Les stations de gravures rupestres de Taghit, un patrimoine culturel matériel humain, sont actuellement en périlet des retards sont mis dans la concrétisationdu Les stations de gravures rupestres de Taghit, un patrimoine culturel matériel humain, sont actuellement en périlet des retards sont mis dans la concrétisationdu schéma de protection deces sites d'une grande importance del'histoire humaine, de l'avis mêmedes responsables du secteur."La mise en oeuvre de ce schémaapprouvé en 2016 par la directionlocale du secteur de la Culture etl'Assemblée populaire de wilaya (APW), et qui concerne les trois stationsde Taghit, celles de ZaouiaTahtania, et deux autres dans les localitésde Berrebi et Hassi Laouedj, quirelèvent de la commune de Taghit (97km au sud de Béchar), attend encorele déblocage des crédits par le ministèredes Finances pour couvrir les travauxprévus au titre du schéma deprotection de ces stations", a affirmé,à l'APS, le directeur local du secteur, Abdelkader Djenaihi. Ce schéma, quia fait l'objet d'un large débat par les membres de l'APW et dont l'élaborationa nécessité un financement sectoriede 10 millions DA, prévoit l'aménagementde l'axe routier menant auxstations de Taghit sur un linéaire de 20km, en plus de la création d'un centred'orientation et d'information sur l'artrupestre. Il prévoit également la création d'un musée de la préhistoire àTaghit, dans le but d'une meilleureéducation du public sur l'intérêt de lapréservation de ce patrimoine matériel,en plus du renforcement du gardiennage des lieux, délaissés auxaléas de la nature et aux actes de vandalisme. "C'est au mois de juin 2016 que les dossiers culturel, administratif et études techniques ont été finalisés et approuvés par l'APW, puis adressésau ministère de tutelle pour approbation par les instances nationales et sa parution au Journal officiel", a fait savoir M. Djenaïhi. Des gravures rupestres "souillées" vandalisme Les stations de gravures rupestres deTaghit, localisées sur une zone à protéger 500 ha à quelques encablures sont des gravures préhistoriques d'âge néolithique, dont les dessins sur les roches mettent en évidence, humaines, plusieurs espèces animales vécu jadis dans la région,des antilopes, des éléphants,des autruches, des gazelles, des chameaux et des girafes, selon le schéma de leurs protection. "Cependant, et malgré leur grande valeur historique, certains de ces dessins ont été dégradés par de la peinture et des graffitis, actes de vandalisme d'individus inconscients de leur portée historique humaine", a déploré ,Djenaihi. "La grande satisfactionvient des quatre stations de gravuresrupestres datant de plus 8.000 ans, découvertes il y a plus de cinq annéesdans le site de Khenag Tsawir (Gorgdes images), situé dans une zone désertique à 16 km à l'ouest du cheflieu de la commune d'Abadla (88 kmau sud de Bechar), qui n'ont jamais été dégradés de par leur éloignementdes activités humaines", a ajouté M. Djenaïhi. Ces stations comprennent une quarantaine de dessins de bovidés et autres espèces animales de l'époque et sont localisées dans un site à haute valeur historique, étant donné la présence de sépultures, de poterie et plusieursautres matériaux archéologiques,d'une grande importance pour la connaissance de l'histoire de la région Saoura, du pays et de l'humanité, selon le même responsable schéma de protection deces sites d'une grande importance del'histoire humaine, de l'avis mêmedes responsables du secteur."La mise en oeuvre de ce schémaapprouvé en 2016 par la directionlocale du secteur de la Culture etl'Assemblée populaire de wilaya (APW), et qui concerne les trois stationsde Taghit, celles de ZaouiaTahtania, et deux autres dans les localitésde Berrebi et Hassi Laouedj, quirelèvent de la commune de Taghit (97km au sud de Béchar), attend encorele déblocage des crédits par le ministèredes Finances pour couvrir les travauxprévus au titre du schéma deprotection de ces stations", a affirmé,à l'APS, le directeur local du secteur, Abdelkader Djenaihi. Ce schéma, quia fait l'objet d'un large débat par les membres de l'APW et dont l'élaborationa nécessité un financement sectoriede 10 millions DA, prévoit l'aménagementde l'axe routier menant auxstations de Taghit sur un linéaire de 20km, en plus de la création d'un centred'orientation et d'information sur l'artrupestre. Il prévoit également la création d'un musée de la préhistoire àTaghit, dans le but d'une meilleureéducation du public sur l'intérêt de lapréservation de ce patrimoine matériel,en plus du renforcement du gardiennage des lieux, délaissés auxaléas de la nature et aux actes de vandalisme. "C'est au mois de juin 2016 que les dossiers culturel, administratif et études techniques ont été finalisés et approuvés par l'APW, puis adressésau ministère de tutelle pour approbation par les instances nationales et sa parution au Journal officiel", a fait savoir M. Djenaïhi. Des gravures rupestres "souillées" vandalisme Les stations de gravures rupestres deTaghit, localisées sur une zone à protéger 500 ha à quelques encablures sont des gravures préhistoriques d'âge néolithique, dont les dessins sur les roches mettent en évidence, humaines, plusieurs espèces animales vécu jadis dans la région,des antilopes, des éléphants,des autruches, des gazelles, des chameaux et des girafes, selon le schéma de leurs protection. "Cependant, et malgré leur grande valeur historique, certains de ces dessins ont été dégradés par de la peinture et des graffitis, actes de vandalisme d'individus inconscients de leur portée historique humaine", a déploré ,Djenaihi. "La grande satisfactionvient des quatre stations de gravuresrupestres datant de plus 8.000 ans, découvertes il y a plus de cinq annéesdans le site de Khenag Tsawir (Gorgdes images), situé dans une zone désertique à 16 km à l'ouest du cheflieu de la commune d'Abadla (88 kmau sud de Bechar), qui n'ont jamais été dégradés de par leur éloignementdes activités humaines", a ajouté M. Djenaïhi. Ces stations comprennent une quarantaine de dessins de bovidés et autres espèces animales de l'époque et sont localisées dans un site à haute valeur historique, étant donné la présence de sépultures, de poterie et plusieursautres matériaux archéologiques,d'une grande importance pour la connaissance de l'histoire de la région Saoura, du pays et de l'humanité, selon le même responsable