L'enquête préliminaire et judiciaire,, au sujet de l'individu arrêté lors de la campagne électorale du candidat à la Présidentielle Ali Benflis, a démontré qu'il s'est rendu coupabled'intelligence avec unEtat étranger, a indiqué lundiun communiqué du procureur de la République près leTribunal de Bir Mourad Rais (Alger). L'enquête préliminaire et judiciaire,, au sujet de l'individu arrêté lors de la campagne électorale du candidat à la Présidentielle Ali Benflis, a démontré qu'il s'est rendu coupabled'intelligence avec unEtat étranger, a indiqué lundiun communiqué du procureur de la République près leTribunal de Bir Mourad Rais (Alger). Le Communiqué précise que "suite à des informationsrelayées par des médias au sujet d'actes d'intelligenceayant émaillé l'activité del'équipe de campagne électoraled'un des candidats à la Présidentielle du 12 décembre,et attribués à l'un des élémentsdu staff électoral, le procureurde la République près le Tribunal de Bir Mourad Rais, en application de l'article 11 alinéa 3 du Code de procédure pénale, informe l'opinion publique qu'une enquête préliminaire approfondie a été diligentée, et a conduit à l'arrestation du mis en cause". Selon la même source, "l'enquête préliminaire et judiciaire a démontré, que le mis en cause a perpétré des actes d'intelligence avec un Etat étranger auquel il transmettait des rapports réguliers sur la situation en Algérie en général, et sur les conditions de préparation de la Présidentielle, en particulier". Les investigations ont dévoilé, précise le procureur de la République près le Tribunal de Bir Mourad Rais, les éléments suivants : Le suspect (B.S) faisait partie du staff électoral d candidat à la Présidentielle Ali Benflis. L'individu objet de l'enquête déclaré avoir fait la connaissance du candidat en 2003, et qu'il lui a rendu ainsi qu'à sa famille plusieurs services, dont le règlement d'un problème de compte bancaire ouvert dans le pays étranger en question, en son nom et au nom de son épouse. "Saisi du dossier, le juge d'instruction, après avoir auditionné le mis en cause en première comparution, a rendu une ordonnance de placement en détention provisoire", conclut le communiqué. Ce communiqué a suscité comme il était attendu, la réaction de la direction de campagne du candidat Ali Benflis. En effet, Benflis a nié formellement que le prévenu S.B faisai partie du staff de campagne, mais qu'il était seulement un technicien du sondans l'équipe technique, chargée de couvrir les meetings. Concernant le compte bancaire cité dans le communique du tribunal, qui aurait été ouvert par le dénommé S.B, Benflis affirme que ce compte a été ouvert par son épouse et lui à Marseille, en 1998. Ajoutantqu'il n'a jamais cachél'existence de ce compte, le candidat dit l'avoir déjà mentionné,et qu'il est actuellement fermé. Le Communiqué précise que "suite à des informationsrelayées par des médias au sujet d'actes d'intelligenceayant émaillé l'activité del'équipe de campagne électoraled'un des candidats à la Présidentielle du 12 décembre,et attribués à l'un des élémentsdu staff électoral, le procureurde la République près le Tribunal de Bir Mourad Rais, en application de l'article 11 alinéa 3 du Code de procédure pénale, informe l'opinion publique qu'une enquête préliminaire approfondie a été diligentée, et a conduit à l'arrestation du mis en cause". Selon la même source, "l'enquête préliminaire et judiciaire a démontré, que le mis en cause a perpétré des actes d'intelligence avec un Etat étranger auquel il transmettait des rapports réguliers sur la situation en Algérie en général, et sur les conditions de préparation de la Présidentielle, en particulier". Les investigations ont dévoilé, précise le procureur de la République près le Tribunal de Bir Mourad Rais, les éléments suivants : Le suspect (B.S) faisait partie du staff électoral d candidat à la Présidentielle Ali Benflis. L'individu objet de l'enquête déclaré avoir fait la connaissance du candidat en 2003, et qu'il lui a rendu ainsi qu'à sa famille plusieurs services, dont le règlement d'un problème de compte bancaire ouvert dans le pays étranger en question, en son nom et au nom de son épouse. "Saisi du dossier, le juge d'instruction, après avoir auditionné le mis en cause en première comparution, a rendu une ordonnance de placement en détention provisoire", conclut le communiqué. Ce communiqué a suscité comme il était attendu, la réaction de la direction de campagne du candidat Ali Benflis. En effet, Benflis a nié formellement que le prévenu S.B faisai partie du staff de campagne, mais qu'il était seulement un technicien du sondans l'équipe technique, chargée de couvrir les meetings. Concernant le compte bancaire cité dans le communique du tribunal, qui aurait été ouvert par le dénommé S.B, Benflis affirme que ce compte a été ouvert par son épouse et lui à Marseille, en 1998. Ajoutantqu'il n'a jamais cachél'existence de ce compte, le candidat dit l'avoir déjà mentionné,et qu'il est actuellement fermé.