Nous tenons à féliciter le Président pour son élection, il fallait avoir un chef et on en a un", c'est en ces terme que le président du Forum des chefs d'entreprises (FCE),Mohamed Sami Agli, a tenu à féliciter le vainqueur de l'Election présidentielle du 12 décembre dernier, M. Nous tenons à féliciter le Président pour son élection, il fallait avoir un chef et on en a un", c'est en ces terme que le président du Forum des chefs d'entreprises (FCE),Mohamed Sami Agli, a tenu à féliciter le vainqueur de l'Election présidentielle du 12 décembre dernier, M. Abdelmadjid Tebboune, en l'appelant à prendre "des mesures d'urgence courageuses", poursauver les entreprises. Reçu hier dans l'émission L'Invité de la rédaction de la radio Chaine 3, le patron des patrons a tiré la sonnette d'alarme, sur l'état économique du pays. "L'économie nationale est plombée" à cause de "la crise financière de 2014" et aussi à cause de "la mauvaise gouvernance". A en croire ses chiffres, la crise ne concerne plus que les entreprises du BTPH, qui dépendent de la demande publique, mais affecte, désormais, tous les secteurs de l'économie, à l'instar des industries pharmaceutiques et des services. "60% du tissu économique est sinistré", avance-t-il, en précisant que cette situation s'est traduite, jusque-là, par la fermeture d'entreprises (TPE et PME), et la perte de quelque "650 000 postes d'emploi".L'invité de la rédaction invite le Président fraichement élu, à "aller plus vite" et engager des réformes profondes pour sauver "l'outil de production", en adoptant des mesures courageuses. "On n'a pas beaucoup de temps, les problèmes on les connait…", dit-il, en appelant à l'exécution du programme de campagne du candidat élu. Abdelmadjid Tebboune, en l'appelant à prendre "des mesures d'urgence courageuses", poursauver les entreprises. Reçu hier dans l'émission L'Invité de la rédaction de la radio Chaine 3, le patron des patrons a tiré la sonnette d'alarme, sur l'état économique du pays. "L'économie nationale est plombée" à cause de "la crise financière de 2014" et aussi à cause de "la mauvaise gouvernance". A en croire ses chiffres, la crise ne concerne plus que les entreprises du BTPH, qui dépendent de la demande publique, mais affecte, désormais, tous les secteurs de l'économie, à l'instar des industries pharmaceutiques et des services. "60% du tissu économique est sinistré", avance-t-il, en précisant que cette situation s'est traduite, jusque-là, par la fermeture d'entreprises (TPE et PME), et la perte de quelque "650 000 postes d'emploi".L'invité de la rédaction invite le Président fraichement élu, à "aller plus vite" et engager des réformes profondes pour sauver "l'outil de production", en adoptant des mesures courageuses. "On n'a pas beaucoup de temps, les problèmes on les connait…", dit-il, en appelant à l'exécution du programme de campagne du candidat élu.