six de ses soldats avaient été tués dans une attaque près de la frontière avec le Burkina Faso. Le pays et ses voisins sont la cible depuis plusieurs mois d'attaques visant leurs soldats et les civils. Au moins six soldats maliens ont été tués, dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 janvier, dans l'attaque de leur poste dans le centre du pays en guerre, près de la frontière avec le Burkina Faso, a indiqué l'armée. six de ses soldats avaient été tués dans une attaque près de la frontière avec le Burkina Faso. Le pays et ses voisins sont la cible depuis plusieurs mois d'attaques visant leurs soldats et les civils. Au moins six soldats maliens ont été tués, dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 janvier, dans l'attaque de leur poste dans le centre du pays en guerre, près de la frontière avec le Burkina Faso, a indiqué l'armée. "Les FAMa (Forces armées maliennes) ont été attaquées à Dioungani par des hommes armés non identifiés [...] Les FAMa déplorent un bilan provisoire de six morts et des blessés", a indiqué l'armée sur son compte Twitter. L'attaque a été imputée aux jihadistes par les autorités du secteur et des habitants. Ce secteur, ainsi que le Burkina et le Niger voisins, ont connu ces derniers mois une succession d'attaques jihadistes meurtrières contre les soldats et les civils, sans que les forces nationales et étrangères présentes dans la région parviennent à les enrayer. Le nombre de victimes des violences a été multiplié par cinq depuis 2016 dans les trois pays pour atteindre environ 4.000 morts en 2019 selon l'Onu. Le conflit au Sahel a fait des centaines de milliers de déplacés. "Les FAMa (Forces armées maliennes) ont été attaquées à Dioungani par des hommes armés non identifiés [...] Les FAMa déplorent un bilan provisoire de six morts et des blessés", a indiqué l'armée sur son compte Twitter. L'attaque a été imputée aux jihadistes par les autorités du secteur et des habitants. Ce secteur, ainsi que le Burkina et le Niger voisins, ont connu ces derniers mois une succession d'attaques jihadistes meurtrières contre les soldats et les civils, sans que les forces nationales et étrangères présentes dans la région parviennent à les enrayer. Le nombre de victimes des violences a été multiplié par cinq depuis 2016 dans les trois pays pour atteindre environ 4.000 morts en 2019 selon l'Onu. Le conflit au Sahel a fait des centaines de milliers de déplacés.