de l'Homme ont lancé, ce dimanche 9 décembre, un appel aux autorités algériennespour "le respect des libertés fondamentales".L'appel est lancé par AmnestyInternational Algérie, de l'Homme ont lancé, ce dimanche 9 décembre, un appel aux autorités algériennespour "le respect des libertés fondamentales".L'appel est lancé par AmnestyInternational Algérie, la Ligue algériennedes droits de l'Homme (LADH), la Liguealgérienne pour la défense des droits del'Homme (LADDH, aile Zehouane) et laLigue algérienne pour la défense des droitsde l'Homme (LADDH, bureau d'Oran).Les quatre ONG expriment dans cet appel,leurs "inquiétudes suite aux violations desdroits à la liberté d'expression, d'association, de manifestation pacifique et au libre exercice du droit syndical, en dépit desgaranties constitutionnelles concernantces droits".Elles relèvent des cas de "harcèlement et arrestations arbitraires de militants associatifs,de blogueurs et de journalistes,répression et interdiction de manifestationspacifiques à Alger et dans d'autreswilayas et interdictions ou restrictionsimposées à un certain nombre d'associations,refus d'enregistrement des organisationssyndicales et licenciement de syndicalistes".L'appel comporte 7 revendicationsconcrètes dont plusieurs demandant larévision des lois régissant les libertés fondamentales.Dans leur appel, les organisationsdemandent aussi aux autorités, de"libérer immédiatement et sans condition,toutes les personnes détenues uniquementpour avoir exercé pacifiquement leur droit àla liberté d'expression".Sur le plan syndical, les autorités sontappelées à "faire participer les organisationssyndicales à l'élaboration du nouveaucode du travail" et à "enregistrer les syndicats ayant déposé leur dossier et réintégrer des syndicalistes licenciés et suspendus". la Ligue algériennedes droits de l'Homme (LADH), la Liguealgérienne pour la défense des droits del'Homme (LADDH, aile Zehouane) et laLigue algérienne pour la défense des droitsde l'Homme (LADDH, bureau d'Oran).Les quatre ONG expriment dans cet appel,leurs "inquiétudes suite aux violations desdroits à la liberté d'expression, d'association, de manifestation pacifique et au libre exercice du droit syndical, en dépit desgaranties constitutionnelles concernantces droits".Elles relèvent des cas de "harcèlement et arrestations arbitraires de militants associatifs,de blogueurs et de journalistes,répression et interdiction de manifestationspacifiques à Alger et dans d'autreswilayas et interdictions ou restrictionsimposées à un certain nombre d'associations,refus d'enregistrement des organisationssyndicales et licenciement de syndicalistes".L'appel comporte 7 revendicationsconcrètes dont plusieurs demandant larévision des lois régissant les libertés fondamentales.Dans leur appel, les organisationsdemandent aussi aux autorités, de"libérer immédiatement et sans condition,toutes les personnes détenues uniquementpour avoir exercé pacifiquement leur droit àla liberté d'expression".Sur le plan syndical, les autorités sontappelées à "faire participer les organisationssyndicales à l'élaboration du nouveaucode du travail" et à "enregistrer les syndicats ayant déposé leur dossier et réintégrer des syndicalistes licenciés et suspendus".