L'armée du Venezuela a renouvelé son soutien et sa "loyauté sansfaille" envers le Président NicolasMaduro, rejetant les appels à désavouerle dirigeant socialiste lancéspar le président américain, L'armée du Venezuela a renouvelé son soutien et sa "loyauté sansfaille" envers le Président NicolasMaduro, rejetant les appels à désavouerle dirigeant socialiste lancéspar le président américain, DonaldTrump, et l'opposant Juan Guaido,ont rapporté hier des médias locaux.Le ministre de la Défense, Vladimir Padrino, entouré du haut-commandementmilitaire, a assuré mardisoir que l'armée ne céderait pas au"chantage", qualifiant de "tissu demensonges" la présentation parDonald Trump et Juan Guaido de"cette prétendue aide humanitaire"comme un sujet de confrontationentre civils et militaires vénézuéliens."L'armée restera déployée eten alerte le long des frontières, comme l'a ordonné notre commandanten chef, M. Nicolas Maduropour empêcher toute violation del'intégrité du territoire", a averti leministre de la Défense vénézuélienne. L'armée a égalementannoncé la fermeture de la frontièremaritime avec les îles néerlandaisesd'Aruba, Bonaire et Curaçao,situées au large du Venezuela.L'opposant Juan Guaido, autoproclamé"président en charge" dupays, a envoyé mardi un messagesur Twitter à chacun des chefs militairesdes régions frontalières, les invitant à choisir à partir du 23 février, entre "servir Maduro ou laPatrie". Plusieurs dizaines de tonnes de vivres et de médicaments envoyées par les Etats-Unis sont stockées dans la ville colombienne de Cucuta, près du pont frontalierde Tienditas, barré par les autorités vénézuéliennes. Le Président Maduro voit à travers l'entrée de l'aide humanitaire américaine les prémices d'une "intervention militaire", affirmant que "la pénurie de produits alimentaires et de médicaments est le fait des sanctions de Washington à l'encontre de Caracas". "Les Présidents à la botte des yankees comme ceux de Colombie et du Chili, qui encouragentla provocation et la violence contre le Venezuela, sont en train d'appeler à prendre d'assaut lafrontière du Venezuela samedi prochain", a dénoncé dans ce contexte Maduro. Voulant rassuré les Vénézuéliens, il a annoncé, en outre, l'acheminement mercredi de 300 tonnes de médicaments achetés à la Russie, en plus des 933 tonnes achetées récemment à la Chine, lab Russie et Cuba. DonaldTrump, et l'opposant Juan Guaido,ont rapporté hier des médias locaux.Le ministre de la Défense, Vladimir Padrino, entouré du haut-commandementmilitaire, a assuré mardisoir que l'armée ne céderait pas au"chantage", qualifiant de "tissu demensonges" la présentation parDonald Trump et Juan Guaido de"cette prétendue aide humanitaire"comme un sujet de confrontationentre civils et militaires vénézuéliens."L'armée restera déployée eten alerte le long des frontières, comme l'a ordonné notre commandanten chef, M. Nicolas Maduropour empêcher toute violation del'intégrité du territoire", a averti leministre de la Défense vénézuélienne. L'armée a égalementannoncé la fermeture de la frontièremaritime avec les îles néerlandaisesd'Aruba, Bonaire et Curaçao,situées au large du Venezuela.L'opposant Juan Guaido, autoproclamé"président en charge" dupays, a envoyé mardi un messagesur Twitter à chacun des chefs militairesdes régions frontalières, les invitant à choisir à partir du 23 février, entre "servir Maduro ou laPatrie". Plusieurs dizaines de tonnes de vivres et de médicaments envoyées par les Etats-Unis sont stockées dans la ville colombienne de Cucuta, près du pont frontalierde Tienditas, barré par les autorités vénézuéliennes. Le Président Maduro voit à travers l'entrée de l'aide humanitaire américaine les prémices d'une "intervention militaire", affirmant que "la pénurie de produits alimentaires et de médicaments est le fait des sanctions de Washington à l'encontre de Caracas". "Les Présidents à la botte des yankees comme ceux de Colombie et du Chili, qui encouragentla provocation et la violence contre le Venezuela, sont en train d'appeler à prendre d'assaut lafrontière du Venezuela samedi prochain", a dénoncé dans ce contexte Maduro. Voulant rassuré les Vénézuéliens, il a annoncé, en outre, l'acheminement mercredi de 300 tonnes de médicaments achetés à la Russie, en plus des 933 tonnes achetées récemment à la Chine, lab Russie et Cuba.