Entre l'Algérie et la Tunisie, il y a une convergence de vues "totale et absolue sur tous les plans, y compris sur les questions régionales et internationales, à leur tête le dossier libyen", a déclaré le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Entre l'Algérie et la Tunisie, il y a une convergence de vues "totale et absolue sur tous les plans, y compris sur les questions régionales et internationales, à leur tête le dossier libyen", a déclaré le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Intervenant lors d'une conférence de presse conjointe au terme de ses entretiens avec son homologue tunisien, Kaïs Saïed, au siège de la présidence de la République, M. Tebboune a affirmé concernant le dossier libyen, que "la solution doit être libo-libyenne", et que ce pays "doit être préservé des ingérences étrangères et de l'afflux des armes". Souhaitant voir l'Algérie et la Tunisie constituer "le début du règlement" de la crise en Libye, le président Tebboune a plaidé pour "la tenue, à Alger ou à Tunis, de rencontres avec tous les Libyens et l'ensemble des tribus libyennes, afin d'amorcer une nouvelle ère pour l'édification de nouvelles institutions permettant l'organisation d'élections générales et l'établissement des nouveaux fondements de l'Etat libyen démocratique, à la condition que cette proposition soit acceptée par l'Organisation des Nations-unies (ONU)". Concernant ses entretiens avec le président Kaïs Saïed, le président Tebboune a indiqué qu'elles "ont été l'occasion d'évoquer les derniers développements de la question palestinienne", mettant en avant "la totale convergence" des deux pays, quant au "rejet du 'Deal du siècle' et l'attachement à un Etat palestinien indépendant, aux frontières de 1967, avec El Qods Echarif pour capitale". Par ailleurs, M. T ebboune a fait savoir que "la lutte contre le terrorisme se poursuivra, en opérationnalisant tous les mécanismes de lutte antiterroriste aux frontières", affirmant que "la sécurité et la stabilité de la Tunisie et de l'Algérie étaient intrinsèquement liées". Il a ajouté avoir convenu avec la président tunisien, de la nécessité du "développement des zones frontalières et de la complémentarité économique entre les deux pays". Le président de la République a annoncé, dans ce sens, qu'il effectuera une visite en Tunisie après la désignation d'un nouveau gouvernement tunisien, précisant qu'il sera accompagné "d'une importante délégation gouvernementale afin d'examiner tous les dossiers qui attendent des décisions des deux Présidents". Intervenant lors d'une conférence de presse conjointe au terme de ses entretiens avec son homologue tunisien, Kaïs Saïed, au siège de la présidence de la République, M. Tebboune a affirmé concernant le dossier libyen, que "la solution doit être libo-libyenne", et que ce pays "doit être préservé des ingérences étrangères et de l'afflux des armes". Souhaitant voir l'Algérie et la Tunisie constituer "le début du règlement" de la crise en Libye, le président Tebboune a plaidé pour "la tenue, à Alger ou à Tunis, de rencontres avec tous les Libyens et l'ensemble des tribus libyennes, afin d'amorcer une nouvelle ère pour l'édification de nouvelles institutions permettant l'organisation d'élections générales et l'établissement des nouveaux fondements de l'Etat libyen démocratique, à la condition que cette proposition soit acceptée par l'Organisation des Nations-unies (ONU)". Concernant ses entretiens avec le président Kaïs Saïed, le président Tebboune a indiqué qu'elles "ont été l'occasion d'évoquer les derniers développements de la question palestinienne", mettant en avant "la totale convergence" des deux pays, quant au "rejet du 'Deal du siècle' et l'attachement à un Etat palestinien indépendant, aux frontières de 1967, avec El Qods Echarif pour capitale". Par ailleurs, M. T ebboune a fait savoir que "la lutte contre le terrorisme se poursuivra, en opérationnalisant tous les mécanismes de lutte antiterroriste aux frontières", affirmant que "la sécurité et la stabilité de la Tunisie et de l'Algérie étaient intrinsèquement liées". Il a ajouté avoir convenu avec la président tunisien, de la nécessité du "développement des zones frontalières et de la complémentarité économique entre les deux pays". Le président de la République a annoncé, dans ce sens, qu'il effectuera une visite en Tunisie après la désignation d'un nouveau gouvernement tunisien, précisant qu'il sera accompagné "d'une importante délégation gouvernementale afin d'examiner tous les dossiers qui attendent des décisions des deux Présidents".