Les inspecteurs du ministère de l'Education nationale ont fait savoir, que les résultats du premier trimestre de l'année scolaire ont été décevants. Près de 80% des élèves du cycle moyen ont obtenu 10 de moyenne, alors que ceux du secondaire sont à 70% qui n'ont pas obtenu la moyenne dans les matièresnscientifiques. Les inspecteurs du ministère de l'Education nationale ont fait savoir, que les résultats du premier trimestre de l'année scolaire ont été décevants. Près de 80% des élèves du cycle moyen ont obtenu 10 de moyenne, alors que ceux du secondaire sont à 70% qui n'ont pas obtenu la moyenne dans les matièresnscientifiques. C'est ce qu'a révélé hier, un collectif ndes enseignants affilié à des syndicats, qui se sont basés surune évaluation réalisée par la commissiodes inspecteurs de l'Education nationale.Le rapport met en exergue, selon la même source, "une baisse notable de la moyennedans les matières de mathématiques, physiqueet sciences expérimentales", avecune moyenne de 9.98 pour 70% des élèvesdu cycle secondaire. Les élèves du cyclemoyen ne sont pas en reste, puisque "40%ont tout juste réussi les épreuves de maths, nphysique et chimie", notant une baissenotable en générale, dans la moyenne dupremier trimestre de cette année. Seulesdes moyennes appréciables ont été relevées dans les épreuves de langue arabe et histoire et géographie, avec des notes oscillant entre 11 et 13. Ces résultats témoignent selon les enseignants « d'une perturbation dans les horaires des sessions d'examens chamboulés par des grèves cycliques, qui se sont répercutés notamment sur les résultats affichés des examens de composition du cycle primaire. Le rapport note à cet effet, que "les épreuves de langues étrangères ne sont assimilées que par moins de 30% des élèves, dans les 3 paliers". Les difficultés sont particulièrement visibles chez les élèves du cycle primaire, dont les derniers résultats n'ont pas été à la hauteur, comparativement aux résultats de l'année 2018. Il faut rappeler que l'année dernière, les résultats ont été satisfaisants, puisque 70% des élèves ont obtenu leurs moyennes en langue arabe et 66% en nlangue française. Par contre, l'on note une régression dans les notes de mathématiques, chez cette frange d'écoliers où 1 élève sur 10 arrive à obtenir la moyenne. Que deviennent les réformes promises? Le ministre de l'Education, Bellabed, avait noté il y a quelques mois, que l'année scolaire de 2019 sera celle de la poursuite de la réforme pédagogique dans les 3 paliers. Selon lui, "la nouvelle plate-forme numérique permet d'évaluer en temps réel, les résultats scolaires et de dégager après les correctifs qu'il faut". Pour cette année, des petits changements ont été introduits avec en prime, une double évaluation des élèves. D'abord, les enseignants doivent rendre compte après chaque trimestre, un rapport au directeur de l'établissement qui le transmettra à la direction de l'Education. Ce rapport doit noter toutes les notes, les moyennes souhaitées pour chaque matière, le classement des élèves dans chaque filière, et l'appréciation sera faite en fonction des résultats. Ce chantier, note-on au département de l'Education, sera complété pa d'autres démarches inscrites dans le cadre de la réforme globale dus système. Il fallait remédier, en priorité, aux lacunes dans certaines matières (maths, physique, chimie, langues étrangères), à travers un changement dans l'acquisition du savoir chez les élèves. Actuellement, les syndicats des enseignants sont très peu sollicités sur cette question, alors qu'il a été prévu, selon une source syndicale, que "la réunion pour une évaluation globale pédagogique devait se faire au courant de ce mois". Pis, le ministère de l'Education a demandé aux enseignants, de rattraper les cours en retard surtout pour le primaire, durant la première semaine des vacances d'hiver. La plupart sont réticents à se plier à cette décision, alors que la plupart ont demandé de réduire le volume des horaires, surtout pour le cycle primaire et moyen. Cela s'est répercuté selon eux, sur ces résultats, étant donné que les élèves ont du mal à se concentrer sur plusieurs matières, faute de temps. L'allègement des horaires a été de tout temps revendiqué par les spécialistes en pédagogie, qui indiquent que "les élèves ne sont pas à l'usine". Le ministre Belabbed