Nous avons alloué une enveloppe de 4.000 milliards de centimes et pas plus tard qu'hier, nous avons importé du matériel médical", a déclaré, hier, le Premier ministre Abdelaziz Djerad, qui annonce par ailleurs que le nombre de personnes atteintes du coronavirus est de quarante cinq (45). Nous avons alloué une enveloppe de 4.000 milliards de centimes et pas plus tard qu'hier, nous avons importé du matériel médical", a déclaré, hier, le Premier ministre Abdelaziz Djerad, qui annonce par ailleurs que le nombre de personnes atteintes du coronavirus est de quarante cinq (45). Reçu dans l'émission L'Invité de la rédaction de la radio Chaîne 3, le Premier ministre a fait savoir que l‘Algérie a importé, en une semaine, plusieurs millions de dollars de matériel pour faire face au coronavirus. "Nous avons été, comme le monde entier, surpris par cette pandémi et nous essayons avec les compétences et les ressources humaines que nous avons et le matériel dont nous disposons, d'y faire face. En une semaine, nous avons importé plusieurs millions de dollars de matériels, des caméras thermiques, des kits et des gants, pour pallier aux insuffisances que nous avions au début", a-t-il indiqué Interrogé sur la disponibilité du matériel médical pour faire face à ce virus, notamment les réactifs, les bavettes, du gel hydroalcoolique, le Premier ministre a assuré que "c'est disponible et nous continuons d'en acheter", ajoutant que "Pa plus tard qu'avant-hier (samedi), un avion chargé de ce matériel est arrivé en provenance des Emirats. Nous avons importé aussi de France, et de plusieurs pays européens tel que le Danemark, et la Norvège". M. Djerad a soutenu que "nous devons prendre toutes nos précautions(…), il ne s'agit pas d'ameuter l'opinion publique ni de réagir de manière intempestive", mais, a-t-il ajouté, "il s'agit beaucoup plus d'être mesuré et de prendre ses responsabilités d'homme d'Etat, face à une crise mondiale qui risque de se répercuter sur notre pays". "Ne nous affolons pas! C'est qu'il faut comprendre, c'est qu'il n y a pas un médicament, un vaccin, pour cette maladie", at- il dit, relevant que l'essentiel est d'essayer "de cloisonner, de circonscrire et de faire une sorte de barrière, pour que le virus n'évolue pas à travers le territoire national". "C'est ça ce que les gens doivent comprendre, quand on leur dit de ne pas sortir, de ne pas y aller dans des parcs, ne pas laisser les enfants dehors, pour essayer de limiter, un tant soit peu, l'évolution de ce virus", a-t-il souligné. Un dispositif mis en place L'Etat a pris "toutes les dispositions" surle plan sanitaire, pour prendre en charge des cas qui se présentent, a-t-il assuré, soutenant qu'il n y a pas un cas qui est admis dans un hôpital et "qu'on a laissé partir, comme certains le prétendent". Dans ce cadre, le Premierministre a mis en garde contre "les manipulations, je dis aux citoyens faites très attention à cela". Il a indiqué qu'il y a "différentes étapes que nous avons limitées et délimitées, en coopération avec l'OMS", relevant la présence, hier, d'un représentant de l'OMS en Algérie, "qui a vu notre travail, les dispositions prises et il a reconnu que l'Algérie fait des efforts très importants, a les moyens de prendre en charge ses malades, et de prévenir les cas qui se présentent à l'avenir". Djerad a indiqué qu'un dispositif a été mis en place, notammentdans les zones sensibles (Blida et Boufarik), pour cerner ce virus. Les "Hirakistes" appelés à faire preuve de vigilance Interrogé sur le hirak et la poursuite des rassemblements publics, M. Djerad a appelé les citoyens qui participent hebdomadairement au Hirak populaire, à faire preuve de vigilance et à "prendre les précautions nécessaires". "Vous pouvez sortir comme vous le désirez, mais prenez vos précautions pour ne pas compromettre votre santé, celle de vos voisins, vos mères et vos pères, et éviter de les exposer aux risques", car si la maladie venait à se propager à travers le territoire national, "nous passerons à un autre stade". "Je veux dire à mes frères et soeurs du Hirak que nous ne sommes pas en quête d'une instrumentalisation politique, à l'instar de certains. Toutefois, je leur dis soyez vigilants, car il y va de votre santé et de votre vie". Suspension des vols aériens de et vers l'Europe Djerad a affirmé que "la décision de suspension des vols aériens, de et vers l'Europe, appelle à une étude minutieuse, objective et réaliste", assurant que les autorités ne veulent pas "se précipiter à prendre des mesures, qui ne correspondent pas à la réalité". "Nous avons une responsabilité à assumer vis-à-vis de nos citoyens. Nous devons rapatrier les Algériens bloqués à l'étranger. C'est cela qui nous intéresse le plus", a expliqué le Premier ministre, ajoutant que l'option de la suspension totale des vols est possible, en tenant compte de l'évolution de la situation pandémique. "Nous devons analyser la situation et envisager graduellement des mesures, de manière à prendre nos responsabilités", a-t-il également clarifié, avant de préciser que le transport maritime a été "totalement suspendu", dans le cadre des mesures prises pour faire face à la progression du nouveau coronavirus. Quarante cinq (45) cas de coronavirus ont été confirmés par l'Institut Pasteur, dont trois