Le Comité d'experts chargé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de formuler des propositions sur la révision de la Constitution, le ministre de la Communication et le président de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel ont appelé dimanche à Alger à un débat large et inclusif autour du projet de révision de la Loi fondamentale. Le Comité d'experts chargé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de formuler des propositions sur la révision de la Constitution, le ministre de la Communication et le président de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel ont appelé dimanche à Alger à un débat large et inclusif autour du projet de révision de la Loi fondamentale. "Les professeurs Ahmed Laraba et Walid Laggoune, respectivement président et rapporteur général du Comité d'experts chargé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de formuler des propositions sur la révision de la Constitution, ont tenu une séance de travail aujourd'hui avec le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, le professeur Ammar Belhimer, et le président de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav), Mohamed Louber", précise le communiqué. La réunion a été propice à un échange de vues autour des voies et moyens requis pour un débat national inclusif, large et pluriel, ouvert à toutes les composantes dela société civile et du monde politique, autour du projet de révision de la Constitution, indiquent les rédacteurs du document. "Acteur de facilitation" du débat national à ce sujet, le ministère de la Communication affirme agir conformément aux attributions que lui confère la loi, notamment l'article premier du décret exécutif numéro 11-216 du 12 juin 2011 fixant ainsi ses attributions officielles : "Dans le cadre de la politique générale du gouvernement et de son plan d'action, approuvés conformément aux dispositions de la Constitution, le ministre de la communication exerce ses attributions sur l'ensemble des activités liés à la promotion, la consolidation de la démocratie et de la liberté d'expression ainsi qu'au développement de la communication", est-il en effet précisé. Partie prenante du débat et concernée également par sa réussite, l'Arav entend, pour sa part, exercer pleinement la mission que lui fixe l'article 54 alinéa 5 de la loi 14-04 du 24 février 2014 relative à l'activité audiovisuelle, précisément, de "veiller, par tous les moyens appropriés, au respect de l'expression plurielle des courants de pensée et d'opinion dans les programmes des services de diffusion sonore et télévisuelle, notamment sur des émissions d'information politique et générale". Pour ce qui le concerne directement, le Comité d'experts veut rester au plus près de ce que la feuille de route du président de la République attend de lui, à savoir que l'amendement de la Constitution soit "la pierre angulaire pour l'édification d'une nouvelle République afin de réaliser les revendications de notre peuple, exprimées par le mouvement populaire". "Les professeurs Ahmed Laraba et Walid Laggoune, respectivement président et rapporteur général du Comité d'experts chargé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, de formuler des propositions sur la révision de la Constitution, ont tenu une séance de travail aujourd'hui avec le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, le professeur Ammar Belhimer, et le président de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (Arav), Mohamed Louber", précise le communiqué. La réunion a été propice à un échange de vues autour des voies et moyens requis pour un débat national inclusif, large et pluriel, ouvert à toutes les composantes dela société civile et du monde politique, autour du projet de révision de la Constitution, indiquent les rédacteurs du document. "Acteur de facilitation" du débat national à ce sujet, le ministère de la Communication affirme agir conformément aux attributions que lui confère la loi, notamment l'article premier du décret exécutif numéro 11-216 du 12 juin 2011 fixant ainsi ses attributions officielles : "Dans le cadre de la politique générale du gouvernement et de son plan d'action, approuvés conformément aux dispositions de la Constitution, le ministre de la communication exerce ses attributions sur l'ensemble des activités liés à la promotion, la consolidation de la démocratie et de la liberté d'expression ainsi qu'au développement de la communication", est-il en effet précisé. Partie prenante du débat et concernée également par sa réussite, l'Arav entend, pour sa part, exercer pleinement la mission que lui fixe l'article 54 alinéa 5 de la loi 14-04 du 24 février 2014 relative à l'activité audiovisuelle, précisément, de "veiller, par tous les moyens appropriés, au respect de l'expression plurielle des courants de pensée et d'opinion dans les programmes des services de diffusion sonore et télévisuelle, notamment sur des émissions d'information politique et générale". Pour ce qui le concerne directement, le Comité d'experts veut rester au plus près de ce que la feuille de route du président de la République attend de lui, à savoir que l'amendement de la Constitution soit "la pierre angulaire pour l'édification d'une nouvelle République afin de réaliser les revendications de notre peuple, exprimées par le mouvement populaire".