Le groupe Ooredoo a confirmé hier, l'expulsion du directeur de sa filiale algérienne, l'allemand Nickolai Beckers. Dans un communiqué laconique, le groupe qatari affirme suivre « avec grand intérêt les motifs de l'expulsion » du directeur de sa branche en Algérie. Le groupe Ooredoo a confirmé hier, l'expulsion du directeur de sa filiale algérienne, l'allemand Nickolai Beckers. Dans un communiqué laconique, le groupe qatari affirme suivre « avec grand intérêt les motifs de l'expulsion » du directeur de sa branche en Algérie. Le Conseil d'administration du groupe de téléphonie mobile ajoute, selon le communiqué, qu'il "mène une enquête approfondie pour déterminer les raisons de ladécision émise par les autorités algériennes" d'expulserM. Beckers. Ooredoo renouvèle "son engagement" à respecter "les normes les plus élevées en matière de service vis-à-vis de ses clients et les lois des organismes d'organisation de ses sociétés opérant dans divers pays à travers le monde". Mercredi, plusieurs sources avaient annoncé l'expulsion du DG d'Ooredoo Algérie du territoire national, sur décision des plus hautes autoritésdu pays qui n'auraient pas apprécié sa décision de procéder à une vague de licenciements parmi les cadres algériens. D'autres sources ont fait état de son arrestation dans les locaux de l'entreprise. Dans la même journée, Ooredoo Algérie a réagi par le biais d'un communiqué laconique : "Suite à des informations diffusées sur certains sites d'information et les réseaux sociaux, concernant son directeur général Nickolai Beckers, Ooredoo Algérie ne souhaite pas faire de informations sur le sujet", indique la filiale du groupe qatari de téléphonie. Aucune partie officielle n'a en outre communiqué sur le sujet jusqu'à présent. M. Beckers, de nationalité allemande, dirigeOoredoo Algérie depuis août 2019. Il avait remplacé le Soudanais Abdulatif Hamad Dafallah. Après sa prise de fonction, à la tête du troisième opérateur de téléphonie mobile en Algérie, M. Beckers a lancé un vaste plan de réduction des effectifs, ce qui a provoqué de fortes tensions sociales au sein de l'entreprise. Le Conseil d'administration du groupe de téléphonie mobile ajoute, selon le communiqué, qu'il "mène une enquête approfondie pour déterminer les raisons de ladécision émise par les autorités algériennes" d'expulserM. Beckers. Ooredoo renouvèle "son engagement" à respecter "les normes les plus élevées en matière de service vis-à-vis de ses clients et les lois des organismes d'organisation de ses sociétés opérant dans divers pays à travers le monde". Mercredi, plusieurs sources avaient annoncé l'expulsion du DG d'Ooredoo Algérie du territoire national, sur décision des plus hautes autoritésdu pays qui n'auraient pas apprécié sa décision de procéder à une vague de licenciements parmi les cadres algériens. D'autres sources ont fait état de son arrestation dans les locaux de l'entreprise. Dans la même journée, Ooredoo Algérie a réagi par le biais d'un communiqué laconique : "Suite à des informations diffusées sur certains sites d'information et les réseaux sociaux, concernant son directeur général Nickolai Beckers, Ooredoo Algérie ne souhaite pas faire de informations sur le sujet", indique la filiale du groupe qatari de téléphonie. Aucune partie officielle n'a en outre communiqué sur le sujet jusqu'à présent. M. Beckers, de nationalité allemande, dirigeOoredoo Algérie depuis août 2019. Il avait remplacé le Soudanais Abdulatif Hamad Dafallah. Après sa prise de fonction, à la tête du troisième opérateur de téléphonie mobile en Algérie, M. Beckers a lancé un vaste plan de réduction des effectifs, ce qui a provoqué de fortes tensions sociales au sein de l'entreprise.