Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a appelé à Alger, à la création, "dans les plus brefs délais", d'une zone de libre-échange entre l'Algérie et la Turquie, faisant état de plusieurs mesures devant être prises "rapidement" en ce sens. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a appelé à Alger, à la création, "dans les plus brefs délais", d'une zone de libre-échange entre l'Algérie et la Turquie, faisant état de plusieurs mesures devant être prises "rapidement" en ce sens. Intervenant à la clôture du Forum d'affaires algéro-turc, en présence du Premier ministre Abdelaziz Djerad, M. Erdogan a précisé avoir abordé avec le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, la question de la création d'une zone de libre-échange entre les deux pays, estimant "nécessaire d'entamer, sans retarder, des négociations à ce sujet". Regrettant, à ce propos, l'absenced'une zone de libre-échange entre les deux pays, en dépit des relations historiques les unissant, le Président turc a fait savoir, que des entretiens entre les ministres des deux pays ont eu lieu dans ce sens, et que des mesures seront prises rapidement à cet effet. Une zone de libre-échange entre l'Algérie et la Turquie, "est à même de lever les entraves auxquelles se heurtent les investisseurs des deux pays, pour la réalisation de projets communs, soit en Algérie ou en Turquie, a-t-il estimé. Le Forum d'affaires pose les fondements d'une nouvelle ère Le Forum d'affaires algéro-turc a été l'occasion pour les deux pays, d'affirmer leur détermination à donner un élan fort aux relations entre l'Algérie et la Turquie, et de poser les fondements d'une nouvelle ère dans le domaine de la coopération économique et commerciale. Intervenant à la clôture des travaux du Forum d'affaires algéro-turc, en présence du Premier ministre Abdelaziz Djerad, le président Recep Tayyip Erdogan a estimé, que ce Forum "pose les fondements d'une nouvelle ère dans les relations économiques entre les deux pays", affirmant accorder, depuis son élection à la tête de la Turquie, un intérêt particulier aux relations algéro-turques. Le Président turc a exprimé, à cette occasion, sa "fierté quant à l'accroissement du volume des investissements turcs en Algérie", mettant en avant la détermination de son pays à "poursuive ses efforts en vue de réaliser davantage de réussites bilatérales". Evoquant les échanges commerciaux qui s'élèvent à près de 4 milliards de dollars, le Président turc a indiqué que ce chiffre, "même s'il est acceptable, demeure insuffisant", précisant "avoir convenu avec le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, de porter très bientôt les échanges commerciaux entre les deux pays, à cinq (5) milliards de dollars". A ce titre, M. Erdogan a appelé à la création, "dans les plus brefs délais", d'une zone de libre- échange entre l'Algérie et la Turquie, faisant état de plusieurs mesures devant être prises "rapidement" dans ce sens. Il a aussi précisé avoir abordé avec le président Tebboune, la question de la création d'une zone de libre-échange entre les deux pays, estimant "nécessaire d'entamer, sans retarder, des négociations à ce sujet". Dans ce sillage, le Président turc a affirmé que son pays aspirait à la réalisation d'impor ants investissements avec l'Algérie, relevant que les deux pays avaient décidé de tenir une réunion du comité mixte de coopération économique, qui ne s'est pas réuni depuis 2002. "La facilitation de la mobilité des personnes entre les deux pays et l'augmentation du nombre de visas accordés permettront aussi de hisser le niveau de coopération bilatérale", a-t-il assuré. "Contrairement aux autres pays, nous ne considérons pas l'Algérie comme un marché pour écouler nos produits, mais nous aspirons aussi à la réalisation d'importants investissements", a-t-il encore dit. Soulignant que les investissements des sociétés turques en Algérie dépassaient 3,5 milliards de dollars et ont permis la création de 30.000 postes d'emploi, M. Erdogan a fait état de 377 projets d'investissements turcs établis en Algérie. Et d'ajouter, "l'Algérie occupe la troisième place en terme de présence desentreprises turques de par le monde". L'Algérie est le plus important accès sur le Maghreb arabe et l'Afrique, et laTurquie compte sur elle pour la réussite du prochain sommet Turquie- Afrique, a déclaré le président Erdogan à la clôture du Forum d'affaires algéro-turc, en présence du Premier ministre, Abdelaziz Djerad. Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a affirmé dans son allocution que le gouvernement algérien veillera à encourager la coopération bilatérale,et à faire de l'investissement et des investisseurs une base solide dans sa coopération avec la Turquie, pays frère. Dans ce contexte, M. Djerad a salué "la disposition du président Erdogan et des entreprises turques, à investir en Algérie et contribuer au développement économique global auquel nous aspirons tous", mettant en avant "la détermination du gouvernement algérien à encourager la coopération en érigeant les partenariats et les investissements en base solide dans les relations algéro-turques". Il a appelé, à ce titre, les hommes d'affaires présents en force au Forum, à investir dans les secteurs prioritaires en Algérie, se disant convaincu que ces secteurs "intéresseront les hommes d'affaires turcs, et l'industrie turque en général". Enumérant ces secteurs, M. Djerad a cité les industries légères, les nouvelles technologies, les Start-up, l'agriculture, l'hydraulique et le tourisme, qualifiant ces secteurs de "prometteurs où la coopération algéroturque apportera une contribution avérée". M. Djerad a fait état de l'ouverture "d'un grand atelier" algéroturque, qui sera consacré à la mise en place d'"un nouvel encadrement" des relations commerciales bilatérales, dans le cadre d'un mécanisme à même de revoir à la hausse le volume d'échange au mieux des intérêts desdeux pays. Le Premier ministre a par ailleurs affirmé, que les entretiens entre les deux présidents de la République étaient à même de "donner un élan aux relations bilatérales, en