Au moins 35 personnes ont été tuées en 24 heures d'affrontements entrel'armée syrienne et des terroristesdans le nord-ouest de la Syrie, théâtred'un regain de violences depuis plusieurssemaines. Au moins 35 personnes ont été tuées en 24 heures d'affrontements entrel'armée syrienne et des terroristesdans le nord-ouest de la Syrie, théâtred'un regain de violences depuis plusieurssemaines. L'armée syrienne aintensifié depuis fin avril ses bombardementscontre la province d'Idleb etles territoires insurgés adjacents, dessecteurs contrôlés par Hayat Tahrir al- Cham (HTS, ex-branche syrienne d'el-Qaëda) et d'autres groupes terroristes.Entre dimanche et lundi, des combatsopposant le régime et des jihadistesont secoué une zone du nord-est de la province de Lattaquié, qui jouxte larégion d'Idleb. Au moins 19 jihadisteset 16 militaires ont été tués, selon la même source. L'armée syrienne a également mené des raids aériens dans différents secteurs du bastion jihadiste. Des frappes russes sur la localité de Kafranbel ont ainsi mis hors-service un centre des Casques blancs. De son côté, l'agence de presse officielle syrienne Sana a fait état d'un enfant tué et de cinq personnes blessées dans des tirs de roquettes qui ontvisé une localité du régime dans la province de Hama, adjacente d'Idleb. L'escalade de ces dernières semaines est la plus violente depuis queMoscou et Ankara ont annoncé en septembre2018 un accord sur une "zone démilitarisée"à Idleb. Elle devait séparer les territoires insurgés des zones gouvernementales et garantir un arrêt deshostilités dans cette région. Entre fin avril et le 9 mai, les bombardementssur le sud de la provinced'Idleb et le nord de celle de Hama ontpoussé à la fuite quelque 180.000 personnes.Ces déplacés ont trouvé refuge dans des secteurs plus au nord, selon l'Onu L'armée syrienne aintensifié depuis fin avril ses bombardementscontre la province d'Idleb etles territoires insurgés adjacents, dessecteurs contrôlés par Hayat Tahrir al- Cham (HTS, ex-branche syrienne d'el-Qaëda) et d'autres groupes terroristes.Entre dimanche et lundi, des combatsopposant le régime et des jihadistesont secoué une zone du nord-est de la province de Lattaquié, qui jouxte larégion d'Idleb. Au moins 19 jihadisteset 16 militaires ont été tués, selon la même source. L'armée syrienne a également mené des raids aériens dans différents secteurs du bastion jihadiste. Des frappes russes sur la localité de Kafranbel ont ainsi mis hors-service un centre des Casques blancs. De son côté, l'agence de presse officielle syrienne Sana a fait état d'un enfant tué et de cinq personnes blessées dans des tirs de roquettes qui ontvisé une localité du régime dans la province de Hama, adjacente d'Idleb. L'escalade de ces dernières semaines est la plus violente depuis queMoscou et Ankara ont annoncé en septembre2018 un accord sur une "zone démilitarisée"à Idleb. Elle devait séparer les territoires insurgés des zones gouvernementales et garantir un arrêt deshostilités dans cette région. Entre fin avril et le 9 mai, les bombardementssur le sud de la provinced'Idleb et le nord de celle de Hama ontpoussé à la fuite quelque 180.000 personnes.Ces déplacés ont trouvé refuge dans des secteurs plus au nord, selon l'Onu