Neuf milles (9.000) places sont à pourvoir pour les45.000 candidats aux postesde professeur principal etprofesseur formateur, lors dela 2e session du concours derecrutement, le 16 marsprochain, a indiqué hier àAlger, l'Inspecteur général duministère de l'Educationnationale, NedjadiMessaguem. Neuf milles (9.000) places sont à pourvoir pour les45.000 candidats aux postesde professeur principal etprofesseur formateur, lors dela 2e session du concours derecrutement, le 16 marsprochain, a indiqué hier àAlger, l'Inspecteur général duministère de l'Educationnationale, NedjadiMessaguem. "9.000 postes de Professeur principal et Professeur formateur, non pourvus à l'issue du 1er concours organisé en 2018, sont à pourvoirlors de la 2e session prévue le 16mars prochain, afin de donner uneseconde chance à ceux qui n'avaient pasété admis lors du précédent concours", adéclaré M.Messaguem, sur les ondes de laChaîne III de la radio nationale, rappelant que le nombre des candidats est de 45.000pour les paliers du primaire, du moyen etdu secondaire.Tout en précisant que le prochainconcours est ouvert même aux "absents",lors de la 1ère session, il a rappelé qu'environ43.000 candidats s'étaient inscritsen 2018, notant que l'Office national desexamens et concours (ONEC), a prévu àl'intention des concurrents "le même dispositifde contrôle et de transparence" quecelui destiné aux élèves des différentscycles éducatifs."Aucune personne n'y interfère", a-t-ilinsisté, à ce propos, notant que les sujetsd'examens sont "d'ordre professionnel", àsavoir inhérent à la didactique, avant desoutenir qu'eu égard à leurs "missions spécifiques", la formation des professeurs formateurs est évaluée à chaque fin de cycle à travers un dispositif "permanent" de suivi, impliquant des experts internationaux, faisant savoir que, jusque-là, plus de 2.000 professeurs formateurs ont été formés avec des "compétences avérées". Ceci, dans la perspective de "l'école de qualité" envisagée par le secteur, à l'horizon 2030 et pour laquelle des "plans intermédiaires", sont mis en place, a-t-il poursuivi, affichant son "satisfécit", quant à la cadence du 1er trimestre et réitérant la volonté de son département, à poursuivre "l'allégement" des programmes scolaires. L'hôte de la Radio a, en outre, affirmé que le calendrier des examens de fin d'année, dont celui du baccalauréat, est "ficelé": "La machine est bien rodée, nous serons au rendez-vous", a-t-il insisté, se défendant que les résultats obtenus ces dernières années dans les différents paliers de l'éducation, soient "dopés" par l'ONEC, les commissions en charge d'élaborer les sujets ayant "un protocole très serré et ne recevant aucune directive pour tempérer les sujets". "Sur les 3 dernières années annéess, les indicateurs sont stabilisés", a-t-il argumenté, précisant que 79 à 81 % des élèves du primaire ont obtenu leurs moyennes, de même pour 70 à 75 % des collégiens et pour quelques 53 % des postulants au baccalauréat. Des taux "très significatifs prédisant les résultats avec une majoration de 5 à 10 %", a-t-il commenté. Interpelé sur la récente grève observée à l'appel des syndicats du secteur, il a rassuré quant au "contact permanent" entre ces derniers et la tutelle, lequel a abouti à la résolution de "certains problèmes", relevant que "pour la première fois, les syndicats sont unanimes pour discuter de la pédagogie". Il a annoncé à cette occasion, la tenue prochaine d'une journée d'étude afin de "les informer de la stratégie du ministère visant à améliorer la qualité de l'enseignement". Sur un autre plan, M. Messguem a soutenu le système éducatif est "épargnépar les courants idéologiques, qui avaient sur rue dans les établissements",faisant état d'une "mobilisation" des inspecteurs dans ce sens. "L'école n'est pas politisée, les programmes écrits en 2016 ont été allégés et élagués de tout ce qui peut nuire aux élèves", a-t-il observé dans ce sens, relevant que "les constantes nationales sont la ligne rouge" à ne pas franchir. "9.000 postes de Professeur principal et Professeur formateur, non pourvus à l'issue du 1er concours organisé en 2018, sont à pourvoirlors de la 2e session prévue le 16mars prochain, afin de donner uneseconde chance à ceux qui n'avaient pasété admis lors du précédent concours", adéclaré M.Messaguem, sur les ondes de laChaîne III de la radio nationale, rappelant que le nombre des candidats est de 45.000pour les paliers du primaire, du moyen etdu secondaire.Tout en précisant que le prochainconcours est ouvert même aux "absents",lors de la 1ère session, il a rappelé qu'environ43.000 candidats s'étaient inscritsen 2018, notant que l'Office national desexamens et concours (ONEC), a prévu àl'intention des concurrents "le même dispositifde contrôle et de transparence" quecelui destiné aux élèves des différentscycles éducatifs."Aucune personne n'y interfère", a-t-ilinsisté, à ce propos, notant que les sujetsd'examens sont "d'ordre professionnel", àsavoir inhérent à la didactique, avant desoutenir qu'eu égard à leurs "missions spécifiques", la formation des professeurs formateurs est évaluée à chaque fin de cycle à travers un dispositif "permanent" de suivi, impliquant des experts internationaux, faisant savoir que, jusque-là, plus de 2.000 professeurs formateurs ont été formés avec des "compétences avérées". Ceci, dans la perspective de "l'école de qualité" envisagée par le secteur, à l'horizon 2030 et pour laquelle des "plans intermédiaires", sont mis en place, a-t-il poursuivi, affichant son "satisfécit", quant à la cadence du 1er trimestre et réitérant la volonté de son département, à poursuivre "l'allégement" des programmes scolaires. L'hôte de la Radio a, en outre, affirmé que le calendrier des examens de fin d'année, dont celui du baccalauréat, est "ficelé": "La machine est bien rodée, nous serons au rendez-vous", a-t-il insisté, se défendant que les résultats obtenus ces dernières années dans les différents paliers de l'éducation, soient "dopés" par l'ONEC, les commissions en charge d'élaborer les sujets ayant "un protocole très serré et ne recevant aucune directive pour tempérer les sujets". "Sur les 3 dernières années annéess, les indicateurs sont stabilisés", a-t-il argumenté, précisant que 79 à 81 % des élèves du primaire ont obtenu leurs moyennes, de même pour 70 à 75 % des collégiens et pour quelques 53 % des postulants au baccalauréat. Des taux "très significatifs prédisant les résultats avec une majoration de 5 à 10 %", a-t-il commenté. Interpelé sur la récente grève observée à l'appel des syndicats du secteur, il a rassuré quant au "contact permanent" entre ces derniers et la tutelle, lequel a abouti à la résolution de "certains problèmes", relevant que "pour la première fois, les syndicats sont unanimes pour discuter de la pédagogie". Il a annoncé à cette occasion, la tenue prochaine d'une journée d'étude afin de "les informer de la stratégie du ministère visant à améliorer la qualité de l'enseignement". Sur un autre plan, M. Messguem a soutenu le système éducatif est "épargnépar les courants idéologiques, qui avaient sur rue dans les établissements",faisant état d'une "mobilisation" des inspecteurs dans ce sens. "L'école n'est pas politisée, les programmes écrits en 2016 ont été allégés et élagués de tout ce qui peut nuire aux élèves", a-t-il observé dans ce sens, relevant que "les constantes nationales sont la ligne rouge" à ne pas franchir.