général, et de motiver les hommes d'affairesdes deux pays, en particulier, à concrétiser ces relations sur le terrain à travers la création de projets permettant de contribuer à la promotion permanente de la coopération entre les deux pays et l urs peuples Intervenant à la clôture du Forum d'affaires algéro-turc, en présence du Premier ministre Abdelaziz Djerad, M. Erdogan a précisé avoir abordé avec le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, la question de la création d'une zone de libre-échange entre les deux pays, estimant "nécessaire d'entamer, sans retarder, des négociations à ce sujet". Regrettant, à ce propos, l'absenced'une zone de libre-échange entre les deux pays, en dépit des relations historiques les unissant, le Président turc a fait savoir, que des entretiens entre les ministres des deux pays ont eu lieu dans ce sens, et que des mesures seront prises rapidement à cet effet. Une zone de libre-échange entre l'Algérie et la Turquie, "est à même de lever les entraves auxquelles se heurtent les investisseurs des deux pays, pour la réalisation de projets communs, soit en Algérie ou en Turquie, a-t-il estimé. Le Forum d'affaires pose les fondements d'une nouvelle ère Le Forum d'affaires algéro-turc a été l'occasion pour les deux pays, d'affirmer leur détermination à donner un élan fort aux relations entre l'Algérie et la Turquie, et de poser les fondements d'une nouvelle ère dans le domaine de la coopération économique et commerciale. Intervenant à la clôture des travaux du Forum d'affaires algéro-turc, en présence du Premier ministre Abdelaziz Djerad, le président Recep Tayyip Erdogan a estimé, que ce Forum "pose les fondements d'une nouvelle ère dans les relations économiques entre les deux pays", affirmant accorder, depuis son élection à la tête de la Turquie, un intérêt particulier aux relations algéro-turques. Le Président turc a exprimé, à cette occasion, sa "fierté quant à l'accroissement du volume des investissements turcs en Algérie", mettant en avant la détermination de son pays à "poursuive ses efforts en vue de réaliser davantage de réussites bilatérales". Evoquant les échanges commerciaux qui s'élèvent à près de 4 milliards de dollars, le Président turc a indiqué que ce chiffre, "même s'il est acceptable, demeure insuffisant", précisant "avoir convenu avec le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, de porter très bientôt les échanges commerciaux entre les deux pays, à cinq (5) milliards de dollars". A ce titre, M. Erdogan a appelé à la création, "dans les plus brefs délais", d'une zone de libre- échange entre l'Algérie et la Turquie, faisant état de plusieurs mesures devant être prises "rapidement" dans ce sens. Il a aussi précisé avoir abordé avec le président Tebboune, la question de la création d'une zone de libre-échange entre les deux pays, estimant "nécessaire d'entamer, sans retarder, des négociations à ce sujet". Dans ce sillage, le Président turc a affirmé que son pays aspirait à la réalisation d'impor ants investissements avec l'Algérie, relevant que les deux pays avaient décidé de tenir une réunion du comité mixte de coopération économique, qui ne s'est pas réuni depuis 2002. "La facilitation de la mobilité des personnes entre les deux pays et l'augmentation du nombre de visas accordés permettront aussi de hisser le niveau de coopération bilatérale", a-t-il assuré. "Contrairement aux autres pays, nous ne considérons pas l'Algérie comme un marché pour écouler nos produits, mais nous aspirons aussi à la réalisation d'importants investissements", a-t-il encore dit. Soulignant que les investissements des sociétés turques en Algérie dépassaient 3,5 milliards de dollars et ont permis la création de 30.000 postes d'emploi, M. Erdogan a fait état de 377 projets d'investissements turcs établis en Algérie. Et d'ajouter, "l'Algérie occupe la troisième place en terme de présence desentreprises turques de par le monde". L'Algérie est le plus important accès sur le Maghreb arabe et l'Afrique, et laTurquie compte sur elle pour la réussite du prochain sommet Turquie- Afrique, a déclaré le président Erdogan à la clôture du Forum d'affaires algéro-turc, en présence du Premier ministre, Abdelaziz Djerad. Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a affirmé dans son allocution que le gouvernement algérien veillera à encourager la coopération bilatérale,et à faire de l'investissement et des investisseurs une base solide dans sa coopération avec la Turquie, pays frère. Dans ce contexte, M. Djerad a salué "la disposition du président Erdogan et des entreprises turques, à investir en Algérie et contribuer au développement économique global auquel nous aspirons tous", mettant en avant "la détermination du gouvernement algérien à encourager la coopération en érigeant les partenariats et les investissements en base solide dans les relations algéro-turques". Il a appelé, à ce titre, les hommes d'affaires présents en force au Forum, à investir dans les secteurs prioritaires en Algérie, se disant convaincu que ces secteurs "intéresseront les hommes d'affaires turcs, et l'industrie turque en général". Enumérant ces secteurs, M. Djerad a cité les industries légères, les nouvelles technologies, les Start-up, l'agriculture, l'hydraulique et le tourisme, qualifiant ces secteurs de "prometteurs où la coopération algéroturque apportera une contribution avérée". M. Djerad a fait état de l'ouverture "d'un grand atelier" algéroturque, qui sera consacré à la mise en place d'"un nouvel encadrement" des relations commerciales bilatérales, dans le cadre d'un mécanisme à même de revoir à la hausse le volume d'échange au mieux des intérêts desdeux pays. Le Premier ministre a par ailleurs affirmé, que les entretiens entre les deux présidents de la République étaient à même de "donner un élan aux relations bilatérales, en général, et de motiver les hommes d'affairesdes deux pays, en particulier, à concrétiser ces relations sur le terrain à travers la création de projets permettant de contribuer à la promotion permanente de la coopération entre les deux pays et l urs peuples