Le Haut conseil islamique a fait savoir dans un communiqué, que seule la Commission nationale de la Fetwa est habilitée à se prononcer sur le mois sacré. Le HCI a réagi aux informations "erronées" faisant croire à l'interdiction de jeûner. Le Haut conseil islamique a fait savoir dans un communiqué, que seule la Commission nationale de la Fetwa est habilitée à se prononcer sur le mois sacré. Le HCI a réagi aux informations "erronées" faisant croire à l'interdiction de jeûner. Le HCI a tenu à préciser, que "les informations et rumeurs faisant croire que le jeûne du Ramadhan est interdit durant cette période de confinement, sont erronées et dénuées de tout sens". Dans son site, le Haut conseil islamique a rappelé que "laCommission nationale au sein du ministère des Affaires religieuses et comportant plusieurs experts théologiens est la seule autorité qui proclame les fetwas sur tout ce qui touche les questions du Fikh", y compris autour du jeûne du mois de Ramadhan. Le Haut conseil islamique a également déploré "une campagned'intoxication qui ces derniers temps a propagé la proscription du mois de Ramadhan". En effet, le HCI qui est l'institution qui s'occupe des grandes questions de la théologie islamique est considérée comme garant de la stabilité des avis religieux. Dans son communiqué, il est indiqué que "les imams ne peuvent recevoir l'autorisation des avis religieux, qu'après consultations des hautes autorités". Les rumeurs qui ont été propagées comme une trainée en poudre ont tenté de semer la panique parmi les croyants, selon les termes du HCI. Le mois sacré et le jeûne ne se posent pas, du moment que "c'est une obligation religieuse pour les musulmans" et sauf avis médical, "les citoyens sont appelés à observer le jeûne en s'adaptant à la nouvelle réalité", qui vaobliger les populations à se plier aux exigences préventives contre le coronavirus. A propos des avis religieux qui se multiplient ces dernières semaines sur les réseaux sociaux, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs a souligné dans une intervention via visioconférence avant-hier, que "les cadres du ministère et les différents responsables sont appelés à prendre en charge les questions religieuses des citoyens, à travers les plate-formes numériques". Pour cette année, le ministre Youcef Belemehdi a indiqué que "l'annulation de déplacement des imams devant aller en France pour officier les prières de Tarawih à la communauté nationale". Il a également fait savoir que "le gouvernement aura à décidé des mesures à prendre durant le mois de jeûne", sans souffler mot si les mosquées seront ouvertes ou pas. Par ailleurs, le ministre a souligné "la nécessité de poursuivre les cours pour les instituts d'études coraniques qui doivent achever leur cursus via l'utilisation des moyens technologiques appropriés". Le HCI a tenu à préciser, que "les informations et rumeurs faisant croire que le jeûne du Ramadhan est interdit durant cette période de confinement, sont erronées et dénuées de tout sens". Dans son site, le Haut conseil islamique a rappelé que "laCommission nationale au sein du ministère des Affaires religieuses et comportant plusieurs experts théologiens est la seule autorité qui proclame les fetwas sur tout ce qui touche les questions du Fikh", y compris autour du jeûne du mois de Ramadhan. Le Haut conseil islamique a également déploré "une campagned'intoxication qui ces derniers temps a propagé la proscription du mois de Ramadhan". En effet, le HCI qui est l'institution qui s'occupe des grandes questions de la théologie islamique est considérée comme garant de la stabilité des avis religieux. Dans son communiqué, il est indiqué que "les imams ne peuvent recevoir l'autorisation des avis religieux, qu'après consultations des hautes autorités". Les rumeurs qui ont été propagées comme une trainée en poudre ont tenté de semer la panique parmi les croyants, selon les termes du HCI. Le mois sacré et le jeûne ne se posent pas, du moment que "c'est une obligation religieuse pour les musulmans" et sauf avis médical, "les citoyens sont appelés à observer le jeûne en s'adaptant à la nouvelle réalité", qui vaobliger les populations à se plier aux exigences préventives contre le coronavirus. A propos des avis religieux qui se multiplient ces dernières semaines sur les réseaux sociaux, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs a souligné dans une intervention via visioconférence avant-hier, que "les cadres du ministère et les différents responsables sont appelés à prendre en charge les questions religieuses des citoyens, à travers les plate-formes numériques". Pour cette année, le ministre Youcef Belemehdi a indiqué que "l'annulation de déplacement des imams devant aller en France pour officier les prières de Tarawih à la communauté nationale". Il a également fait savoir que "le gouvernement aura à décidé des mesures à prendre durant le mois de jeûne", sans souffler mot si les mosquées seront ouvertes ou pas. Par ailleurs, le ministre a souligné "la nécessité de poursuivre les cours pour les instituts d'études coraniques qui doivent achever leur cursus via l'utilisation des moyens technologiques appropriés".