La présidente de la section correctionnelle au tribunal de Sidi-M'hamed à Alger, a annoncé que le verdict dans l'affaire de l'ancien Directeur général de la sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel et des membres de sa famille, sera prononcé le 1er avril prochain. La présidente de la section correctionnelle au tribunal de Sidi-M'hamed à Alger, a annoncé que le verdict dans l'affaire de l'ancien Directeur général de la sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel et des membres de sa famille, sera prononcé le 1er avril prochain. En dépit de la suspension des audiences correctionnelles au tribunal de Sidi-M'hamed au début de la journée, en application des décisions du ministère de la Justice, l'affaire d'Abdelghani Hamel et de ses coaccusés s'est poursuivie pour le cinquième jour attendu qu'elle concerne "des personnes en détention dont les affaires sont enrôlées". Une exception qui a été autorisée par le ministère à condition que ces procès se déroulent "sans le public". Avant de donner la parole à tous les accusés qui ont exprimé leur confiance en la justice et demandé leur acquittement, le tribunal a poursuivi l'audition des plaidoiries de la défense des accusés. Durant l'audience d'aujourd'hui qui a duré près de 12 heures, un seul collectif de défense s'est constitué en faveur d'Abdelghani Hamel, de son épouse Anani Salima et de ses quatre enfants (Amiar, Chafik, Mourad et Chahinaz). La défense a demandé au tribunal de "prendre en compte le parcours professionnel de l'accusé principal et de mettre en liberté les membres de la famille Hamel", estimant que "le procès d'une famille entière est inédit dans l'histoire de la justice algérienne". De son côté, la défense de l'ex-directeur général de l'Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), Mohamed Rehaimia, a plaidé pour l'acquittement de son mandant des deux charges relatives à "la dilapidatio de deniers publics et l'abus de fonctions, et ce pour absence d'éléments matériels et immatériels". De même que la défense de l'ancien wali de Tipasa, Ghellaï Moussa, a plaidé son innocence, avançant pour motif que son client a "appliqué les instructions de l'ancien ministre de l'Intérieur et de l'ancien Premier ministre". La défense de l'accusé AbdelghaniZaalane, ancien wali d'Oran, a plaidé son innocence, arguant qu'il a procédé aux "mêmes mesures lors de l'exercice de ses fonctions au poste de wali d'Oum el-Bouaghi et de Béchar". Le procureur de la République près le tribunal de Sidi-M'hamed a requis lundi vingt (20) ans de prison ferme à l'encontre de l'ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel et de son fils Amiar et quinze (15) ans de prison ferme à l'encontre de ses autres enfants, Mourad, Chafik et Chahinaz et dix (10) ans de prison à l'encontre de son épouse, Annani Salima, assortis d'une amende de huit (8) millions de dinars chacun, outre la confiscationde leurs biens saisis et comptes bancaires. Dans le même cadre, le représentant du ministère public a requis une peine de dix (10) ans de prison assortie d'une amende d'un (1) million DA à l'encontre de l'ex-directeur général de l'Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), Mohamed Rehaimia et l'ex directeur des domaines de la wilaya de Tipasa, Bouamrane Ali. Le procureur de la République près le Tribunal de Sidi-M'hamed a requis également une peine de huit (8) ans de prison ferme assortie d'une amende d'un (1) million DA à l'encontre de l'ex-directeur de la Régie foncière de la ville d'Alger, Maâchi Fayçal, l'ancien directeur de l'Industrie par intérim de la wilaya d'Oran, Khaldoun Abderrahim, et l'ancien directeur des domaines de la wilaya d'Oran, Maalam Samir. Une peine de huit (8) ans de prison a été requise à l'encontre du chef du service technique à l'Agence foncière d'Alger, Hmirat Djelloul et Chenine Nacer, un cadre à la direction des domaines à la wilaya d'Alger. Le représentant du ministère public a requis une peine de 2 ans de prison ferme assortie d'une amende d'un (1) million DA à l'encontre de l'accusé Bali Ali, un promoteur