L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV), a indiquémardi dans un communiqué, qu'elle "n'a pas été dotée desmoyens nécessaires à son relevantqu'elle "ne peut fonctionner normalement, que si les Pouvoirs publics satisfont àleurs obligations". L'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV), a indiquémardi dans un communiqué, qu'elle "n'a pas été dotée desmoyens nécessaires à son relevantqu'elle "ne peut fonctionner normalement, que si les Pouvoirs publics satisfont àleurs obligations". "Le législateur a voulu faire de l'ARAV une institution indépendante, pour lui assurer un poids etune autonomie de décision. A ce jour, etmalgré l'annonce faite en septembre 2017par le Premierministre devant l'Assembléepopulaire nationale, l'ARAV n'a pas étédotée des moyens nécessaires à son fonctionnement,la question de son statut etson budget demeurant en suspens", précisela même source. Le communiqué ajoute,que "l'ARAV ne peut fonctionner normalement,que si les Pouvoirs publicsconcernés satisfont à leurs obligations, enmatière de mise en ordre du paysage audiovisuel",relevant que "la loi stipule que ce sont ces Pouvoirs publics, et eux seuls,qui ont l'autorité pour lancer les appels àcandidature, en précisant le nombre dechaînes dont le pays souhaite se doter"."Ce n'est qu'une fois la compétition lancée,que l'ARAV prend en charge l'opérationde mise en conformité et de validationdes documents présentés. Or, à ce jour,aucun appel à candidature n'a été lancé", souligne l'Autorité, faisant observer que "ce sont principalement ces deux pointsqui l'ont empêché de prendre un départ sérieux". Le communiqué de "l'ARAV est intervenu après que le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, eut évoqué dans la version écrite de la Déclaration de politique générale du gouvernement que cette Autorité est impuissante, n'arrivant pas à exercer réellement son mandat". "Ce diagnostic est pertinent et l'ARAV considère que trente-deux mois après son installation officielle, le constat est patent: son bilan est très en deçà de attentes générales et de ses propres ambitions", souligne le communiqué de cetteinstance. "L'ARAV ne peut, pour autant, que se réjouir de l'alerte contenue dans la Déclaration du Premier ministre qui sonne comme une autocritique partagée, etrépond à une volonté de prendre en chargeen toute légalité, la mise à niveau du paysageaudiovisuel national et son intégrationdans le cadre du dispositif réglementaire et législatif en vigueur", conclut le communiqué de l'Autorité. "Le législateur a voulu faire de l'ARAV une institution indépendante, pour lui assurer un poids etune autonomie de décision. A ce jour, etmalgré l'annonce faite en septembre 2017par le Premierministre devant l'Assembléepopulaire nationale, l'ARAV n'a pas étédotée des moyens nécessaires à son fonctionnement,la question de son statut etson budget demeurant en suspens", précisela même source. Le communiqué ajoute,que "l'ARAV ne peut fonctionner normalement,que si les Pouvoirs publicsconcernés satisfont à leurs obligations, enmatière de mise en ordre du paysage audiovisuel",relevant que "la loi stipule que ce sont ces Pouvoirs publics, et eux seuls,qui ont l'autorité pour lancer les appels àcandidature, en précisant le nombre dechaînes dont le pays souhaite se doter"."Ce n'est qu'une fois la compétition lancée,que l'ARAV prend en charge l'opérationde mise en conformité et de validationdes documents présentés. Or, à ce jour,aucun appel à candidature n'a été lancé", souligne l'Autorité, faisant observer que "ce sont principalement ces deux pointsqui l'ont empêché de prendre un départ sérieux". Le communiqué de "l'ARAV est intervenu après que le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, eut évoqué dans la version écrite de la Déclaration de politique générale du gouvernement que cette Autorité est impuissante, n'arrivant pas à exercer réellement son mandat". "Ce diagnostic est pertinent et l'ARAV considère que trente-deux mois après son installation officielle, le constat est patent: son bilan est très en deçà de attentes générales et de ses propres ambitions", souligne le communiqué de cetteinstance. "L'ARAV ne peut, pour autant, que se réjouir de l'alerte contenue dans la Déclaration du Premier ministre qui sonne comme une autocritique partagée, etrépond à une volonté de prendre en chargeen toute légalité, la mise à niveau du paysageaudiovisuel national et son intégrationdans le cadre du dispositif réglementaire et législatif en vigueur", conclut le communiqué de l'Autorité.