Les épreuves du bac de juin 2018 se dérouleront dans les mêmes conditions que lors des précédentes éditions, a annoncé l'Office national des examens et concours Onec. Les épreuves du bac de juin 2018 se dérouleront dans les mêmes conditions que lors des précédentes éditions, a annoncé l'Office national des examens et concours Onec. Dans cette information, qui s'apparente à un démenti implicite aux informations rapportées par certainsjournaux, faisant état de nouvelles dispositions dans la surveillance, l'Onec explique que les candidats seront au nombre de 20par classes avec trois professeurs pourassurer la surveillance. L'Onec indique en outre que les enseignantsen charge de la préparation des épreuves et de la surveillance, pendant l'examen, travailleront dans "un climatfamilial".En revanche, pour ce qui est des sujetsd'examen, Mme Benghabrit a donné desinstructions aux professeurs en leurdemandant d'opter pour des épreuves quifont appel au raisonnement, à la déduction et non au - parcoeurisme - qui favorise lestentatives de fraude. Selon l'Office national des examens et concours (Onec) les choses vont bon trainpour réussir ces épreuves à tous points devue, réhabiliter la confiance entre les candidatset les instances de l'Education nationaleet crédibiliser ce symbole de réussitescolaire et sociale. La sécurisation del'examen va commencer au niveau de cettedernière qui a bénéficié comme à l'accoutuméed'une mise à niveau grâce aux moyens financiers consentis par les pouvoirspublics, et les centres d'examens oùune batterie de mesures est prévue. A cet effet, l'Onec , a déjà ficelé les listes des enseignants qui assureront la surveillance des examens de fin d'année pour l'annéescolaire 2017-2018. Avec le souvenir du scandale de la fraude durant les examens lors des précédentes sessions marquéeségalement par des situations de rébellionsdes élèves, l'Onec n'est pas prêt à revivre le même scenario en procédant à un règlement rigoureux. Pour ce, les élèves maisaussi les surveillants seront sous surveillance.Trois surveillants sont prévus pour chaque salle d'examen, 4 pour les candidats libres. Les sorties de classe vers les sanitaires sont strictement encadrées. Dans l'environnement extérieur des mesures desécurité sont également prises. Et pourmettre l'élève dans un environnement plusprofitable, l'Onec a limité le nombre d'élèves de 19 à 20 par classe d'examen. Le système national de normalisation et d'évaluation des élèves en débat La mise en place d'un système national de normalisation et d'évaluation des réalisationsdes élèves a été au centre d'une rencontredes cadres de l'Education nationale, présidée samedi par la ministre du secteur, Nouria Benghabrit, indique un communiqué du ministère.L'objectif de la réunion est de "placer tousles cadres du ministère sur la même information, où l'accent a été mis sur la mise en place d'un système national de normalisation et d'évaluation des réalisations desélèves", précise la même source. Il a été également souligné "la nécessitéde la mise en place d'une vue d'ensemble des questions relatives à l'éducation,conçues et mises en place par les organes et cadres du ministère, à la suite d'enquêtes et de Consultations avec les professionnels du secteur de l'éducation et ses partenaires, ainsi que les rencontres scientifiqueset pédagogiques qui ont eu lieu, dans ce cadre". Les interventions ont été axées, en outre, sur "les moyens de reformulation des différentspoints de référence pour l'éducation etl'apprentissage à partir d'indicateurs de qualité(Marwatt diminutif de la référencenationale à la présentation et à l'évaluation)",ajoute la même source. Par la même occasion, "le programme de travail à venir a été identifié, la définition des tâches ainsi que les structures qui s'appliquentaux différents éléments de laréglementation actuelle", note le communiqué.Le colloque a été, en outre, l'occasionde "présenter les divers documents en cours d'élaboration sous la forme de référencesgénérales, de référence pour chaque article et les ressources méthodologiques et pédagogiques", souligne la même source. Dans cette information, qui s'apparente à un démenti implicite aux informations rapportées par certainsjournaux, faisant état de nouvelles dispositions dans la surveillance, l'Onec explique que les candidats seront au nombre de 20par classes avec trois professeurs pourassurer la surveillance. L'Onec indique en outre que les enseignantsen charge de la préparation des épreuves et de la surveillance, pendant l'examen, travailleront dans "un climatfamilial".En revanche, pour ce qui est des sujetsd'examen, Mme Benghabrit a donné desinstructions aux professeurs en leurdemandant d'opter pour des épreuves quifont appel au raisonnement, à la déduction et non au - parcoeurisme - qui favorise lestentatives de fraude. Selon l'Office national des examens et concours (Onec) les choses vont bon trainpour réussir ces épreuves à tous points devue, réhabiliter la confiance entre les candidatset les instances de l'Education nationaleet crédibiliser ce symbole de réussitescolaire et sociale. La sécurisation del'examen va commencer au niveau de cettedernière qui a bénéficié comme à l'accoutuméed'une mise à niveau grâce aux moyens financiers consentis par les pouvoirspublics, et les centres d'examens oùune batterie de mesures est prévue. A cet effet, l'Onec , a déjà ficelé les listes des enseignants qui assureront la surveillance des examens de fin d'année pour l'annéescolaire 2017-2018. Avec le souvenir du scandale de la fraude durant les examens lors des précédentes sessions marquéeségalement par des situations de rébellionsdes élèves, l'Onec n'est pas prêt à revivre le même scenario en procédant à un règlement rigoureux. Pour ce, les élèves maisaussi les surveillants seront sous surveillance.Trois surveillants sont prévus pour chaque salle d'examen, 4 pour les candidats libres. Les sorties de classe vers les sanitaires sont strictement encadrées. Dans l'environnement extérieur des mesures desécurité sont également prises. Et pourmettre l'élève dans un environnement plusprofitable, l'Onec a limité le nombre d'élèves de 19 à 20 par classe d'examen. Le système national de normalisation et d'évaluation des élèves en débat La mise en place d'un système national de normalisation et d'évaluation des réalisationsdes élèves a été au centre d'une rencontredes cadres de l'Education nationale, présidée samedi par la ministre du secteur, Nouria Benghabrit, indique un communiqué du ministère.L'objectif de la réunion est de "placer tousles cadres du ministère sur la même information, où l'accent a été mis sur la mise en place d'un système national de normalisation et d'évaluation des réalisations desélèves", précise la même source. Il a été également souligné "la nécessitéde la mise en place d'une vue d'ensemble des questions relatives à l'éducation,conçues et mises en place par les organes et cadres du ministère, à la suite d'enquêtes et de Consultations avec les professionnels du secteur de l'éducation et ses partenaires, ainsi que les rencontres scientifiqueset pédagogiques qui ont eu lieu, dans ce cadre". Les interventions ont été axées, en outre, sur "les moyens de reformulation des différentspoints de référence pour l'éducation etl'apprentissage à partir d'indicateurs de qualité(Marwatt diminutif de la référencenationale à la présentation et à l'évaluation)",ajoute la même source. Par la même occasion, "le programme de travail à venir a été identifié, la définition des tâches ainsi que les structures qui s'appliquentaux différents éléments de laréglementation actuelle", note le communiqué.Le colloque a été, en outre, l'occasionde "présenter les divers documents en cours d'élaboration sous la forme de référencesgénérales, de référence pour chaque article et les ressources méthodologiques et pédagogiques", souligne la même source.