Deux grandes laiteries, une à Bilda et une autre à Béjaïa, ont été prises en flagrant délit d'utilisation de matières premières périmées, a annoncé Kamel Rezig, ministre du Commerce, sur sa page facebook. Deux grandes laiteries, une à Bilda et une autre à Béjaïa, ont été prises en flagrant délit d'utilisation de matières premières périmées, a annoncé Kamel Rezig, ministre du Commerce, sur sa page facebook. Des plaintes ont été déposées contre les deux laiteries, dont les noms n'ont pas été cités. Le ministre n'a pas non plus indiqué, si les produits issus de ces matières premières périmées ont été retirés du marché. "Mes remerciements aux directions du Commerce de Blida et de Béjaïa, qui ont découvert que deux grandes sociétés activant dans la filière des produits dérivés du lait, utilisaient des matières périmées, ce qui met en danger la santé du citoyen. Des plaintes ont été déposées au niveau de la justice, contre ces deux sociétés", a indiqué le ministre du Commerce. Pour le ministre du Commerce, la relance de la filière lait passera par l'encouragement de l'investissement local, mais aussi étranger. Dans un autre post sur sa page facebook officielle, Kamel Rezig a expliqué le rôle de son département dans le développement de cette filière lait, indiquant au passage, que la facture d'importation de la poudre de lait a atteint 1,2 milliard de dollars. "Le rôle du ministère dans la filière lait c'est d'encourager la production nationale et d'assurer la sécurité alimentaire, et ce en collaboration avec le ministère de l'Agriculture. Cela passera par la réduction de la facture d'importation qui a atteint 1.2 milliard de dollars, et l'encouragement des investissements locaux et étrangers dans ce domaine", a-t-il écrit. La semaine passée, le ministre avait indiqué avoir demandé officiellement à l'ambassadeur du Royaume d'Arabie saoudite, de relancer le projet de la société saoudienne "Almarai" en Algérie, ajoutant qu'il recevra dans les prochains mois, des représentants de cette société saoudienne pour relancer ce projet. Le projet de réalisation d'un partenariat algéro-saoudien, dans le domaine de production du lait et dérivés, remonte à 2009. Les négociations menées par les deux parties n'ont pas permis à ce projet de voir le jour. L'annonce de la relance du projet a été critiquéepar certaines voix sur les réseaux sociaux. Certains estiment que la priorité devrait être donnée aux producteurs locaux, alors que d'autres affirment que le projet a pour finalité de sauver le groupe saoudien qui serait confronté à des difficultés. Des plaintes ont été déposées contre les deux laiteries, dont les noms n'ont pas été cités. Le ministre n'a pas non plus indiqué, si les produits issus de ces matières premières périmées ont été retirés du marché. "Mes remerciements aux directions du Commerce de Blida et de Béjaïa, qui ont découvert que deux grandes sociétés activant dans la filière des produits dérivés du lait, utilisaient des matières périmées, ce qui met en danger la santé du citoyen. Des plaintes ont été déposées au niveau de la justice, contre ces deux sociétés", a indiqué le ministre du Commerce. Pour le ministre du Commerce, la relance de la filière lait passera par l'encouragement de l'investissement local, mais aussi étranger. Dans un autre post sur sa page facebook officielle, Kamel Rezig a expliqué le rôle de son département dans le développement de cette filière lait, indiquant au passage, que la facture d'importation de la poudre de lait a atteint 1,2 milliard de dollars. "Le rôle du ministère dans la filière lait c'est d'encourager la production nationale et d'assurer la sécurité alimentaire, et ce en collaboration avec le ministère de l'Agriculture. Cela passera par la réduction de la facture d'importation qui a atteint 1.2 milliard de dollars, et l'encouragement des investissements locaux et étrangers dans ce domaine", a-t-il écrit. La semaine passée, le ministre avait indiqué avoir demandé officiellement à l'ambassadeur du Royaume d'Arabie saoudite, de relancer le projet de la société saoudienne "Almarai" en Algérie, ajoutant qu'il recevra dans les prochains mois, des représentants de cette société saoudienne pour relancer ce projet. Le projet de réalisation d'un partenariat algéro-saoudien, dans le domaine de production du lait et dérivés, remonte à 2009. Les négociations menées par les deux parties n'ont pas permis à ce projet de voir le jour. L'annonce de la relance du projet a été critiquéepar certaines voix sur les réseaux sociaux. Certains estiment que la priorité devrait être donnée aux producteurs locaux, alors que d'autres affirment que le projet a pour finalité de sauver le groupe saoudien qui serait confronté à des difficultés.