Le Groupe Télécom Algérie a investi près de 300 milliards de dinars entre 2014 et2018 pour l'acquisition d'équipementsvisant à améliorer les prestations de service,a affirmé hier Houda Imane Feraoun,ministre de la Poste, desTélécommunications, des Technologies etdu Numérique. Le Groupe Télécom Algérie a investi près de 300 milliards de dinars entre 2014 et2018 pour l'acquisition d'équipementsvisant à améliorer les prestations de service,a affirmé hier Houda Imane Feraoun,ministre de la Poste, desTélécommunications, des Technologies etdu Numérique. "294 milliards de dinars ontété investis sur les quatre dernières années,entre 2014 et 2018, en équipements auniveau de toutes les filiales de GroupeTélécom Algérie : Mobilis, AlgérieTélécom, ATS", a déclaré la ministre."Cet effort a été fait sur fonds propres duGroupe Télécom, pas sur le Trésorpublic", a précisé la ministre. "Les gensvoient qu'on n'arrête pas d'investir maisqu'on n'a toujours pas les objectifs. Lesobjectifs des investissements ont étéatteints, mais les objectifs absolus nonbien sûr. On sera toujours en perpétuelleévolution, on ne sera jamais à la fin et oninvestira encore et encore", a affirméHouda Feraoun. "Au 31 décembre 2017,l'objectif du réseau mobile de MobilisAlger était de le doubler, car il était quasimentà saturation. Il y a eu les investissementsqu'il faut, mais on est toujours à lamême situation qu'au 31 décembre 2017.Pourquoi ?Car la demande de chaque clienta doublé en une année. Le client qui utilisaitson smartphone pour voir son emaill'utilise aujourd'hui pour voir de la vidéo.Aurait-il fallu mettre un réseau quatre fois plus grand ? Oui, mais il aurait fallu quatre fois plus d'investissements", a expliquéla ministre. "En 2019, il est prévu pas moins de 184 milliards de dinars toutes filiales comprises d'investissements techniques", a annoncé la ministre, ajoutant que n'était pas inclus dans ces investissements le "déploiement dans les zones enclavées qui seront supportées par le serviceuniversel". Les 184 milliards concerneront le déploiement de la fibre dans les zones encore non dotées, de l'assainissement du réseau urbain sur Alger, la continuation du déploiement du FTTH, ouencore la finalisation de la mise en place du câble sous-marin Orval. A ces investissements techniques s'ajouteront 23 milliardsde dinars d'investissements nontechniques, dont la moitié concernera laformation du personnel existant mais aussi de la préparation de la génération suivante. "294 milliards de dinars ontété investis sur les quatre dernières années,entre 2014 et 2018, en équipements auniveau de toutes les filiales de GroupeTélécom Algérie : Mobilis, AlgérieTélécom, ATS", a déclaré la ministre."Cet effort a été fait sur fonds propres duGroupe Télécom, pas sur le Trésorpublic", a précisé la ministre. "Les gensvoient qu'on n'arrête pas d'investir maisqu'on n'a toujours pas les objectifs. Lesobjectifs des investissements ont étéatteints, mais les objectifs absolus nonbien sûr. On sera toujours en perpétuelleévolution, on ne sera jamais à la fin et oninvestira encore et encore", a affirméHouda Feraoun. "Au 31 décembre 2017,l'objectif du réseau mobile de MobilisAlger était de le doubler, car il était quasimentà saturation. Il y a eu les investissementsqu'il faut, mais on est toujours à lamême situation qu'au 31 décembre 2017.Pourquoi ?Car la demande de chaque clienta doublé en une année. Le client qui utilisaitson smartphone pour voir son emaill'utilise aujourd'hui pour voir de la vidéo.Aurait-il fallu mettre un réseau quatre fois plus grand ? Oui, mais il aurait fallu quatre fois plus d'investissements", a expliquéla ministre. "En 2019, il est prévu pas moins de 184 milliards de dinars toutes filiales comprises d'investissements techniques", a annoncé la ministre, ajoutant que n'était pas inclus dans ces investissements le "déploiement dans les zones enclavées qui seront supportées par le serviceuniversel". Les 184 milliards concerneront le déploiement de la fibre dans les zones encore non dotées, de l'assainissement du réseau urbain sur Alger, la continuation du déploiement du FTTH, ouencore la finalisation de la mise en place du câble sous-marin Orval. A ces investissements techniques s'ajouteront 23 milliardsde dinars d'investissements nontechniques, dont la moitié concernera laformation du personnel existant mais aussi de la préparation de la génération suivante.