Nous ne manquons de rien, les moyens de l'état existent et nous n'avons, pour le moment utilisé ,qu'une infime partie de ces moyens", a tenu d'emblée à rassurer Abdelmadjid Tebboune à la question de savoir si l'état maîtrise bien la situat . Nous ne manquons de rien, les moyens de l'état existent et nous n'avons, pour le moment utilisé ,qu'une infime partie de ces moyens", a tenu d'emblée à rassurer Abdelmadjid Tebboune à la question de savoir si l'état maîtrise bien la situat . Ce qui manque en revanche, "c'est la discipline des citoyens à respecter les mesures préventives prises dans le cadre du confinement", a regretté le chef de l'Etat qui fait de la question de la discipline un leitmotiv dans ses réponses aux journalistes. "Le coronavirus n'a pas de pieds pour venir chez les gens, ce sont les mêmes gens qui vont à lui pour se faire contaminer et mettre leurs vies en danger, celles de leurs parents, frères, soeurs, épouses", martèle encore le chef de l'Etat, qui a employé un langage direct en avertissant qu'après la phase de pédagogie où il a fallu expliquer aux citoyens le bien fondé du confinement, viendra la phase des sanctions contre les récalcitrants qui seront poursuivis pour "mise en danger de la vie d'autrui". S'agissant de la possible extension du confinement à d'autres wilayas, le président de la République a répondu par la négative, d'autant plus, explique t-il, qu'un grand nombre de willayas sont actuellement épargnées, comptant un nombre de cas très minime qui ne nécessite pas une mesure radicale comme le confinement. Surtout, argue encore le chef de l'Etat, que le "dispositif est contraignant" et a tenu d'ailleurs à ce propos à renouveler ses "salutations aux habitants de la wilaya de Blida qui ont accepté de bonne grâce le confinement, ayant compris que c'est dans leur intérêt". "Nous suivons l'évolution de la situation avec des remontées d'informations quotidiennes de la base au sommet de l'Etat et si la situation dans une wilaya exige de telles mesures nous n'hésiteronspas à les prendre, puisqu'il s'agit in fine de sauver les vies des citoyens", fait valoir le Président Tebboune. Qui profite d'ailleurs, en réponse à ceux qui font des lectures politiques sur l confinement, pour leur dire que "ce n'est pas ne décision politique, ni un acte d'autoritarisme, mais une décision sanitaire pour préserver la vie des citoyens". Au-delà du confinement, le président de la République a également insisté pour dire et redire que "la situation est sous contrôle, que l'Etat algérien dispose d'une réserve financière de 60 milliards de dollars" qui permettront au pays de faire face aux exigences en matière de matériel médical et sanitaire, mais également en produits alimentaires, malgré les manoeuvres des spéculateurs dont ils se demande d'ailleurs s'ils n'ont pas d'autres desseins que de faire de l'argent en cette phase difficile que traverse le pays. Le Président Tebboune a profité aussi pour répondre à ceux qui reprochent à l'Etat d'avoir eu un retard pour l'allumage au niveau de la prise de décision pour empêcher la propagation de la pandémie. "Bien au contraire, nous étions parmi les premiers à réagir en rapatriant nos compatriotes de la ville de Wuhan, pendant que certains pays européens voyaient la pandémie comme quelque chose de lointain qui les concernait pas. Nous étions parmi les premiers aussi à décréter la fermeture des écoles, des universités, à annuler les manifestations sportives et commerciales, à suspendre nos liaisons aériennes internationales et même domestiques", rappelle le Président Tebboune qui indique aussi que "l'Algérie est parmi les premiers pays à proposer son aide à la Chine" en lui envoyant des masques et des respirateurs. Le Président Tebboune a tenu aussi à répondre sur la question des chiffres officiels et leur véracité sur l'ampleur réelle de la pandémie en Algérie, qui fait polémique sur les réseaux sociaux, lesquels se font l'écho du doute et de l'incrédulité des citoyens. "Nous n'avons rien à cacher, les chiffres qui sont communiqués par laCommission de suivi sont les chiffres réels, n'oubliez