Les services des Douanes ont saisi un total de 455.516 produits contrefaits durantl'année 2018. La majorité desbiens contrefais proviennent de Chine (323.432 unités), soitplus de 71 % du total desproduits contrefaits ayant pénétré le territoire national durant l'année écoulée. Les services des Douanes ont saisi un total de 455.516 produits contrefaits durantl'année 2018. La majorité desbiens contrefais proviennent de Chine (323.432 unités), soitplus de 71 % du total desproduits contrefaits ayant pénétré le territoire national durant l'année écoulée. Le reste des produits contrefaits ont été importé, essentiellement, duBangladesh, de l'Inde, de la Malaisie, de la Turquie pour un nombre de 7.646 unités, près de 2 %, et d'autre pays pour 124.438 produits, soit près de 27,32 %,précisent les données statistiques de ladirection générale des Douanes (DGD).La répartition, par nature de produitscontrefaits, montre que les articles desport, textiles, pièce de rechange, accessoirespour téléphone et les appareils électriqueset les montres sont les plus touchés,en 2018, par la contrefaçon.Selon les données des Douanes, les articles de sport sont les plus concernés par cen phénomène avec 269.608 articles, ce quireprésente près de 59,19 %, suivies par les textiles (113.725), soit 24,96 %, les pièces de rechange 67.671 (14,85 %, les accessoirespour téléphone (3.018), soit 0,66 %et enfin les appareils électriques et les montres avec 1.494 unité, soit près de 0,33 %. Les saisies du 1er trimestre 2019 représentent + 70 % de la totalité de 2018 La quantité des produits contrefaits ayant saisie durant le premier trimestre 2019 ont totalisé 320.514 unités, ce qui représente 70,36 % de la totalité des saisies effectuée par les Douanes algériennes durant toute l'année 2018. La majorité des produits saisies, durant les trois premiers mois 2019,sont des articles de sport, essentiellement, des chaussures de sport, jockings pour adultes et enfants et casquette de différentes marques (Nike, Adidas, Reebook, Lacoste, etc.). En 2017, le nombre des produits contrefaitssaisies ont totalisé 724.214 unités.Ces biens contrefais proviennent majoritairementde Chine, et comprennentnotamment des articles de sport, des produits alimentaires, des pièces de rechange, des petits appareils électroménagers et d'esthétique, etc. Encouragé par la demande du marché, ce phénomène (contrefaçon) ne cesse des'accroître. En général, le consommateur cherche un produits de marque, mais à un bas prix, selon les Douanes. La maîtrise de ce fléau, selon les Douanes,nécessite la collaboration et la coordination de plusieurs intervenants, à commencerpar le titulaire de la marque auquelincombe d'alerter les services des douanes du pays concerné au cas où cellecivient à être copiée afin d'être endigué. La contrefaçon, qui revêt une dimension mondiale, interpelle les pouvoirs publicsqui n'ont pas cessé de mettre les moyens qu'il faut pour endiguer le phénomène et maîtriser le flux de marchandises fabriquées localement ou importées.Un laboratoire public d'essai et decontrôle de qualité des produits industriels (locales et importés) commercialisés en Algérie, vient d'entrer en service, afin de renforcer le contrôle de la fraude et de lacontrefaçon. Un laboratoire à la rescousse A ce propos, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a déclaré mardi dernier, lors de l'inauguration, que ce laboratoire "est venu consolider le réseau algérien des laboratoires spécialisés dans le contrôlede qualité, constitué de 326 laboratoirespublics et privés".Pour lui, la mise en place d'un réseau delaboratoires de contrôle de qualité des différentsproduits, à l'instar des produitsindustriels non alimentaires tels que les détergents, les appareils électroménagers,cosmétiques et la pièce détaches, s'inscrit dans le cadre de la protection du consommateur et du produit national contre lafraude et la contrefaçon. Premier du genre, ce laboratoire veillera à l'application et au respect des normes de qualité et à la conformité, aux normes internationales, des produits industriels.Tout produit industriel importé sera soumis au contrôle de qualité au niveau de celaboratoire national, a assuré le ministre, précisant que les produits nationaux pourrontêtre homologués en vue de leurexportation. En plus de porter préjudice, entre autres, aux équilibres