ACracovie, Gdansk et Kielce, les candidats soutenus par l'opposition ont remportédimanche plus de 64 % des voix face à leurrivaux conservateurs au deuxième tour desélections locales. ACracovie, Gdansk et Kielce, les candidats soutenus par l'opposition ont remportédimanche plus de 64 % des voix face à leurrivaux conservateurs au deuxième tour desélections locales. Ce résultat, annoncé parles grandes chaînes de télévision du pays,doit encore être confirmé par laCommission électorale. Il constituera alorsun revers conséquent dans les grandes villespour le parti au pouvoir Droit etjustice. Dèsle premier tour il y a quinze jours, l'oppositions'était adjugé les mairies de plusieursautres villes, dont Varsovie, Lodz, Poznan,Lublin et Wroclaw. Ce dimanche, lesPolonais ne votaient que pour les maires desvilles et des villages, la composition desassemblées régionales ayant été fixée aupremier tour. Si le PiS a échoué dans lesgrandes villes, il a en revanche marqué lepas dans les régions. Les conservateurssont arrivés en tête dans neuf des seizeassemblées régionales, avec une majoritéabsolue dans six d'entre elles, alors qu'il n'en avait remporté qu'une seule en 2014. La coalition civique, composée desdeuxpartis libéraux d'opposition (Plate-formecivique et Nowoczesna) l'a emporté danssept assemblées régionales, mais n'aobtenu la majorité que dans une d'entreelles. Pour gouverner dans les autres, elledevra former une coalition soit avec le Partipaysan (PSL), son allié naturel, soit avec leparti social-démocrate (SLD), soit encoreavec des comités indépendants. Ce résultat, annoncé parles grandes chaînes de télévision du pays,doit encore être confirmé par laCommission électorale. Il constituera alorsun revers conséquent dans les grandes villespour le parti au pouvoir Droit etjustice. Dèsle premier tour il y a quinze jours, l'oppositions'était adjugé les mairies de plusieursautres villes, dont Varsovie, Lodz, Poznan,Lublin et Wroclaw. Ce dimanche, lesPolonais ne votaient que pour les maires desvilles et des villages, la composition desassemblées régionales ayant été fixée aupremier tour. Si le PiS a échoué dans lesgrandes villes, il a en revanche marqué lepas dans les régions. Les conservateurssont arrivés en tête dans neuf des seizeassemblées régionales, avec une majoritéabsolue dans six d'entre elles, alors qu'il n'en avait remporté qu'une seule en 2014. La coalition civique, composée desdeuxpartis libéraux d'opposition (Plate-formecivique et Nowoczesna) l'a emporté danssept assemblées régionales, mais n'aobtenu la majorité que dans une d'entreelles. Pour gouverner dans les autres, elledevra former une coalition soit avec le Partipaysan (PSL), son allié naturel, soit avec leparti social-démocrate (SLD), soit encoreavec des comités indépendants.