Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, a mis l'accent, lors d'une visite de travail à Sétif, sur la nécessaire "conjugaison des efforts de tous pour lutter contre toute forme de spéculation des prix des produits de consommation sur les marchés". Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, a mis l'accent, lors d'une visite de travail à Sétif, sur la nécessaire "conjugaison des efforts de tous pour lutter contre toute forme de spéculation des prix des produits de consommation sur les marchés". Il est impérieux de mettre fin à l'anarchie qui règne dans les marchés concernant la spéculation sur les prix des produits, notamment pour ce qui est des denrées alimentaires et des produits agricoles (fruits et légumes). Alors que les prix doivent être clairement affichés pour permettre aux consommateurs de vérifier la transparence et l'honnêteté des commerçants et des vendeurs, hélas, on se heurte à une opacité permanente. En effet, les prix sont sujets à des fluctuations et des jeux pernicieux qui ne plaisent pas aux consommateurs. Lors d'un hommage, au siège de la wilaya, aux cadres et agents de contrôle des Directions de plusieurs wilayas, dont Sétif, Annaba, Skikda, El Tarf, Béjaïa etM'sila, ayant été victimes d'agressions dans l'exercice de leurs missions, Rezig a affirmé que grâce à vous et à l'aide sur le terrain de la Sûreté et la Gendarmerie nationales, des Douanes et autre secteurs concernés, "nous serons un rempart face à tous les dépassements commerciaux". Les efforts en cours pour l'encadrement et l'organisation du marché visent à permettre aussi bien au consommateur qu'au commerçant et au fellah de trouver leur compte, at- il assuré. Admettant "la difficulté" des missions des agents de contrôle, le ministre a souligné que leur rôle était nécessaire surtout dans la conjoncture exceptionnelle que traverse le pays. Et d'ajouter à l'adresse des agents de contrôle : "Nous avons pu, en dépit d'être au deuxième mois du confinement, garantir la stabilité des prix de la quasi-totalité des produits de consommation sur le marché." Dans ce contexte, Rezig a mis l'accent sur l'impérative moralisation de l'activité commerciale, rappelant que cette démarche faisait partie du programme du président de la République et de l'action du gouvernement, d'où la nécessité de la conjugaison des efforts de tous, car le problème ne relève pas du seul ministère du Commerce, a-t-il ajouté. "Nous oeuvrerons à la mise en adéquation de nos marchés aux normes et standards internationaux, c'est-à-dire que les prix obéissent à la règle de l'offre et de la demande et non à la spéculation", a affirmé le ministre du Commerce. Lors de l'inauguration de la section de wilaya du Centre national du registr de commerce (CNRC) à la cité El Abradj, dans la ville de Sétif, M. Rezig a souligné l'impératif de poursuivre la généralisation du registre de commerce électronique. La fin de l'année en cours étant la date butoir aux commerçants retardataires pour accomplirl'immatriculation au Registre de commerce électronique, sous peine de radiation définitive, a soutenu le ministre. Au niveau d'une unité privée de fabrication de masques dans la zone d'activité Helatma, dans la commune de Guedjel, le ministre s'est enquis de la production de cette usine, estimée à un million de masques/jour, en plus de vêtements de protection. Sur les mêmes lieux, le ministre du Commerce a indiqué que l'Etat encourage et autorise la production des masques destinés au grand public sans avoir besoin d'immatriculation au Registre de commerce et ce, momentanément au regard du contexte sanitaire exceptionnel que traverse le pays, proposant au propriétaire de l'usine de produire des masques pour enfants Il est impérieux de mettre fin à l'anarchie qui règne dans les marchés concernant la spéculation sur les prix des produits, notamment pour ce qui est des denrées alimentaires et des produits agricoles (fruits et légumes). Alors que les prix doivent être clairement affichés pour permettre aux consommateurs de vérifier la transparence et l'honnêteté des commerçants et des vendeurs, hélas, on se heurte à une opacité permanente. En effet, les prix sont sujets à des fluctuations et des jeux pernicieux qui ne plaisent pas aux consommateurs. Lors d'un hommage, au siège de la wilaya, aux cadres et agents de contrôle des Directions de plusieurs wilayas, dont Sétif, Annaba, Skikda, El Tarf, Béjaïa etM'sila, ayant été victimes d'agressions dans l'exercice de leurs missions, Rezig a affirmé que grâce à vous et à l'aide sur le terrain de la Sûreté et la Gendarmerie nationales, des Douanes et autre secteurs concernés, "nous serons un rempart face à tous les dépassements commerciaux". Les efforts en cours pour l'encadrement et l'organisation du marché visent à permettre aussi bien au consommateur qu'au commerçant et au fellah de trouver leur compte, at- il assuré. Admettant "la difficulté" des missions des agents de contrôle, le ministre a souligné que leur rôle était nécessaire surtout dans la conjoncture exceptionnelle que traverse le pays. Et d'ajouter à l'adresse des agents de contrôle : "Nous avons pu, en dépit d'être au deuxième mois du confinement, garantir la stabilité des prix de la quasi-totalité des produits de consommation sur le marché." Dans ce contexte, Rezig a mis l'accent sur l'impérative moralisation de l'activité commerciale, rappelant que cette démarche faisait partie du programme du président de la République et de l'action du gouvernement, d'où la nécessité de la conjugaison des efforts de tous, car le problème ne relève pas du seul ministère du Commerce, a-t-il ajouté. "Nous oeuvrerons à la mise en adéquation de nos marchés aux normes et standards internationaux, c'est-à-dire que les prix obéissent à la règle de l'offre et de la demande et non à la spéculation", a affirmé le ministre du Commerce. Lors de l'inauguration de la section de wilaya du Centre national du registr de commerce (CNRC) à la cité El Abradj, dans la ville de Sétif, M. Rezig a souligné l'impératif de poursuivre la généralisation du registre de commerce électronique. La fin de l'année en cours étant la date butoir aux commerçants retardataires pour accomplirl'immatriculation au Registre de commerce électronique, sous peine de radiation définitive, a soutenu le ministre. Au niveau d'une unité privée de fabrication de masques dans la zone d'activité Helatma, dans la commune de Guedjel, le ministre s'est enquis de la production de cette usine, estimée à un million de masques/jour, en plus de vêtements de protection. Sur les mêmes lieux, le ministre du Commerce a indiqué que l'Etat encourage et autorise la production des masques destinés au grand public sans avoir besoin d'immatriculation au Registre de commerce et ce, momentanément au regard du contexte sanitaire exceptionnel que traverse le pays, proposant au propriétaire de l'usine de produire des masques pour enfants