macroéconomiques, à la propriété industrielle, à la compétitivité des entreprises, le phénomène porte égalementatteinte à la santé et au bien-être des consommateurs souvent attirés par lesprix relativement bas de ces produitscopiés ou dérogeant aux normes et à laconformité Le reste des produits contrefaits ont été importé, essentiellement, duBangladesh, de l'Inde, de la Malaisie, de la Turquie pour un nombre de 7.646 unités, près de 2 %, et d'autre pays pour 124.438 produits, soit près de 27,32 %,précisent les données statistiques de ladirection générale des Douanes (DGD).La répartition, par nature de produitscontrefaits, montre que les articles desport, textiles, pièce de rechange, accessoirespour téléphone et les appareils électriqueset les montres sont les plus touchés,en 2018, par la contrefaçon.Selon les données des Douanes, les articles de sport sont les plus concernés par cen phénomène avec 269.608 articles, ce quireprésente près de 59,19 %, suivies par les textiles (113.725), soit 24,96 %, les pièces de rechange 67.671 (14,85 %, les accessoirespour téléphone (3.018), soit 0,66 %et enfin les appareils électriques et les montres avec 1.494 unité, soit près de 0,33 %. Les saisies du 1er trimestre 2019 représentent + 70 % de la totalité de 2018 La quantité des produits contrefaits ayant saisie durant le premier trimestre 2019 ont totalisé 320.514 unités, ce qui représente 70,36 % de la totalité des saisies effectuée par les Douanes algériennes durant toute l'année 2018. La majorité des produits saisies, durant les trois premiers mois 2019,sont des articles de sport, essentiellement, des chaussures de sport, jockings pour adultes et enfants et casquette de différentes marques (Nike, Adidas, Reebook, Lacoste, etc.). En 2017, le nombre des produits contrefaitssaisies ont totalisé 724.214 unités.Ces biens contrefais proviennent majoritairementde Chine, et comprennentnotamment des articles de sport, des produits alimentaires, des pièces de rechange, des petits appareils électroménagers et d'esthétique, etc. Encouragé par la demande du marché, ce phénomène (contrefaçon) ne cesse des'accroître. En général, le consommateur cherche un produits de marque, mais à un bas prix, selon les Douanes. La maîtrise de ce fléau, selon les Douanes,nécessite la collaboration et la coordination de plusieurs intervenants, à commencerpar le titulaire de la marque auquelincombe d'alerter les services des douanes du pays concerné au cas où cellecivient à être copiée afin d'être endigué. La contrefaçon, qui revêt une dimension mondiale, interpelle les pouvoirs publicsqui n'ont pas cessé de mettre les moyens qu'il faut pour endiguer le phénomène et maîtriser le flux de marchandises fabriquées localement ou importées.Un laboratoire public d'essai et decontrôle de qualité des produits industriels (locales et importés) commercialisés en Algérie, vient d'entrer en service, afin de renforcer le contrôle de la fraude et de lacontrefaçon. Un laboratoire à la rescousse A ce propos, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a déclaré mardi dernier, lors de l'inauguration, que ce laboratoire "est venu consolider le réseau algérien des laboratoires spécialisés dans le contrôlede qualité, constitué de 326 laboratoirespublics et privés".Pour lui, la mise en place d'un réseau delaboratoires de contrôle de qualité des différentsproduits, à l'instar des produitsindustriels non alimentaires tels que les détergents, les appareils électroménagers,cosmétiques et la pièce détaches, s'inscrit dans le cadre de la protection du consommateur et du produit national contre lafraude et la contrefaçon. Premier du genre, ce laboratoire veillera à l'application et au respect des normes de qualité et à la conformité, aux normes internationales, des produits industriels.Tout produit industriel importé sera soumis au contrôle de qualité au niveau de celaboratoire national, a assuré le ministre, précisant que les produits nationaux pourrontêtre homologués en vue de leurexportation. En plus de porter préjudice, entre autres, aux équilibres macroéconomiques, à la propriété industrielle, à la compétitivité des entreprises, le phénomène porte égalementatteinte à la santé et au bien-être des consommateurs souvent attirés par lesprix relativement bas de ces produitscopiés ou dérogeant aux normes et à laconformité