"L'ONM se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires à l'encontre des partiesqui ont donné un autre nom à cemoudjahid autre que son vrai nom et quiont porté atteinte à son honorable parcours",lit-on dans une déclaration publiée hier lundi et signée par son secrétairegénéral par intérim Mohand OuamarBenlhadj. "L'ONM se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires à l'encontre des partiesqui ont donné un autre nom à cemoudjahid autre que son vrai nom et quiont porté atteinte à son honorable parcours",lit-on dans une déclaration publiée hier lundi et signée par son secrétairegénéral par intérim Mohand OuamarBenlhadj. Se défendant de vouloir s'ingérer dans letravail de la justice, l'Organisation desmoudjahidine tient, cependant, à remettre les pendules à l'heure et à rétablir la vérité sur le parcours du commandant Bouregaânotamment après l'accusationd'usurpation d'identité et le doute jeté surson engagement dans la guerre pourl'Indépendance par la Télévision publique."Nonobstant les raisons qui ont amené lajustice à décider de son arrestation,l'importance historique du rôle joué parcette personnalité durant la guerre de Libération au niveau de la wilaya IV historiquenous met devant un dilemme etnous impose le devoir de rappeler le parcoursde ce moudjahid", souligne l'ONM. Le moudjahid Si Lakhdar, lit-on encore, "a rejoint la révolution début 1956 dans la zone IV." L'ONM relève quelques missions dont avait été chargé le moudjahid en détention notamment la sécurisation d'une rencontre entre un groupe d'étudiants et les dirigeants de la Révolution Abane Ramdane, Larbi Ben M'hidi et Amar Ouamrane. Avec la katiba Zoubiria, Lakhdar Bourregâa "a mené des batailles féroces contre les sanguinaires français Massu et Bigeard".L'ONM précise, dans le même sillage, quele maquisard Bouregaâ a été promu capitaine puis commandant et responsable de la zone II (Blida) en 1960. Elle relève aussi qu'il était très proche du commandant de la wilaya IV, Si Djilali Bounaâma qui l'a désigné membre du conseil de cettewilaya. Et d'ajouter que "les compagnons d'armes du moudjahid Si Bourregaâsont unanimes à témoigner de sa distinction dans la direction des combats" L'ONM rappelle aussi que le commandant Bourregâa a participé au défilé de célébration de l'Indépendance au cours duquel a été levé l'emblème national pour la première fois et qu'il fait partie des rares membres du Conseil national de la Révolution algérienne encore en vie. Notons que le moudjahid Lakhdar Bouregaâ a été mis sous mandat de dépôt par le juge d'instruction près le tribunal de Bir-Mourad-Raïs à Alger le dimanche 30 juin. Le commandant Bourregaâ, 86 ans, est accusé "de participation, en temps de paix, à une entreprise de démoralisation de l'armée ayant pour objet de nuire à la défense nationale et à un corps constitué, des faits mentionnés et passibles de sanctions, cités dans les articles 75, 144 bis et 146 du code pénal". Se défendant de vouloir s'ingérer dans letravail de la justice, l'Organisation desmoudjahidine tient, cependant, à remettre les pendules à l'heure et à rétablir la vérité sur le parcours du commandant Bouregaânotamment après l'accusationd'usurpation d'identité et le doute jeté surson engagement dans la guerre pourl'Indépendance par la Télévision publique."Nonobstant les raisons qui ont amené lajustice à décider de son arrestation,l'importance historique du rôle joué parcette personnalité durant la guerre de Libération au niveau de la wilaya IV historiquenous met devant un dilemme etnous impose le devoir de rappeler le parcoursde ce moudjahid", souligne l'ONM. Le moudjahid Si Lakhdar, lit-on encore, "a rejoint la révolution début 1956 dans la zone IV." L'ONM relève quelques missions dont avait été chargé le moudjahid en détention notamment la sécurisation d'une rencontre entre un groupe d'étudiants et les dirigeants de la Révolution Abane Ramdane, Larbi Ben M'hidi et Amar Ouamrane. Avec la katiba Zoubiria, Lakhdar Bourregâa "a mené des batailles féroces contre les sanguinaires français Massu et Bigeard".L'ONM précise, dans le même sillage, quele maquisard Bouregaâ a été promu capitaine puis commandant et responsable de la zone II (Blida) en 1960. Elle relève aussi qu'il était très proche du commandant de la wilaya IV, Si Djilali Bounaâma qui l'a désigné membre du conseil de cettewilaya. Et d'ajouter que "les compagnons d'armes du moudjahid Si Bourregaâsont unanimes à témoigner de sa distinction dans la direction des combats" L'ONM rappelle aussi que le commandant Bourregâa a participé au défilé de célébration de l'Indépendance au cours duquel a été levé l'emblème national pour la première fois et qu'il fait partie des rares membres du Conseil national de la Révolution algérienne encore en vie. Notons que le moudjahid Lakhdar Bouregaâ a été mis sous mandat de dépôt par le juge d'instruction près le tribunal de Bir-Mourad-Raïs à Alger le dimanche 30 juin. Le commandant Bourregaâ, 86 ans, est accusé "de participation, en temps de paix, à une entreprise de démoralisation de l'armée ayant pour objet de nuire à la défense nationale et à un corps constitué, des faits mentionnés et passibles de sanctions, cités dans les articles 75, 144 bis et 146 du code pénal".