immobilier. Concernant les personnes morales représentées par les sociétés poursuivies dans cette affaire, il a été requis à leur encontre une amende de 32 millions DA et la confiscation de tous leurs biens, outre l'interdiction d'exercer une activité économique pour une durée de 5 ans En dépit de la suspension des audiences correctionnelles au tribunal de Sidi-M'hamed au début de la journée, en application des décisions du ministère de la Justice, l'affaire d'Abdelghani Hamel et de ses coaccusés s'est poursuivie pour le cinquième jour attendu qu'elle concerne "des personnes en détention dont les affaires sont enrôlées". Une exception qui a été autorisée par le ministère à condition que ces procès se déroulent "sans le public". Avant de donner la parole à tous les accusés qui ont exprimé leur confiance en la justice et demandé leur acquittement, le tribunal a poursuivi l'audition des plaidoiries de la défense des accusés. Durant l'audience d'aujourd'hui qui a duré près de 12 heures, un seul collectif de défense s'est constitué en faveur d'Abdelghani Hamel, de son épouse Anani Salima et de ses quatre enfants (Amiar, Chafik, Mourad et Chahinaz). La défense a demandé au tribunal de "prendre en compte le parcours professionnel de l'accusé principal et de mettre en liberté les membres de la famille Hamel", estimant que "le procès d'une famille entière est inédit dans l'histoire de la justice algérienne". De son côté, la défense de l'ex-directeur général de l'Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), Mohamed Rehaimia, a plaidé pour l'acquittement de son mandant des deux charges relatives à "la dilapidatio de deniers publics et l'abus de fonctions, et ce pour absence d'éléments matériels et immatériels". De même que la défense de l'ancien wali de Tipasa, Ghellaï Moussa, a plaidé son innocence, avançant pour motif que son client a "appliqué les instructions de l'ancien ministre de l'Intérieur et de l'ancien Premier ministre". La défense de l'accusé AbdelghaniZaalane, ancien wali d'Oran, a plaidé son innocence, arguant qu'il a procédé aux "mêmes mesures lors de l'exercice de ses fonctions au poste de wali d'Oum el-Bouaghi et de Béchar". Le procureur de la République près le tribunal de Sidi-M'hamed a requis lundi vingt (20) ans de prison ferme à l'encontre de l'ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel et de son fils Amiar et quinze (15) ans de prison ferme à l'encontre de ses autres enfants, Mourad, Chafik et Chahinaz et dix (10) ans de prison à l'encontre de son épouse, Annani Salima, assortis d'une amende de huit (8) millions de dinars chacun, outre la confiscationde leurs biens saisis et comptes bancaires. Dans le même cadre, le représentant du ministère public a requis une peine de dix (10) ans de prison assortie d'une amende d'un (1) million DA à l'encontre de l'ex-directeur général de l'Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), Mohamed Rehaimia et l'ex directeur des domaines de la wilaya de Tipasa, Bouamrane Ali. Le procureur de la République près le Tribunal de Sidi-M'hamed a requis également une peine de huit (8) ans de prison ferme assortie d'une amende d'un (1) million DA à l'encontre de l'ex-directeur de la Régie foncière de la ville d'Alger, Maâchi Fayçal, l'ancien directeur de l'Industrie par intérim de la wilaya d'Oran, Khaldoun Abderrahim, et l'ancien directeur des domaines de la wilaya d'Oran, Maalam Samir. Une peine de huit (8) ans de prison a été requise à l'encontre du chef du service technique à l'Agence foncière d'Alger, Hmirat Djelloul et Chenine Nacer, un cadre à la direction des domaines à la wilaya d'Alger. Le représentant du ministère public a requis une peine de 2 ans de prison ferme assortie d'une amende d'un (1) million DA à l'encontre de l'accusé Bali Ali, un promoteur immobilier. Concernant les personnes morales représentées par les sociétés poursuivies dans cette affaire, il a été requis à leur encontre une amende de 32 millions DA et la confiscation de tous leurs biens, outre l'interdiction d'exercer une activité économique pour une durée de 5 ans