Trois ans après l'installation des plusieurs unités de montage automobile, le ministère de l'Industrie et desMines revient à la charge pour rappeler aux Trois ans après l'installation des plusieurs unités de montage automobile, le ministère de l'Industrie et desMines revient à la charge pour rappeler aux "constructeurs" leurs engagements contenus dans les cahiers des charges, à savoir d'assurer un taux d'intégration de 15 % à la troisème année et 40 % à la cinquième. Dans une déclaration hier à la radio chaîne 3, la ministre de l'Industrie, Djamila Tamazirt, a fait remarquer que "La plupart des constructeurs sont à la troisième année". La première responsable du secteur reconnait, toutefois les difficultés, des constructeurs à atteindre ces objectifs. "Ce n'est pas facile de convaincre leurs partenaires de ramener leurs équipementiers et accompagner nos fabricants", a-t-elle noté. Pour trouver des solutions à cette "non conformité" aux dispositions de loi, des négociations, "dans le cadre d'une démarche intégrée", sont engagées entre le ministère de tutelle et quatre constructeurs, à savoir Volkswagen, Renault, Peugeot et Kia. "constructeurs" leurs engagements contenus dans les cahiers des charges, à savoir d'assurer un taux d'intégration de 15 % à la troisème année et 40 % à la cinquième. Dans une déclaration hier à la radio chaîne 3, la ministre de l'Industrie, Djamila Tamazirt, a fait remarquer que "La plupart des constructeurs sont à la troisième année". La première responsable du secteur reconnait, toutefois les difficultés, des constructeurs à atteindre ces objectifs. "Ce n'est pas facile de convaincre leurs partenaires de ramener leurs équipementiers et accompagner nos fabricants", a-t-elle noté. Pour trouver des solutions à cette "non conformité" aux dispositions de loi, des négociations, "dans le cadre d'une démarche intégrée", sont engagées entre le ministère de tutelle et quatre constructeurs, à savoir Volkswagen, Renault, Peugeot et Kia.