L'Autorité nationale indépendante pour les élections (Anie) a commencé à réagir, de façon ferme, devant la menace de boycott de l'élection présidentielle du 12 décembre par certains présidents d'APC. L'Autorité nationale indépendante pour les élections (Anie) a commencé à réagir, de façon ferme, devant la menace de boycott de l'élection présidentielle du 12 décembre par certains présidents d'APC. L'instance, présidée par Mohamed Charfi, et par la voix de l'un de ses membres, Smaïl Boukara, a menacé de saisir le parquet en cas de blocage par les maires du processus électoral, déjà enclenché par la révision des listes électorales et la légalisation des signatures pour les candidats. Lors de son passage, dimanche, sur les ondes de la Radio nationale, Smaïl Boukara a en effet déploré les déclarations de certains élus locaux, estimant qu'elles "participent de velléités pour entraver les élections, tout en rappelant que la loi portant régime électoral a disqualifié de facto, l'ensemble des corps des collectivités locales et de ce fait, son article 50 stipulant des mesures pénales, pouvait être activé". Pointant le refus de certains maires de légaliser les signatures de soutien aux candidats, le membre de l'Anie a exhorté les édiles à plus "s'occuper du développement de leurs communes et la prise en charge de leurs administrés", rappelant que "l'action du mouvement populaire, et sa colère contre la gouvernance de l'ancien régime, cible d'abord l'APC, avant la présidence" a-t-il asséné, entre autres. L'instance, présidée par Mohamed Charfi, et par la voix de l'un de ses membres, Smaïl Boukara, a menacé de saisir le parquet en cas de blocage par les maires du processus électoral, déjà enclenché par la révision des listes électorales et la légalisation des signatures pour les candidats. Lors de son passage, dimanche, sur les ondes de la Radio nationale, Smaïl Boukara a en effet déploré les déclarations de certains élus locaux, estimant qu'elles "participent de velléités pour entraver les élections, tout en rappelant que la loi portant régime électoral a disqualifié de facto, l'ensemble des corps des collectivités locales et de ce fait, son article 50 stipulant des mesures pénales, pouvait être activé". Pointant le refus de certains maires de légaliser les signatures de soutien aux candidats, le membre de l'Anie a exhorté les édiles à plus "s'occuper du développement de leurs communes et la prise en charge de leurs administrés", rappelant que "l'action du mouvement populaire, et sa colère contre la gouvernance de l'ancien régime, cible d'abord l'APC, avant la présidence" a-t-il asséné, entre autres.