Une bonne nouvelle pour des dizaines de milliers de demandeurs algériens devisas Schengen ! Une nouvellemesure qui entrera en vigueur Une bonne nouvelle pour des dizaines de milliers de demandeurs algériens devisas Schengen ! Une nouvellemesure qui entrera en vigueur "prochainement"au niveau des services dedépôt des visas (VFS et TLS), permettra aux postulants de pouvoirrécupérer leur argent, si leursdemandes venaient à être rejetées.Autrement dit, les demandeurs serontsoit servis, soit remboursés des fraisengagés pour l'obtention du visa.Selon un site d'information online, leremboursement sera intégral, à laseule condition que le demandeur soit titulaire d'une attestation d'assurancevoyage, délivrée par la CNEPBANQUE qui s'apprête à lancer un nouveau produit d'assurancedénommé "RIHLATI". Il faut préciser que les frais d'étudedes dossiers de visa atteignent parfois les dix mille dinars, sans que ledemandeur ne soit remboursé dans le cas d'un refus.Les services de traitement de demandes, notamment ceux concernant les consultas de France, engrangentdepuis des années des sommescolossales, surtout que le taux de refus dépasse parfois les 50%. Cette nouvelle mesure va donc mettrefin, à ce qui s'apparente à un vol qualifiédes demandeurs, dont certains sefont "saigner" plusieurs fois, sansjamais parvenir à obtenir le précieuxvisa. "prochainement"au niveau des services dedépôt des visas (VFS et TLS), permettra aux postulants de pouvoirrécupérer leur argent, si leursdemandes venaient à être rejetées.Autrement dit, les demandeurs serontsoit servis, soit remboursés des fraisengagés pour l'obtention du visa.Selon un site d'information online, leremboursement sera intégral, à laseule condition que le demandeur soit titulaire d'une attestation d'assurancevoyage, délivrée par la CNEPBANQUE qui s'apprête à lancer un nouveau produit d'assurancedénommé "RIHLATI". Il faut préciser que les frais d'étudedes dossiers de visa atteignent parfois les dix mille dinars, sans que ledemandeur ne soit remboursé dans le cas d'un refus.Les services de traitement de demandes, notamment ceux concernant les consultas de France, engrangentdepuis des années des sommescolossales, surtout que le taux de refus dépasse parfois les 50%. Cette nouvelle mesure va donc mettrefin, à ce qui s'apparente à un vol qualifiédes demandeurs, dont certains sefont "saigner" plusieurs fois, sansjamais parvenir à obtenir le précieuxvisa.