avait promis d'y remédier, mais sans résultats tangibles. Tout comme la surcharge des classes, l'absence de commodités dans certains établissements scolaires et la frénésie des cours de soutien scolaire, sont quelques facteurs qui poussent à l'échec si de nouvelles décisions radicales ne seraient pas prises dorénavant. C'est ce qu'a révélé hier, un collectif ndes enseignants affilié à des syndicats, qui se sont basés surune évaluation réalisée par la commissiodes inspecteurs de l'Education nationale.Le rapport met en exergue, selon la même source, "une baisse notable de la moyennedans les matières de mathématiques, physiqueet sciences expérimentales", avecune moyenne de 9.98 pour 70% des élèvesdu cycle secondaire. Les élèves du cyclemoyen ne sont pas en reste, puisque "40%ont tout juste réussi les épreuves de maths, nphysique et chimie", notant une baissenotable en générale, dans la moyenne dupremier trimestre de cette année. Seulesdes moyennes appréciables ont été relevées dans les épreuves de langue arabe et histoire et géographie, avec des notes oscillant entre 11 et 13. Ces résultats témoignent selon les enseignants « d'une perturbation dans les horaires des sessions d'examens chamboulés par des grèves cycliques, qui se sont répercutés notamment sur les résultats affichés des examens de composition du cycle primaire. Le rapport note à cet effet, que "les épreuves de langues étrangères ne sont assimilées que par moins de 30% des élèves, dans les 3 paliers". Les difficultés sont particulièrement visibles chez les élèves du cycle primaire, dont les derniers résultats n'ont pas été à la hauteur, comparativement aux résultats de l'année 2018. Il faut rappeler que l'année dernière, les résultats ont été satisfaisants, puisque 70% des élèves ont obtenu leurs moyennes en langue arabe et 66% en nlangue française. Par contre, l'on note une régression dans les notes de mathématiques, chez cette frange d'écoliers où 1 élève sur 10 arrive à obtenir la moyenne. Que deviennent les réformes promises? Le ministre de l'Education, Bellabed, avait noté il y a quelques mois, que l'année scolaire de 2019 sera celle de la poursuite de la réforme pédagogique dans les 3 paliers. Selon lui, "la nouvelle plate-forme numérique permet d'évaluer en temps réel, les résultats scolaires et de dégager après les correctifs qu'il faut". Pour cette année, des petits changements ont été introduits avec en prime, une double évaluation des élèves. D'abord, les enseignants doivent rendre compte après chaque trimestre, un rapport au directeur de l'établissement qui le transmettra à la direction de l'Education. Ce rapport doit noter toutes les notes, les moyennes souhaitées pour chaque matière, le classement des élèves dans chaque filière, et l'appréciation sera faite en fonction des résultats. Ce chantier, note-on au département de l'Education, sera complété pa d'autres démarches inscrites dans le cadre de la réforme globale dus système. Il fallait remédier, en priorité, aux lacunes dans certaines matières (maths, physique, chimie, langues étrangères), à travers un changement dans l'acquisition du savoir chez les élèves. Actuellement, les syndicats des enseignants sont très peu sollicités sur cette question, alors qu'il a été prévu, selon une source syndicale, que "la réunion pour une évaluation globale pédagogique devait se faire au courant de ce mois". Pis, le ministère de l'Education a demandé aux enseignants, de rattraper les cours en retard surtout pour le primaire, durant la première semaine des vacances d'hiver. La plupart sont réticents à se plier à cette décision, alors que la plupart ont demandé de réduire le volume des horaires, surtout pour le cycle primaire et moyen. Cela s'est répercuté selon eux, sur ces résultats, étant donné que les élèves ont du mal à se concentrer sur plusieurs matières, faute de temps. L'allègement des horaires a été de tout temps revendiqué par les spécialistes en pédagogie, qui indiquent que "les élèves ne sont pas à l'usine". Le ministre Belabbed avait promis d'y remédier, mais sans résultats tangibles. Tout comme la surcharge des classes, l'absence de commodités dans certains établissements scolaires et la frénésie des cours de soutien scolaire, sont quelques facteurs qui poussent à l'échec si de nouvelles décisions radicales ne seraient pas prises dorénavant.