Le lancement du dialogue national semble imminent. Il en est de même, par conséquent, de la désignation du panel de personnalités devant conduire ce dialogue. Des noms sont d'ores et déjà cités par la presse. Un de ces noms a confirmé hier, qu'il fera bel et bien partie de ce panel. Il s'agit en effet, deKarim Younes, l'ex- président de l'APN. Le lancement du dialogue national semble imminent. Il en est de même, par conséquent, de la désignation du panel de personnalités devant conduire ce dialogue. Des noms sont d'ores et déjà cités par la presse. Un de ces noms a confirmé hier, qu'il fera bel et bien partie de ce panel. Il s'agit en effet, deKarim Younes, l'ex- président de l'APN. C'est lui-même qui l'a annoncé hiermardi, via sa page Facebook. "Deséchos des milieux politiques laissentpenser, que la présidence de l'Etatsemble avoir entendu le message de lavolonté du peuple", croit savoir KarimYounes, qui évoque par ailleurs des "préalablesintangibles sont avancés, sans quoirien ne pourra se faire". "Aussi, ma présence au sein de cette instance de médiation, en gestation étant vivement souhaitée par ailleurs… Puis-je alors me déroberde ce que l'on ne peut considérer, quecomme un devoir national ?", s'interrogel'ex-ministre de la Formation professionnelle,qui annonce ainsi sa décision des'engager au sein de ce panel.Karim Younes, qui partage sa décisionavec ses "amis" sur Facebook, les invite aussi à lui faire part de leur remarques etconseils, pour "parachever la réflexion"."C'est pourquoi, j'ai pris la résolution de faire appel à mes contacts habituels, pourparachever la réflexion et m'aider à suivreune démarche qui pourrait être bénéfiquepour tous".Il rappelle avoir "maintes fois rappelé, à tous ceux qui m'ont approché pour m'entretenir de l'initiation d'un processus souverain de médiation, que le cadre du dialogue recherché entre les enfants de la patrie doit, impérativement, s'inscrire dans l'esprit des revendications légitimes des millions d'Algériennes et d'Algériens, qui sont sortis dans la rue pour exprimer leur colère et leur désir de changement, sans quoi tout est voué à l'échec". L'ex-3e personnage de l'Etat précise, que ces personnalités, parmi elles des "scientifiques, des constitutionnalistes de renom,des hommes de droit, des femmes et des hommes de la société civile, partagent, avec moi, cette conviction et en font même une condition sine qua non". Et d'ajouter : "L'approche de ces hommes et femmes de coeur consiste à donner un sens aux revendications, plusieurs fois réitérées par les manifestants, à travers la révolution pacifique, déclenchée par la population algérienne en février 2019, galvanisée par les jeunes dans les stades par leurs prises de conscience d'où est sorti l'hymne de cette révolution ‘El Casa d'El Mouradia', tout autant que la jeunesse estudiantine". Karim Younes précise en outre, que cespersonnalités n'ont aucunement la prétention de représenter le Hirak. "Inutile de préciser qu'il n'est pas dans leurs intentions d'être les représentants du mouvement, ni avoir la prétention des'autoproclamer ses porte-paroles, car ce serait démontrer un manque de discernement politique et de patriotisme", lit-onsur sa page Facebook. La mission de ce panel de ces personnalités, "soucieuses del'avenir de notre pays", "d'essayer de matérialiser ces revendications, en les défendant auprès des autorités, auxquelles incombe la responsabilité de donner suite", assureKarim Younes. Il rassure enfin, que "l'écho des millionsde poitrines, qui battent le pavé depuismaintenant près de cinq mois, demeure lasource d'inspiration de leur démarche, en vue de définir une voie argumentée, basée avant tout sur l'intérêt e la nation" C'est lui-même qui l'a annoncé hiermardi, via sa page Facebook. "Deséchos des milieux politiques laissentpenser, que la présidence de l'Etatsemble avoir entendu le message de lavolonté du peuple", croit savoir KarimYounes, qui évoque par ailleurs des "préalablesintangibles sont avancés, sans quoirien ne pourra se faire". "Aussi, ma présence au sein de cette instance de médiation, en gestation étant vivement souhaitée par ailleurs… Puis-je alors me déroberde ce que l'on ne peut considérer, quecomme un devoir national ?", s'interrogel'ex-ministre de la Formation professionnelle,qui annonce ainsi sa décision des'engager au sein de ce panel.Karim Younes, qui partage sa décisionavec ses "amis" sur Facebook, les invite aussi à lui faire part de leur remarques etconseils, pour "parachever la réflexion"."C'est pourquoi, j'ai pris la résolution de faire appel à mes contacts habituels, pourparachever la réflexion et m'aider à suivreune démarche qui pourrait être bénéfiquepour tous".Il rappelle avoir "maintes fois rappelé, à tous ceux qui m'ont approché pour m'entretenir de l'initiation d'un processus souverain de médiation, que le cadre du dialogue recherché entre les enfants de la patrie doit, impérativement, s'inscrire dans l'esprit des revendications légitimes des millions d'Algériennes et d'Algériens, qui sont sortis dans la rue pour exprimer leur colère et leur désir de changement, sans quoi tout est voué à l'échec". L'ex-3e personnage de l'Etat précise, que ces personnalités, parmi elles des "scientifiques, des constitutionnalistes de renom,des hommes de droit, des femmes et des hommes de la société civile, partagent, avec moi, cette conviction et en font même une condition sine qua non". Et d'ajouter : "L'approche de ces hommes et femmes de coeur consiste à donner un sens aux revendications, plusieurs fois réitérées par les manifestants, à travers la révolution pacifique, déclenchée par la population algérienne en février 2019, galvanisée par les jeunes dans les stades par leurs prises de conscience d'où est sorti l'hymne de cette révolution ‘El Casa d'El Mouradia', tout autant que la jeunesse estudiantine". Karim Younes précise en outre, que cespersonnalités n'ont aucunement la prétention de représenter le Hirak. "Inutile de préciser qu'il n'est pas dans leurs intentions d'être les représentants du mouvement, ni avoir la prétention des'autoproclamer ses porte-paroles, car ce serait démontrer un manque de discernement politique et de patriotisme", lit-onsur sa page Facebook. La mission de ce panel de ces personnalités, "soucieuses del'avenir de notre pays", "d'essayer de matérialiser ces revendications, en les défendant auprès des autorités, auxquelles incombe la responsabilité de donner suite", assureKarim Younes. Il rassure enfin, que "l'écho des millionsde poitrines, qui battent le pavé depuismaintenant près de cinq mois, demeure lasource d'inspiration de leur démarche, en vue de définir une voie argumentée, basée avant tout sur l'intérêt e la nation"