pas qu'au sein de la Commission, il y a trois professeurs de niveau international, ils vont tout de même pas mettre en cause leur réputation", oppose le président de la République qui parle à ce propos de "nouvelle offensive contre l'Algérie". Ce qui manque en revanche, "c'est la discipline des citoyens à respecter les mesures préventives prises dans le cadre du confinement", a regretté le chef de l'Etat qui fait de la question de la discipline un leitmotiv dans ses réponses aux journalistes. "Le coronavirus n'a pas de pieds pour venir chez les gens, ce sont les mêmes gens qui vont à lui pour se faire contaminer et mettre leurs vies en danger, celles de leurs parents, frères, soeurs, épouses", martèle encore le chef de l'Etat, qui a employé un langage direct en avertissant qu'après la phase de pédagogie où il a fallu expliquer aux citoyens le bien fondé du confinement, viendra la phase des sanctions contre les récalcitrants qui seront poursuivis pour "mise en danger de la vie d'autrui". S'agissant de la possible extension du confinement à d'autres wilayas, le président de la République a répondu par la négative, d'autant plus, explique t-il, qu'un grand nombre de willayas sont actuellement épargnées, comptant un nombre de cas très minime qui ne nécessite pas une mesure radicale comme le confinement. Surtout, argue encore le chef de l'Etat, que le "dispositif est contraignant" et a tenu d'ailleurs à ce propos à renouveler ses "salutations aux habitants de la wilaya de Blida qui ont accepté de bonne grâce le confinement, ayant compris que c'est dans leur intérêt". "Nous suivons l'évolution de la situation avec des remontées d'informations quotidiennes de la base au sommet de l'Etat et si la situation dans une wilaya exige de telles mesures nous n'hésiteronspas à les prendre, puisqu'il s'agit in fine de sauver les vies des citoyens", fait valoir le Président Tebboune. Qui profite d'ailleurs, en réponse à ceux qui font des lectures politiques sur l confinement, pour leur dire que "ce n'est pas ne décision politique, ni un acte d'autoritarisme, mais une décision sanitaire pour préserver la vie des citoyens". Au-delà du confinement, le président de la République a également insisté pour dire et redire que "la situation est sous contrôle, que l'Etat algérien dispose d'une réserve financière de 60 milliards de dollars" qui permettront au pays de faire face aux exigences en matière de matériel médical et sanitaire, mais également en produits alimentaires, malgré les manoeuvres des spéculateurs dont ils se demande d'ailleurs s'ils n'ont pas d'autres desseins que de faire de l'argent en cette phase difficile que traverse le pays. Le Président Tebboune a profité aussi pour répondre à ceux qui reprochent à l'Etat d'avoir eu un retard pour l'allumage au niveau de la prise de décision pour empêcher la propagation de la pandémie. "Bien au contraire, nous étions parmi les premiers à réagir en rapatriant nos compatriotes de la ville de Wuhan, pendant que certains pays européens voyaient la pandémie comme quelque chose de lointain qui les concernait pas. Nous étions parmi les premiers aussi à décréter la fermeture des écoles, des universités, à annuler les manifestations sportives et commerciales, à suspendre nos liaisons aériennes internationales et même domestiques", rappelle le Président Tebboune qui indique aussi que "l'Algérie est parmi les premiers pays à proposer son aide à la Chine" en lui envoyant des masques et des respirateurs. Le Président Tebboune a tenu aussi à répondre sur la question des chiffres officiels et leur véracité sur l'ampleur réelle de la pandémie en Algérie, qui fait polémique sur les réseaux sociaux, lesquels se font l'écho du doute et de l'incrédulité des citoyens. "Nous n'avons rien à cacher, les chiffres qui sont communiqués par laCommission de suivi sont les chiffres réels, n'oubliez pas qu'au sein de la Commission, il y a trois professeurs de niveau international, ils vont tout de même pas mettre en cause leur réputation", oppose le président de la République qui parle à ce propos de "nouvelle offensive contre l'Algérie".