élections présidentielle et législatives a été promulguée dimanche en Bolivie dans le but de pacifier le pays en crise depuis le 20 octobre, alors que l'ancien président démissionnaire élections présidentielle et législatives a été promulguée dimanche en Bolivie dans le but de pacifier le pays en crise depuis le 20 octobre, alors que l'ancien président démissionnaire Evo Morales ne pourra pas se représenter et au moment où l'opposition continue de manifester contre la présidente par intérim, Jeanine Aeٌz. L'organisation de nouveaux scrutins est cruciale dans le processus de pacification de la Bolivie, où des violences ont coûté la vie à au moins 32 personnes depuis le 20 octobre, lorsque s'était tenu le premier tour d'une présidentielle remportée par M. Morales et contestée par l'opposition. "Nous avons reçu un mandat pour organiser des élections propres, justes et transparentes. Nous vous garantissons que nous allons y arriver", a déclaré Jeanine Aeٌz, après avoir signé la loi au palais du gouvernement à La Paz, soulignant que "nous allons récupérer la démocratie par la démocratie". Le texte annule le scrutin du 20 octobre et interdit à toute personne ayant exercé deux mandats électifs de suite de se présenter à un troisième, fermant ainsi la porte à une nouvelle candidature d'Evo Morales qui a déjà exercé trois mandats. Evo Morales ne pourra pas se représenter et au moment où l'opposition continue de manifester contre la présidente par intérim, Jeanine Aeٌz. L'organisation de nouveaux scrutins est cruciale dans le processus de pacification de la Bolivie, où des violences ont coûté la vie à au moins 32 personnes depuis le 20 octobre, lorsque s'était tenu le premier tour d'une présidentielle remportée par M. Morales et contestée par l'opposition. "Nous avons reçu un mandat pour organiser des élections propres, justes et transparentes. Nous vous garantissons que nous allons y arriver", a déclaré Jeanine Aeٌz, après avoir signé la loi au palais du gouvernement à La Paz, soulignant que "nous allons récupérer la démocratie par la démocratie". Le texte annule le scrutin du 20 octobre et interdit à toute personne ayant exercé deux mandats électifs de suite de se présenter à un troisième, fermant ainsi la porte à une nouvelle candidature d'Evo Morales qui a déjà exercé trois mandats.