Les responsables impliqués dans les affaires de corruption traitées par la Justice depuis mars 2019 seront jugés en audiences publiques à partir de lundi prochain, a indiqué le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Belkacem Zeghmati. Les responsables impliqués dans les affaires de corruption traitées par la Justice depuis mars 2019 seront jugés en audiences publiques à partir de lundi prochain, a indiqué le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Belkacem Zeghmati. Les responsables impliqués dans "les premiers dossiers de corruption traités par la Justice depuis mars dernier seront jugés à partir de lundi 2 décembre en audiences publiques au tribunal de Sidi-M'hamed", a en effet fait savoir Zeghmati lors de la présentation et du débat du projet de loi modifiant le code de procédure pénale au Conseil de la nation. Ces affaires portent notamment sur l'octroi d'avantages indus à des propriétaires d'usines de montage automobile. Dans ce contexte, Zeghmati a souligné que la première affaire sur laquelle se penchera le tribunal portera sur le dossier du "montage de véhicules et les avantages accordés aux opérateurs". Zeghmati a enfin évoqué devant le Conseil de la nation que "le nombre d'affaires instruites depuis mars 2019 dépasse de beaucoup le nombre d'affaires traitées depuis 2006". Ainsi donc l'heure des comptes a sonné pour les oligarques et certains ex-hauts responsables politiques, à l'exemple des ancien Premiers ministres, Ahmed Outyahia er Abdelmalek Sellal, et justice doit être rendue pour les torts causés au pays. Les responsables impliqués dans "les premiers dossiers de corruption traités par la Justice depuis mars dernier seront jugés à partir de lundi 2 décembre en audiences publiques au tribunal de Sidi-M'hamed", a en effet fait savoir Zeghmati lors de la présentation et du débat du projet de loi modifiant le code de procédure pénale au Conseil de la nation. Ces affaires portent notamment sur l'octroi d'avantages indus à des propriétaires d'usines de montage automobile. Dans ce contexte, Zeghmati a souligné que la première affaire sur laquelle se penchera le tribunal portera sur le dossier du "montage de véhicules et les avantages accordés aux opérateurs". Zeghmati a enfin évoqué devant le Conseil de la nation que "le nombre d'affaires instruites depuis mars 2019 dépasse de beaucoup le nombre d'affaires traitées depuis 2006". Ainsi donc l'heure des comptes a sonné pour les oligarques et certains ex-hauts responsables politiques, à l'exemple des ancien Premiers ministres, Ahmed Outyahia er Abdelmalek Sellal, et justice doit être rendue pour les torts causés au pays.