre, située dans la commune de Tafraoui,estd'une superficie de 120 hectares. Quandbien même, le decret éxécutif neptrécisepas la nature du projet industriel. Il s'agirait bel et bien, de l'usine de montage dePeugeot. Ce projet dévaît initialement étre réalisé dans la région d'el Hamoul, dans lacommune d'el Karma, avant que cetteoption ne soit abandonnée, suite à l'alerte,il y'a quelques mois par un agriculteur de la région qui a posté une vidéo surYoutube, dans laquelle il a dénoncé le "sacrifice", pour les besoins d'un projetindustriel suscitant une levée de boucliers de larges pans de l'opinion publiquenationale. L'affaire, on s'en rappelle, a faitgrand bruit, poussant le gouvernement àsuspendre le projet ; et c'est à la suite del'envoi d'une commission d'enquêtéministérielle, que cette terre agricole aétéfinalement préservée, et le projetdélocalisé vers la commune de Tafraoui, suruneautre terre agricole il est vrai. Le ministrede l'Industrie a déclaré recemment que, ceprojet verrait bientôt le jour après la levéedu dernier verrou, celui, à l'évidence, relatifà l'assiette foncière. Mais,ce projet avu aussi d'autres types de difficultés ayantentravé sa réalisation. Les autorités des deux pays étaient sur le point de signerl'accord définitif, il y'a quelques années decela, mais des divergences de dernièreminute, entre les deux parties, ontretardécette échéance.Il a encore fallu d'âpres négociations, pourque les deux parties aboutissent à unaccord définitif. Lequel accord a été signé le 12 novembre 2017, à l'occasion de latenue de la quatrième session du Comité mixte franco-algérien (COMEFA). Cette usine d'assemblage produira, selonlesdiresdes promoteurs du projet, durantla première année de son lancement,25.000véhicules Peugeot avant de pouvoiratteindre le stade des 100.000 unités/an. Le projet entend attendre durant 4 ans, un taux d'intégration de 40% du marché algérien. L'usine produira aussidesvoitures de la marque Citroen. Rappelonsque ce projet industriel devrait créer 1.000 emplois, pour un investissement de l'ordre de 100 millions d'euros. Le capital delasociété est réparti selon la règle 51/49% etce, à hauteur de 20% pour l'Entreprise nationale de production de machinesoutils,Algérie-PMO Constantine, de15,5% pour le Groupe privé Condor et de 15,5%, pour un opérateur pharmaceutiquealgérien (Palpa Pro), pour la partie algérienne,et de 49% pour PSA, pour la partie française. En effet, le gouvernement vient de lui affecter une parcelle de terre agricolequ'il a, au préalable déclassifié,comme l'exige la réglementation. Ledécret exécutif, signé de la main duPremierministre Ahmed Ouyahia, a étépublié auJournal officiel n° 59 du 8octobredernier. Portant le n°18-236, ce décretexécutif a trait au déclassement d'une parcellede terre agricole, destinée àlaréalisation d'un projet industriel au niveau de lawilaya d'Oran. Cette parcelle de terre, située dans la commune de Tafraoui,estd'une superficie de 120 hectares. Quandbien même, le decret éxécutif neptrécisepas la nature du projet industriel. Il s'agirait bel et bien, de l'usine de montage dePeugeot. Ce projet dévaît initialement étre réalisé dans la région d'el Hamoul, dans lacommune d'el Karma, avant que cetteoption ne soit abandonnée, suite à l'alerte,il y'a quelques mois par un agriculteur de la région qui a posté une vidéo surYoutube, dans laquelle il a dénoncé le "sacrifice", pour les besoins d'un projetindustriel suscitant une levée de boucliers de larges pans de l'opinion publiquenationale. L'affaire, on s'en rappelle, a faitgrand bruit, poussant le gouvernement àsuspendre le projet ; et c'est à la suite del'envoi d'une commission d'enquêtéministérielle, que cette terre agricole aétéfinalement préservée, et le projetdélocalisé vers la commune de Tafraoui, suruneautre terre agricole il est vrai. Le ministrede l'Industrie a déclaré recemment que, ceprojet verrait bientôt le jour après la levéedu dernier verrou, celui, à l'évidence, relatifà l'assiette foncière. Mais,ce projet avu aussi d'autres types de difficultés ayantentravé sa réalisation. Les autorités des deux pays étaient sur le point de signerl'accord définitif, il y'a quelques années decela, mais des divergences de dernièreminute, entre les deux parties, ontretardécette échéance.Il a encore fallu d'âpres négociations, pourque les deux parties aboutissent à unaccord définitif. Lequel accord a été signé le 12 novembre 2017, à l'occasion de latenue de la quatrième session du Comité mixte franco-algérien (COMEFA). Cette usine d'assemblage produira, selonlesdiresdes promoteurs du projet, durantla première année de son lancement,25.000véhicules Peugeot avant de pouvoiratteindre le stade des 100.000 unités/an. Le projet entend attendre durant 4 ans, un taux d'intégration de 40% du marché algérien. L'usine produira aussidesvoitures de la marque Citroen. Rappelonsque ce projet industriel devrait créer 1.000 emplois, pour un investissement de l'ordre de 100 millions d'euros. Le capital delasociété est réparti selon la règle 51/49% etce, à hauteur de 20% pour l'Entreprise nationale de production de machinesoutils,Algérie-PMO Constantine, de15,5% pour le Groupe privé Condor et de 15,5%, pour un opérateur pharmaceutiquealgérien (Palpa Pro), pour la partie algérienne,et de 49% pour PSA, pour la partie française.