Les services de la Gendarmerie nationale ont recensé depuis le début de l'année près de 1.140 affaires liées à la cybercriminalité. 30 % des cas sont relatifs aux délits de chantage et publications frauduleuses d'images et de photos. Les enfants et adolescents en sont les premières victimes. Les services de la Gendarmerie nationale ont recensé depuis le début de l'année près de 1.140 affaires liées à la cybercriminalité. 30 % des cas sont relatifs aux délits de chantage et publications frauduleuses d'images et de photos. Les enfants et adolescents en sont les premières victimes. C'est un bilan qui s'apparente à un virage dangereux pour lafrange juvénile. La Gendarmerienationale, qui a recensé plus d'un millierde cas, révèle l'ampleur de ces délits.136 affaires concernant des publicationsde photos et images non autorisées ont été enregistrées dont la plupart concernantdes mineurs. Le service de luttecontre la cybercriminalité de la GNexplique que "des réseaux de fraude sur leNet visent particulièrement les fillesmineures qui sont exposées dans des images - éhontées -". Les adolescentssont en effet les premières victimes de"relations virtuelles" fabriquées qui sedéveloppent via les réseaux sociaux etqui en sortent traumatisés de voir leursimages détournées et mal traitées par lesdélinquants de la Toile. En outre, il a étérelevé que ces "jeunes adolescentes quinourrissent le rêve de se lier avec d'autresjeunes étrangers sont victimes dechantages sur leurs personnes". Lesréseaux de la criminalité profitent de lafragilité de ces jeunes pour leur "exigerdes sommes d'argent" si les relations neseraient pas durables. Après des dépôtsde plainte au niveau de la Gendarmerienationale, les connectés de la Toile ontfait savoir que "ces personnes agissentavec des faux noms et parfois dans l'anonymatpour brouiller les pistes". Pisencore, les services de sécurité ont enregistrédes "cas de commerce de drogue etautres stupéfiants qui visent les jeunesde moins de 18 ans". Le danger fait quemême ces réseaux tentent de développerleurs activités illicites en établissant descontacts avec des écoliers. C'est suite àl'intervention de parents qui ont vu leursenfants affolés que des plaintes ont été déposées aux services concernés. A noterque l'année dernière, près de 300 affaires liées aux atteintes à la vie privée touchaient des jeunes suite à la publicationd'images et photos à caractère sexuel prohibitif. Les services de lutte et prévention contre la cybercriminalité considèrent que "les moyens d'investigations actuelles peuvent aboutir à l'identité des auteurs au niveau local" mais peuvent longtemps et parfois sans résultatsà l'étranger, vu la mobilité des auteurs de délits qui ne laissent pas beaucoup d'indices. Cela dit, ces services qui sont mis en état d'alerte développent avec le ministère de l'Education une approche de sensibilisation à l'endroit des élèves sur les dangers résultants de la mauvaise utilisation de la Toile. Le but n'étant pas de restreindre ces libertés mais de mieuxaviser les enfants en prime adolescence sur l'exploitation des réseaux du Net aux visées criminelles. C'est un bilan qui s'apparente à un virage dangereux pour lafrange juvénile. La Gendarmerienationale, qui a recensé plus d'un millierde cas, révèle l'ampleur de ces délits.136 affaires concernant des publicationsde photos et images non autorisées ont été enregistrées dont la plupart concernantdes mineurs. Le service de luttecontre la cybercriminalité de la GNexplique que "des réseaux de fraude sur leNet visent particulièrement les fillesmineures qui sont exposées dans des images - éhontées -". Les adolescentssont en effet les premières victimes de"relations virtuelles" fabriquées qui sedéveloppent via les réseaux sociaux etqui en sortent traumatisés de voir leursimages détournées et mal traitées par lesdélinquants de la Toile. En outre, il a étérelevé que ces "jeunes adolescentes quinourrissent le rêve de se lier avec d'autresjeunes étrangers sont victimes dechantages sur leurs personnes". Lesréseaux de la criminalité profitent de lafragilité de ces jeunes pour leur "exigerdes sommes d'argent" si les relations neseraient pas durables. Après des dépôtsde plainte au niveau de la Gendarmerienationale, les connectés de la Toile ontfait savoir que "ces personnes agissentavec des faux noms et parfois dans l'anonymatpour brouiller les pistes". Pisencore, les services de sécurité ont enregistrédes "cas de commerce de drogue etautres stupéfiants qui visent les jeunesde moins de 18 ans". Le danger fait quemême ces réseaux tentent de développerleurs activités illicites en établissant descontacts avec des écoliers. C'est suite àl'intervention de parents qui ont vu leursenfants affolés que des plaintes ont été déposées aux services concernés. A noterque l'année dernière, près de 300 affaires liées aux atteintes à la vie privée touchaient des jeunes suite à la publicationd'images et photos à caractère sexuel prohibitif. Les services de lutte et prévention contre la cybercriminalité considèrent que "les moyens d'investigations actuelles peuvent aboutir à l'identité des auteurs au niveau local" mais peuvent longtemps et parfois sans résultatsà l'étranger, vu la mobilité des auteurs de délits qui ne laissent pas beaucoup d'indices. Cela dit, ces services qui sont mis en état d'alerte développent avec le ministère de l'Education une approche de sensibilisation à l'endroit des élèves sur les dangers résultants de la mauvaise utilisation de la Toile. Le but n'étant pas de restreindre ces libertés mais de mieuxaviser les enfants en prime adolescence sur l'exploitation des réseaux du Net aux visées criminelles.