Pedersen, est arrivé dimanche à Damas où il s'entretiendra avec le ministre des Affaires étrangères, Walid al-Mouallem, notamment sur la formation d'un comité constitutionnel pour relancer le processus politique dans ce pays, ont rapporté des médias locaux. Pedersen, est arrivé dimanche à Damas où il s'entretiendra avec le ministre des Affaires étrangères, Walid al-Mouallem, notamment sur la formation d'un comité constitutionnel pour relancer le processus politique dans ce pays, ont rapporté des médias locaux. "J'attends avec impatience ma rencontre demain (lundi) avec le ministre des Affaires étrangères" syrien, a affirmé M. Pedersen à son arrivée dans la capitale syrienne, rappelant les "réunions fructueuses" qu'il avait déjà eues avec M. al-Mouallem lors de sa dernière visite à Damas en juillet. Depuis, du "progrès" a été réalisé, a ajouté le diplomate norvégien, qui a pris ses fonctions en janvier. La création de ce comité est attendue par toutes les parties syriennes. Mercredi dernier, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a fait part d'un accord entre toutes les parties concernées sur la composition du comité constitutionnel. "Il y a maintenant un accord entre les parties sur la composition du Comité et l'émissaire de l'Onu Geir Pedersen met la dernière main avec les parties aux termes de référence", a-til précisé lors d'une conférence de presse. Prévu par la résolution 2254 du Conseil de sécurité qui appelle à un cessez-le-feu et à une transition politique en Syrie, ce comité, chargé de la rédaction d'une nouvelle constitution, doit comprendre 150 personnes, dont 50 choisies par le gouvernement, 50 par l'opposition et 50 par l'Onu. Outre la composition du Comité, l'Onu, l'opposition et Damas doivent aussi se mettre d'accord sur les procédures de fonctionnement de cette instance et sa hiérarchie. L'enjeu d'une avancée politique en Syrie est jugé considérable, l'Europe et les Etats-Unis ont conditionné toute aide à la reconstruction de la Syrie à de réels progrès vers une solution politique. "J'attends avec impatience ma rencontre demain (lundi) avec le ministre des Affaires étrangères" syrien, a affirmé M. Pedersen à son arrivée dans la capitale syrienne, rappelant les "réunions fructueuses" qu'il avait déjà eues avec M. al-Mouallem lors de sa dernière visite à Damas en juillet. Depuis, du "progrès" a été réalisé, a ajouté le diplomate norvégien, qui a pris ses fonctions en janvier. La création de ce comité est attendue par toutes les parties syriennes. Mercredi dernier, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a fait part d'un accord entre toutes les parties concernées sur la composition du comité constitutionnel. "Il y a maintenant un accord entre les parties sur la composition du Comité et l'émissaire de l'Onu Geir Pedersen met la dernière main avec les parties aux termes de référence", a-til précisé lors d'une conférence de presse. Prévu par la résolution 2254 du Conseil de sécurité qui appelle à un cessez-le-feu et à une transition politique en Syrie, ce comité, chargé de la rédaction d'une nouvelle constitution, doit comprendre 150 personnes, dont 50 choisies par le gouvernement, 50 par l'opposition et 50 par l'Onu. Outre la composition du Comité, l'Onu, l'opposition et Damas doivent aussi se mettre d'accord sur les procédures de fonctionnement de cette instance et sa hiérarchie. L'enjeu d'une avancée politique en Syrie est jugé considérable, l'Europe et les Etats-Unis ont conditionné toute aide à la reconstruction de la Syrie à de réels progrès vers une solution politique.