Rien ne va dans le secteur de l'éducation nationale. La grève initiée par le Collectif des syndicats autonomes de l'éducation à savoir l'Unionnationale du personnel del'éducation et de la formation(UNPEF). Rien ne va dans le secteur de l'éducation nationale. La grève initiée par le Collectif des syndicats autonomes de l'éducation à savoir l'Unionnationale du personnel del'éducation et de la formation(UNPEF). Le Syndicat autonome des travailleurs de l'Education et de la Formation (Satef), le Conseil des lycéesd'Algérie (Cla), le Syndicat national autonomedes professeurs de l'enseignementsecondaire et technique (Snapest), leSyndicat national des travailleurs de l'éducation(SNTE) et le Conseil national autonomedu personnel enseignant du secteurternaire de l'Education (Cnapeste), se poursuità un rythme soutenu.Malgré la décision du tribunal administratif d'Alger, déclarant la grève illégale. Eneffet, le tribunal administratif de Bir-Mourad-Raïs (Alger) a déclaré mardi "illégale" le mouvement de grève auquel aappelé le Collectif des syndicats autonomesdu secteur de l'éducation dans lestrois cycles de l'enseignement. Tenant compte de l'intérêt de l'élève et de son droit à l'éducation et à l'enseignement garanti par la Constitution de la République, l'affairea été portée devant le tribunal administratifd'Alger qui a déclaré "illégal" cemouvement de grève, annoncée par lessyndicats autonomes "en vertu du préavisde grève daté du 18 février 2019 sous lesnuméros 01 et 02/2019, portant appel àune grève nationale les 26 et 27 février".Les animateurs des syndicats autonomesne comptent pas rester les bras croisés faceà la nouvelle donne en annonçant la poursuitede leur combat jusqu'à l'aboutissementde leurs revendications. Ils ont appelé leurs adhérents à poursuivre comme prévu leur action, avec des sit-in régionaux, à Blida, Laghouat, Relizane et Batna, devant les sièges des directions de wilaya. Habituée, depuis sa nomination, aux mouvements de protestation, Benghabrit semble vouloir étouffer la contestation dans l'oeuf. Elle a en effet invité implicitement les syndicats au dialogue pour désamorcer la situation. "Les portes du dialogues avec le partenaire sociales sont toujours ouvertes", assure-telle. Ouvrir les portes du dialogue ne signifie pas cependant une capitulation. Et Benghabrit a tenu de le faire savoir encoreune fois. Pour rappel, les syndicats membresde l'intersyndicale avaient dressé dimanche dernier un véritable réquisitoire contre le département de Nouria Benghabrit. La grève des 26 et 27 février est la seconde organisée depuis le début de l'année cours après celle du 21 janvier dernier, à l'appui de revendications socioprofessionnelles, dont la révision du statut particulier, la retraite proportionnelle. Le Syndicat autonome des travailleurs de l'Education et de la Formation (Satef), le Conseil des lycéesd'Algérie (Cla), le Syndicat national autonomedes professeurs de l'enseignementsecondaire et technique (Snapest), leSyndicat national des travailleurs de l'éducation(SNTE) et le Conseil national autonomedu personnel enseignant du secteurternaire de l'Education (Cnapeste), se poursuità un rythme soutenu.Malgré la décision du tribunal administratif d'Alger, déclarant la grève illégale. Eneffet, le tribunal administratif de Bir-Mourad-Raïs (Alger) a déclaré mardi "illégale" le mouvement de grève auquel aappelé le Collectif des syndicats autonomesdu secteur de l'éducation dans lestrois cycles de l'enseignement. Tenant compte de l'intérêt de l'élève et de son droit à l'éducation et à l'enseignement garanti par la Constitution de la République, l'affairea été portée devant le tribunal administratifd'Alger qui a déclaré "illégal" cemouvement de grève, annoncée par lessyndicats autonomes "en vertu du préavisde grève daté du 18 février 2019 sous lesnuméros 01 et 02/2019, portant appel àune grève nationale les 26 et 27 février".Les animateurs des syndicats autonomesne comptent pas rester les bras croisés faceà la nouvelle donne en annonçant la poursuitede leur combat jusqu'à l'aboutissementde leurs revendications. Ils ont appelé leurs adhérents à poursuivre comme prévu leur action, avec des sit-in régionaux, à Blida, Laghouat, Relizane et Batna, devant les sièges des directions de wilaya. Habituée, depuis sa nomination, aux mouvements de protestation, Benghabrit semble vouloir étouffer la contestation dans l'oeuf. Elle a en effet invité implicitement les syndicats au dialogue pour désamorcer la situation. "Les portes du dialogues avec le partenaire sociales sont toujours ouvertes", assure-telle. Ouvrir les portes du dialogue ne signifie pas cependant une capitulation. Et Benghabrit a tenu de le faire savoir encoreune fois. Pour rappel, les syndicats membresde l'intersyndicale avaient dressé dimanche dernier un véritable réquisitoire contre le département de Nouria Benghabrit. La grève des 26 et 27 février est la seconde organisée depuis le début de l'année cours après celle du 21 janvier dernier, à l'appui de revendications socioprofessionnelles, dont la révision du statut particulier, la retraite proportionnelle.