décès ayant des comorbidités, a déclaré le Premier ministre, Abdelaziz Djerad. Rappelant que cette pandémie a causé le décès de 5.803 personnes, dans 151 pays, M. Djerad a souligné que l' "Europe a été déclarée comme nouveau épicentre de l'épidémie constitue une menace pour notre pays". Reçu dans l'émission L'Invité de la rédaction de la radio Chaîne 3, le Premier ministre a fait savoir que l‘Algérie a importé, en une semaine, plusieurs millions de dollars de matériel pour faire face au coronavirus. "Nous avons été, comme le monde entier, surpris par cette pandémi et nous essayons avec les compétences et les ressources humaines que nous avons et le matériel dont nous disposons, d'y faire face. En une semaine, nous avons importé plusieurs millions de dollars de matériels, des caméras thermiques, des kits et des gants, pour pallier aux insuffisances que nous avions au début", a-t-il indiqué Interrogé sur la disponibilité du matériel médical pour faire face à ce virus, notamment les réactifs, les bavettes, du gel hydroalcoolique, le Premier ministre a assuré que "c'est disponible et nous continuons d'en acheter", ajoutant que "Pa plus tard qu'avant-hier (samedi), un avion chargé de ce matériel est arrivé en provenance des Emirats. Nous avons importé aussi de France, et de plusieurs pays européens tel que le Danemark, et la Norvège". M. Djerad a soutenu que "nous devons prendre toutes nos précautions(…), il ne s'agit pas d'ameuter l'opinion publique ni de réagir de manière intempestive", mais, a-t-il ajouté, "il s'agit beaucoup plus d'être mesuré et de prendre ses responsabilités d'homme d'Etat, face à une crise mondiale qui risque de se répercuter sur notre pays". "Ne nous affolons pas! C'est qu'il faut comprendre, c'est qu'il n y a pas un médicament, un vaccin, pour cette maladie", at- il dit, relevant que l'essentiel est d'essayer "de cloisonner, de circonscrire et de faire une sorte de barrière, pour que le virus n'évolue pas à travers le territoire national". "C'est ça ce que les gens doivent comprendre, quand on leur dit de ne pas sortir, de ne pas y aller dans des parcs, ne pas laisser les enfants dehors, pour essayer de limiter, un tant soit peu, l'évolution de ce virus", a-t-il souligné. Un dispositif mis en place L'Etat a pris "toutes les dispositions" surle plan sanitaire, pour prendre en charge des cas qui se présentent, a-t-il assuré, soutenant qu'il n y a pas un cas qui est admis dans un hôpital et "qu'on a laissé partir, comme certains le prétendent". Dans ce cadre, le Premierministre a mis en garde contre "les manipulations, je dis aux citoyens faites très attention à cela". Il a indiqué qu'il y a "différentes étapes que nous avons limitées et délimitées, en coopération avec l'OMS", relevant la présence, hier, d'un représentant de l'OMS en Algérie, "qui a vu notre travail, les dispositions prises et il a reconnu que l'Algérie fait des efforts très importants, a les moyens de prendre en charge ses malades, et de prévenir les cas qui se présentent à l'avenir". Djerad a indiqué qu'un dispositif a été mis en place, notammentdans les zones sensibles (Blida et Boufarik), pour cerner ce virus. Les "Hirakistes" appelés à faire preuve de vigilance Interrogé sur le hirak et la poursuite des rassemblements publics, M. Djerad a appelé les citoyens qui participent hebdomadairement au Hirak populaire, à faire preuve de vigilance et à "prendre les précautions nécessaires". "Vous pouvez sortir comme vous le désirez, mais prenez vos précautions pour ne pas compromettre votre santé, celle de vos voisins, vos mères et vos pères, et éviter de les exposer aux risques", car si la maladie venait à se propager à travers le territoire national, "nous passerons à un autre stade". "Je veux dire à mes frères et soeurs du Hirak que nous ne sommes pas en quête d'une instrumentalisation politique, à l'instar de certains. Toutefois, je leur dis soyez vigilants, car il y va de votre santé et de votre vie". Suspension des vols aériens de et vers l'Europe Djerad a affirmé que "la décision de suspension des vols aériens, de et vers l'Europe, appelle à une étude minutieuse, objective et réaliste", assurant que les autorités ne veulent pas "se précipiter à prendre des mesures, qui ne correspondent pas à la réalité". "Nous avons une responsabilité à assumer vis-à-vis de nos citoyens. Nous devons rapatrier les Algériens bloqués à l'étranger. C'est cela qui nous intéresse le plus", a expliqué le Premier ministre, ajoutant que l'option de la suspension totale des vols est possible, en tenant compte de l'évolution de la situation pandémique. "Nous devons analyser la situation et envisager graduellement des mesures, de manière à prendre nos responsabilités", a-t-il également clarifié, avant de préciser que le transport maritime a été "totalement suspendu", dans le cadre des mesures prises pour faire face à la progression du nouveau coronavirus. Quarante cinq (45) cas de coronavirus ont été confirmés par l'Institut Pasteur, dont trois décès ayant des comorbidités, a déclaré le Premier ministre, Abdelaziz Djerad. Rappelant que cette pandémie a causé le décès de 5.803 personnes, dans 151 pays, M. Djerad a souligné que l' "Europe a été déclarée comme nouveau épicentre de l'épidémie constitue une menace pour notre pays".