Le président Bouteflika est bel et bien candidat à l'élection présidentielle du 18 avril prochain. Il n'a donc pas renoncé à sa candidature etce contrairement aux souhaits exprimés par une partie des algériens lors des manifestations organisées ces derniers jours. Le président Bouteflika est bel et bien candidat à l'élection présidentielle du 18 avril prochain. Il n'a donc pas renoncé à sa candidature etce contrairement aux souhaits exprimés par une partie des algériens lors des manifestations organisées ces derniers jours. C'est en effet Abdelghani Zaalane, qu'il a désigné avant-hier commedirecteur de sa campagne électorale,en remplacement d'AbdelmalekSellal, qui a déposé par procuration sondossier de candidature auprès du Conseilconstitutionnel dans la soirée d'hier.L'arrivée de Zaalane a été précédée par l'arrivéede 8 fourgons chargés transportantles formulaires du candidat BouteflikaauConseil constitutionnel. Si certainsobservateurs estimaient que la présencephysique du candidat était obligatoired'autres, en revanche, pensaient que celane l'était pas puisque les dispositions de laloi électorale ne mentionnaient aucunement cette obligation. Le président candidat s'est rendu à Genève le dimanche 24 février de ce mois pour effectuer des « contrôles médicaux périodiques » comme cela a été annoncé par la présidence de la république. Au sortir du Conseil constitutionnel Abdelghani Zaalane arévélé que le président candidat a dressé une lettre aux algériens et en a révélé la teneur devant lesjournalistes. Une lettre dans laquelle il dit avoir écouté et entendu le cridu coeur des manifestants et en particulier des milliers de jeunes qui m'ontinterpellé sur l'avenir de notre patrie ». Il faisaitallusion aux dernières manifestations contre le 5é mandat. Des manifestants a qui il a aussi promis « la concrétisation de leur exigence fondamentale,c'est-à-dire le changement du système». Il a de même réitéré son engagement, au cas où il est élu, d'organiser une conférence nationale inclusive, l'organisation d'élections présidentielles anticipées et l'élaboration d'une nouvelle constitution qui sera adoptée par voie référendaire. C'est en effet Abdelghani Zaalane, qu'il a désigné avant-hier commedirecteur de sa campagne électorale,en remplacement d'AbdelmalekSellal, qui a déposé par procuration sondossier de candidature auprès du Conseilconstitutionnel dans la soirée d'hier.L'arrivée de Zaalane a été précédée par l'arrivéede 8 fourgons chargés transportantles formulaires du candidat BouteflikaauConseil constitutionnel. Si certainsobservateurs estimaient que la présencephysique du candidat était obligatoired'autres, en revanche, pensaient que celane l'était pas puisque les dispositions de laloi électorale ne mentionnaient aucunement cette obligation. Le président candidat s'est rendu à Genève le dimanche 24 février de ce mois pour effectuer des « contrôles médicaux périodiques » comme cela a été annoncé par la présidence de la république. Au sortir du Conseil constitutionnel Abdelghani Zaalane arévélé que le président candidat a dressé une lettre aux algériens et en a révélé la teneur devant lesjournalistes. Une lettre dans laquelle il dit avoir écouté et entendu le cridu coeur des manifestants et en particulier des milliers de jeunes qui m'ontinterpellé sur l'avenir de notre patrie ». Il faisaitallusion aux dernières manifestations contre le 5é mandat. Des manifestants a qui il a aussi promis « la concrétisation de leur exigence fondamentale,c'est-à-dire le changement du système». Il a de même réitéré son engagement, au cas où il est élu, d'organiser une conférence nationale inclusive, l'organisation d'élections présidentielles anticipées et l'élaboration d'une nouvelle constitution qui sera adoptée par voie référendaire.