Le Parti des travailleurs(PT) reste mobilisé pour défendresa secrétaire générale, LouisaHanoune, incarcérée depuisjeudi dernier à Blida dans lecadre de l'affaire de SaïdBouteflika et des générauxToufik et Tartag qui sont euxaussi emprisonnés. Le Parti des travailleurs(PT) reste mobilisé pour défendresa secrétaire générale, LouisaHanoune, incarcérée depuisjeudi dernier à Blida dans lecadre de l'affaire de SaïdBouteflika et des générauxToufik et Tartag qui sont euxaussi emprisonnés. Une semaine après cette incarcération ayant secouée la classe politique le PT continue de clamer que Louisa Hanoune et innocente et que les accusationscontre elle sont "sans fondements".En effet, le secrétariat du bureau politique du PT, réuni hier mercredi à Alger, aestimé que les accusations portées contrela secrétaire générale du Parti, en détentionprovisoire à Blida depuis jeudi dernier,"sont sans fondements. Ce qui constitueune criminalisation de l'action politique etconstitue une attaque violente contre ladémocratie, le pluralisme et la majorité du peuple algérien, qui lutte sans relâchedepuis le 22 février pour asseoir pleinementsa souveraineté", note le secrétariatdans son communiqué. "Il s'agit d'uneétape dangereuse qui inaugure une nouvelleère porteuse de toutes les dérives etdérapages", soutient-il. Réitérant son"alignement total" sur la révolution populaire,le PT "remercie et salue" tous ceuxqui ont exprimé leur soutien à la secrétairegénérale du parti ainsi que les partis, lesassociations, les organisations syndicales,les militants, les personnalités nationaleset les citoyens, ainsi que les militants "quise mobilisent en faveur de la libération dela détenue politique Louisa Hanoune". Dans ce contexte, plusieurs comités pourla libération de la chef du parti ont été installésà travers plusieurs régions du pays, selon le communiqué. Notons qu'un desavocats de Louisa Hanoune, Me MokraneAït Larbi, a rendu public mardi, un communiquédans lequel il a révélé les accusationspour lesquelles est poursuivieLouisa Hanoune. Deux chefs d'inculpationsont retenus contre elle : "Complotayant pour but de porter atteinte à l'autoritédu commandant d'une formation militaire"(article 284 du code de justice militaire)et "complot pour changer le régime"(un acte prévu et puni par l'article 77 ducode pénal). Une semaine après cette incarcération ayant secouée la classe politique le PT continue de clamer que Louisa Hanoune et innocente et que les accusationscontre elle sont "sans fondements".En effet, le secrétariat du bureau politique du PT, réuni hier mercredi à Alger, aestimé que les accusations portées contrela secrétaire générale du Parti, en détentionprovisoire à Blida depuis jeudi dernier,"sont sans fondements. Ce qui constitueune criminalisation de l'action politique etconstitue une attaque violente contre ladémocratie, le pluralisme et la majorité du peuple algérien, qui lutte sans relâchedepuis le 22 février pour asseoir pleinementsa souveraineté", note le secrétariatdans son communiqué. "Il s'agit d'uneétape dangereuse qui inaugure une nouvelleère porteuse de toutes les dérives etdérapages", soutient-il. Réitérant son"alignement total" sur la révolution populaire,le PT "remercie et salue" tous ceuxqui ont exprimé leur soutien à la secrétairegénérale du parti ainsi que les partis, lesassociations, les organisations syndicales,les militants, les personnalités nationaleset les citoyens, ainsi que les militants "quise mobilisent en faveur de la libération dela détenue politique Louisa Hanoune". Dans ce contexte, plusieurs comités pourla libération de la chef du parti ont été installésà travers plusieurs régions du pays, selon le communiqué. Notons qu'un desavocats de Louisa Hanoune, Me MokraneAït Larbi, a rendu public mardi, un communiquédans lequel il a révélé les accusationspour lesquelles est poursuivieLouisa Hanoune. Deux chefs d'inculpationsont retenus contre elle : "Complotayant pour but de porter atteinte à l'autoritédu commandant d'une formation militaire"(article 284 du code de justice militaire)et "complot pour changer le régime"(un acte prévu et puni par l'article 77 ducode pénal).